puteaux pour tous-tous pour puteaux
Au-delà des préférences partisanes, ce site appelle tous les hommes de bonne volonté à s'unir, le temps d'un changement necessaire, pour rétablir à PUTEAUX, les libertés fondalementales, confisquées depuis deux ans. Le temps n'est plus, ou une fracture profonde et définitive, séparait les républicains. Le moment de l'union des forces hostiles à la municipalité autoritaire, issue de la nominaton, s'impose à tous les républicains, épris de liberté et de respect de l'autre.
vendredi, juin 30, 2006
L’usurpatrice à la manœuvre
Cette piscine, le Maire de l’époque l’a entièrement dessinée, lui-même, avec amour.
.
La preuve en est que cette réalisation s’est construite sans le concours d’un cabinet d’architecte.
En raison de sa mauvaise gestion, l’usurpatrice n’a pu la financer qu’en plongeant une main avide dans les réserves financières abondantes que le Maire a laissées en partant, et en augmentant l’impôt.
Le Maire intérimaire inaugurera une réalisation exceptionnelle à laquelle elle est étrangère, alors que le Maire réalisateur n’est pas invité.
.
L’usurpatrice dépouillerait son père pour se hisser sur le pavois, duquel le peuple la descendra.
jeudi, juin 29, 2006
nominations
Nous saluons la nomination de Philippe Juvin, en outre secrétaire départemental adjoint de l'UMP 92, en qualité de Président de Commission nationale de l'UMP sur les Relations entre l’Hôpital et les soins en ville.
Cette nomination consacre le talent et les compétences de Philippe Juvin, Professeur de médecine et chef du service des urgences de l'hôpital Beaujon.
Nous saluons également la constitution d'une commission relative à la protection animale, présidée par le Député Lionel Luca.
lundi, juin 26, 2006
Une chienne appelle les urgences et sauve son maître
lefigaro.fr (avec AFP)
19 juin 2006, (Rubrique People & Insolite)
"Pris d'un malaise dû à son diabète, l’américain Kevin Weaver, n'a dû son salut qu'à Belle, son beagle de 3 ans, qui a su non seulement diagnostiquer son état mais appeler le 911 à temps.
Belle est le premier animal à recevoir lundi le prestigieux prix de la fondation VITA, qui vise à promouvoir le rôle des téléphones portables dans les situations d'urgence. Une récompense méritée puisque la chienne a sauvé son maître diabétique en composant seule le numéro des urgences. « Je suis convaincu que si Belle n'avait pas été avec moi ce matin-là, je ne serais plus en vie aujourd'hui », a déclaré Kevin Weaver, son propriétaire. « Belle est plus que mon sauveur - elle est ma meilleure amie », a-t-il ajouté.
Détecteur de diabète
Kevin Weaver achète Belle quand elle a deux ans, pour lui tenir compagnie. Mais après avoir entendu parler d'une association spécialisée dans le dressage des chiens pour diabétiques, il décide de lui faire suivre ce programme.
Belle apprend à repérer le niveau de sucre dans le sang de son maître, rien qu'en le léchant et en reniflant le bout de son nez plusieurs fois par jour. Quand le sucre chute à un niveau insuffisant, elle peut le prévenir en gémissant et en lui donnant quelques coups de patte.
La chienne compose le numéro des urgences
Le 7 février dernier, Kevin Weaver ne se sent pas bien en se réveillant, chez lui à Ocoee en Floride. La chienne gémit et lui donne un coup de patte, mais il croit seulement qu'elle veut sortir. Quelques minutes plus tard, il fait un malaise.
Aussitôt, Belle trouve le téléphone portable de son maître et appuie sur le 9 avec les dents, comme elle l'a appris durant son dressage. Le numéro des urgences étant programmé, l'ambulance est sur les lieux quelques minutes plus tard. "
dimanche, juin 25, 2006
Corse, terre d'accueil et de tolérance
Au-delà des raccourcis idéologiques de certains, la Corse est une terre d'accueil. La seule région française où pas un seul juif ne fut déporté. Voir l'article d'Israël magazine.
msm
"L'histoire des Juifs en Corse remonte a plusieurs centaines d'annees. Les premieres traces d'une presence juive dans l'ile se situent aux alentours de l'an 800.
A cette epoque, une importante immigration venue d'Egypte s'est installee dans le Sud de la Corse ; une grande partie de ces femmes et hommes juifs parlaient et ecrivaient l'hebreu. La majorite d'entre eux s'est implantee a proximite d'un village denomme Levie (la bien nommee), situe a l'interieur des terres a 20 km environ de Porto-Vecchio .
Par la suite, les membres de la communaute se sont disperses un peu partout dans l'ile en devenant partie integrante de la population autochtone et dans certains villages de montagne, des eglises gardent encore la trace de documents rediges en hebreu a cote de ceux rediges en latin.
Bien des siecles plus tard, dans les annees 1500-1530, environ 1000 Juifs de la region de Naples trouverent refuge en Corse,fuyant tres certainement une persecution locale, et ils s'installerent dans les regions montagneuses du centre de l'ile.
En l'an 1684, la ville de Padoue, situee en Italie, qui etait peuplee en grande partie par des Juifs qui habitaient un ghetto edifie en 1516, fut le theatre de violences dirigees contre ses citoyens juifs, dont une partie faillit se faire lyncher.
Une rumeur malveillante selon laquelle leurs coreligionnaires de Buda, avaient commis des actes de cruaute contre les Chretiens de la ville hongroise, declencha cette flambee de brutalite dirigee contre la communaute juive de la ville.
C'est grace a l'intervention d'un pere Franciscain nomme Pere Marco qui ecrivit une lettre afin de denoncer cette mystification, que la communaute juive echappa au massacre annonce.
Une grande partie de la communaute juive de Padoue decida a la suite de ces evenements d'emigrer sous d'autres cieux plus clements. Certains arriverent en Corse, et les habitants les nommerent Padovani, ce qui signifie : venu de Padoue. Le nom de famille Padovani est un nom tres repandu de nos jours en Corse.
Les Rois de France expulsent les Juifs, les Corses les invitent pour regenerer l'ileMais la plus importante vague d'immigration juive qu'ait connue la Corse se situe entre les annees 1750 et 1769.
La premiere republique constitutionnelle et democratique d'Europe venant de naitre, le leader de l'epoque Pascal Paoli fit venir en Corse entre 5000 et 10000 Juifs du nord de l'Italie, ( les chiffres varient selon les sources) de Milan, de Turin ainsi que de Genes pour revitaliser l'ile suite a 400 ans d'occupation genoise. Afin de les rassurer sur leur integration et sur la volonte du peuple corse de les considerer comme leurs egaux, ce meme Paoli fit une declaration destinee aux nouveaux venus : "Les Juifs ont les memes droits que les Corses puisqu'ils partagent le meme sort". Cela fit comprendre aux Juifs qu'ils etaient des citoyens a part entiere et qu'ils beneficiaient d'une totale liberte de culte, ce qui n'etait pas le cas dans bon nombre de pays.
En realite, c'est plus de 25% de la population corse qui aurait des origines juives.
Ces immigrants portaient pour la plupart des noms a consonance ashkenaze, qui etaient tres difficilement prononcables par la population locale. Une partie d'entre eux etant roux, ils se virent affubles du surnom de Rossu qui signifie rouge et designe les rouquins ce qui donne au pluriel Rossi, nom extremement repandu en Corse.
En realite, c'est plus de 25% de la population corse qui aurait des origines juives.
En lisant les etats civils, on peut facilement s'en rendre compte : les noms tels que Giacobbi, Zuccarelli, Costantini, Simeoni... tres communs dans l'ile de Beaute, ne laissent planer aucun doute quant a leur origine.Le nombre peu important des membres de la communaute juive, ajoute au fait que les Corses n'ont fait aucune difference entre les originaires de l'ile et ces nouveaux venus, est tres certainement a l'origine d'un grand nombre de mariages mixtes qui declencherent une assimilation quasi-totale.
Malgre cela, les signes sur l'ile de beaute d'une ancienne presence juive y sont tres nombreux ; un exemple probant en est le nom d'un village Cazalabriva qui selon plusieurs sources concordantes viendrait de: casa di l'ebreo, litteralement la maison de l'hebreu (le mot juif n'existant pas en Corse). Ou bien encore, de nos jours dans certaines regions, il subsiste une tradition tres ancienne de donner aux nouveaux-nes des prenoms d'origine hebraique tel que Mouse (Moise) etc. ...
Plus proche de nous, durant la seconde guerre mondiale, alors que la Corse etait occupee par les fascistes italiens, les habitants de l'ile se mobiliserent pour aider les Juifs a se cacher. Avec les moyens du bord, ils aiderent hommes,femmes et enfants a se refugier dans les villages de montagne. Un haut fonctionnaire francais accomplit un travail admirable et, au mepris de sa vie, sauva a lui seul, plusieurs dizaines de Juifs. Il s'agit du sous préfet de Sartene Pierre-Joseph Jean Jacques Ravail. Il travaillait avec le reseau mis en place par les partisans de Paul Giacobbi, grand pere de l'actuel Député de Haute-Corse qui refusait d'opter pour la voie de la collaboration."
extrait d'Israël magazine, novembre 2004.
samedi, juin 24, 2006
Fête à l'école Jean Jaurès
Bonne ambiance à l'école élémentaire Jean Jaurès, Hier 23 juin une subvention venait d'être obtenue du conseil général pour le ravalement de cette école.
Le Maire des 35 glorieuses et conseiller géneral, a choisi la kermesse de fin d'année de cette école pour sa visite. Il a préféré sélectionner une école qu'il n'a pas construite, parmi beaucoup d'autres qu'il a réalisées.
Il a voulu ainsi rendre hommage à ses prédécesseurs, qui avec d'autres moyens, ont autant que lui, porté une grande attention à l'école laïque.
Bonne ambiance. Joie et allégresse chez les petits et chez les grands.
La Voix
vendredi, juin 23, 2006
Nicolas Sarkozy a eu la pertinence du courage. Il n'a pas parlé des français comme d'une globalité, mais des difficultés éprouvées par chaque français. Les jeunes de la France rurale, bien que n'étant pas sous les feux de la rampe, ne souffrent pas moins que les autres. C'est en évoquant la spécificité de chaque situation qu'il a justifié la nécessaire égalité des chances. En cela il rassemble le peuple français par l'une de ses valeurs édificatrices. La reconnaissance des mérites.
Son courage fédère. Identifiées, et nommées sans ce spectre culpabilisateur brandi par les camarades idéologues, les valeurs fédératrices redonnent foi.
M.Sophie
jeudi, juin 22, 2006
2/ Quelle est la différence entre le prix d'achat et le prix des domaines? Madame le Maire en transit a parlé de 20%, son défenseur, au doux nom d'Albert, et madame Jeanne ont écrit 10% ; et le Parisien a dit 4%. Qui dit vrai? Pourquoi la mairie n'a t'-elle rien écrit sur le sujet notamment dans le procés verbal?
3/ Pourquoi madame le Maire n'a t-elle donné aucune indication sur le prix des aménagements extérieurs et intérieurs additionnés pour transformer une habitation en mini crèche de 15 lits, cas unique à Puteaux. Quelles sont les raisons de ce cas unique?
4/ Le prix total sera t-il supérieur au prix d'acquisition anormalement élevé, compte tenu de la disposition des lieux, peu d'espace devant, un jardin en pente derrière un bâtiment fait pour l'habitation, implanté dans un noeud de circulation intense, incompatible avec la présence d'enfants en groupe.
5/ Mr Koubi a t-il déposé une demande de logement HLM au moment où il vendait à la ville une villa libre d'habitation?
Le procès verbal du 3 novembre 2004 en effet écrit: un projet d'acte relatif à l'acquisition d'un bien en totalité, libre de toute occupation ou location 27 rue Gambetta.
Dès le 7 decembre 2004, Monsieur Koubi fait une demande de logement HLM, évidemment promis au moment de l'achat.
Des problèmes personnels l'ont obligé à retarder son arrivée en HLM
6/Combien de fois madame le Maire a t-elle déjeuné avec Monsieur Koubi et son copain à la flûte aiguë?
mercredi, juin 21, 2006
mardi, juin 20, 2006
séjours temporaires
Extrait du parisien en date du 16 juin
HAUTS DE SEINE
Maisons de retraite : les séjours temporaires se multiplient
Florence Hubin
Le Parisien
"A LA VEILLE de l'été, la majorité des places temporaires dans les résidences pour personnes âgées affiche complet. Pour les retardataires, ou pour ceux dont la santé ou la perte d'autonomie se serait subitement aggravée avant le départ en vacances des enfants, il reste encore quelques lits disponibles (voir encadré). Si elles existent toute l'année, ces places d'accueil temporaire sont en effet très demandées pendant la période estivale. Cela permet à la famille ou aux proches qui s'occupent d'un parent âgé quotidiennement de partir en vacances et de souffler un peu. Face à la demande, ce type d'accueil est encouragé par les pouvoirs publics et les nouveaux établissements en disposent tous ou presque. Dans les Hauts-de-Seine, une incitation financière a même été mise en place depuis l'année dernière, pour combler le manque à gagner que représente un lit laissé vide entre deux séjours temporaires : « Le département verse une subvention forfaitaire de 7 700 par lit d'accueil temporaire », explique Philippe Juvin, conseiller général en charge de la santé et de la solidarité. Cette mesure est issue des conclusions des Etats généraux de la solidarité qui avaient réuni professionnels et associations. Elle s'intègre aussi dans une politique orientée vers le maintien au domicile des personnes âgées, quand c'est possible : « Nous voulons proposer aux familles le panel le plus élargi, pour qu'elles puissent garder leur parent âgé. Or, il faut leur donner la possibilité de souffler », explique l'élu.
Des aides financières possibles Il faut savoir que les séjours temporaires fonctionnent avec les mêmes tarifs journaliers que les longs séjours. La personne âgée peut donc bénéficier de l'APA (allocation personnalisée d'autonomie) et, si ses ressources sont très modestes, demander l'aide sociale, même temporairement. Pour tout savoir sur les aides financières, renseignez-vous au service solidarité du conseil général ou au service de votre mairie qui s'occupe des personnes âgées : les fameux Clic, en français centres locaux d'information et de coordination gérontologique. Ils doivent pouvoir vous aider"
dimanche, juin 18, 2006
samedi, juin 17, 2006
vendredi, juin 16, 2006
jeudi, juin 15, 2006

De la jouissance d'une illusoire domination
La responsable des agents d'entretien figure au nombre des victimes du délit d'opinion, institué à la mairie. La sanction qui a frappé la responsable ne s'est pas limitée au déplacement. Pour l'humilier, elle a été sommée de prendre la balayette et de nettoyer en profondeur les WC.
Plusieurs autres victimes envisagent de monter une association, devant l'horreur des procédés employés. Cette anecdote mérite d'être connue et propagée. Elle révèle la petitesse d'un esprit sans culture, et la perversité d'un caractère dominateur et féroce, alimenté par l'ambition démesurée.
Les auteurs et les complices de ces vexations, d'un autre temps et d'un autre régime, verront à leur tour venir le grand balais des urnes.
En démocratie ce sont les électeurs qui détiennent le pouvoir. En république les plus humbles sont les plus forts.
LE BAC GARDE SON PRESTIGE
mercredi, juin 14, 2006
PEURS D'AVENIR
lundi, juin 12, 2006
SALLE A MANGER
dimanche, juin 11, 2006
NOVECENTO : PIANISTE
Une petite note pour un livre que j'ai apprécié au point de ne plus pouvoir le lâcher, la première page tournée.
J'ai adoré ce récit. Il est vite lu, mais il demeure en vous. IL TANGUE VOS SENS. Il vous transporte par l'élan de ses métaphores. Votre destination : l'essentiel.
Un bébé de migrants en partance pour les USA est abandonné sur la piano d'un virtuose : Danny Boodmann...à bord du Virginian.
Devenu génie incontesté du piano, le jeune Novecento n'a cependant jamais posé pied à terre. Né sur les flots, il n'en est jamais descendu.
La philosophie sous-jacente à la poésie d'Alessandro Baricco, telle que je la perçois, est la suivante : la circonscription du réel, à savoir la limitation des possibles est paradoxalement la condition qui va nous permettre une infinité de combinaisons réalisables à l'intérieur de ce périmètre.
C'est comme si les 88 touches noires et blanches étaient les unités de durée agréables et moins agréables imparties par la vie. Pas une de plus, pas une de moins.
A partir de ce donné, on compose à l'infini en ensorcelant le moins agréable pour le dompter, le tourner à notre avantage.
Par la finitude, l'immersion dans l'inifini des possibles. Pas l'infini des réalisations. Mais l'infini de la POSSIBILITE de leur réalisation. A nous de composer la mélodie du surgir de notre existence.
Passages que j'ai le plus appréciés :
" Mais comme beaucoup d'hommes habitués à vivre en uniforme, il avait fini par penser également en uniforme. C'est pourquoi il dit : "Novecento tout cela est absolument contraire au règlement". Novecento s'arrêta de jouer. C'était un petit garçon qui parlait peu mais apprenait vite. Avec douceur, il regarda le commandant, et il lui dit : "au cul le règlement." (p. 32)
"A présent, personne n'est obligé de le croire, et pour être exact, je n'y croirais pas moi-même si on me le racontait, mais la vérité vraie, c'est que ce piano commença à glisser, sur le parquet de la salle de bal, et nous derrière lui, avec Novecento qui jouait, sans détacher son regard des touches, il avait l'air ailleurs, et le piano suivait les vagues, il s'en allait d'un côté, revenait de l'autre, puis tournait sur lui-même, et filait droit sur les baies vitrées, puis, à un cheveu de la vitre, il s'arrêtait et recommençait à glisser doucement dans l'autre sens, je veux dire comme si c'était l'Océan qui le berçait, et nous avec, moi je n'y comprenais rien, [...] j'ai compris à ce moment-là, que ce qu'on faisait, c'était danser avec l'Océan, nous et lui, les danseurs fous, et parfaits, emportés dans une valse lente, sur le parquet doré de la nuit." (p.39)
" Imagine maintenant : un piano. Les touches ont un début. Et les touches ont une fin. Toi, tu sais qu'il y en a 88, là-dessus, personne ne peut te rouler. Elles ne sont pas infinies, elles. Mais toi tu es infini, et sur ces touches, la musique que tu peux jouer elle est infinie. Elles, elles sont 88, toi tu es infini.[...]
Mais si je monte sur cette passerelle et que devant moi se déroule un clavier de millions de touches, des millions, des millions et des milliards de touches qui ne finissent jamais (...)sur ce clavier-là, il n'y a aucune musique que tu puisses jouer, tu n'es pas assis sur le bon tabouret. Ce piano-là c'est Dieu qui y joue." (p.77)
Après le film de Chabrol, "l'ivresse du pouvoir" un remake avec le pouvoir de l'ivresse ?... à suivre...
à votre santé!
Convention santé
Pour trancher avec le pitoyable niveau de Madame le Maire en transit et ses obligés, nous vous transmettons la date et les intervenants de la prochaine convention UMP qui portera sur la santé.
Certains ont trouvé leur mandat dans une pochette surprise ou à l'intérieur d'un kinder, d'autres l'ont conquis par leur talent. Ainsi de mon collègue et ami Philippe JUVIN.
Le mardi 27 juin de 8h30 à 18 heuresAssemblée nationale, salle Victor Hugo101 rue de l’Université75007 Paris
Inscrivez-vous dès à présent :
par téléphone au 01 40 76 62 93
sur le site www.conventions-ump.org
Attention, inscription obligatoire.Une pièce d'identité sera demandée à l'entrée.
Le système de santé français a longtemps pu revendiquer, à bon droit, le titre de champion du monde : égalitaire, protecteur des plus faibles et des moins chanceux, garantissant à tous, sur tout le territoire, des soins de qualité, parmi les meilleurs du monde grâce à une formation médicale et une recherche pharmaceutique de pointe, et fondé sur les principes essentiels de liberté de choix du médecin par les patients et d’autonomie de la prescription par les médecins.
Ce système est malheureusement fragilisé aujourd’hui. Il ne sait pas assurer son financement. Il ne parvient pas à empêcher le développement d’inégalités sociales et territoriales. Il peine à répondre à des défis croissants comme le cancer et à en relever de nouveaux tels que le vieillissement ou l’obésité. Il est de moins en moins en phase avec les aspirations des professionnels de santé, tant en ville qu’à l’hôpital. Il accorde une place insuffisante à la prévention, ignorant ainsi le fait que la santé dépend aussi, sinon surtout, des conditions de vie : alimentation, comportements à risque, sécurité au travail, activité physique... Il n’est plus dans les meilleurs niveaux mondiaux en ce qui concerne la recherche.
Des plans de réformes se sont succédés sans discontinuer depuis 30 ans. Ils n’ont pas empêché la situation de se dégrader. Si la réforme de 2004 a posé des jalons significatifs sur la voie d’une meilleure organisation des soins et d’une plus grande maîtrise de la dépense, ils doivent toutefois être consolidés et leurs modalités améliorées. L’objectif est de garantir, sur le long terme, l’égalité, la qualité, la liberté et l’équilibre du système de soins dans un contexte certain d’augmentation des dépenses de santé et dans le respect des meilleures prescriptions éthiques.
Comment réconcilier notre système de santé avec ses idéaux de justice et d’excellence accessible à tous, tout en assurant sa pérennité financière ? Comment mieux prendre en compte les attentes des professionnels de santé ? Comment permettre à la France de retrouver le meilleur niveau mondial en termes de recherche et d’industrie pharmaceutique ? Les pistes de solution ne sont-elles que financières ? Comment mettre en œuvre une vraie politique de prévention et d’éducation à la santé ? Comment surmonter la coupure entre la ville et l’hôpital ? Quelles réformes faut-il entreprendre pour permettre à l’hôpital de remplir pleinement et sereinement ses missions fondamentales ? Quels doivent être les droits et les devoirs des patients ? Quelle place faut-il faire à l’évaluation et selon quelles modalités ? Comment rétablir en somme la confiance des patients dans le système des soins et des professionnels de santé dans les pouvoirs publics ?
Nicolas Sarkozy, président de l’UMP, ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de l’aménagement du territoire, vous invite à la Convention sur la santé organisée, en présence de Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des solidarités, par Paul-Henri Cugnenc, secrétaire national de l’UMP en charge de la Santé, député de l’Hérault, président du syndicat des chirurgiens des hôpitaux de Paris et Philippe Juvin, professeur des universités, praticien-hospitalier, maire de la Garenne-Colombes, vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine. Cette convention se tiendra à Paris, le mardi 27 juin de 8h30 à 18h00 à l’Assemblée nationale, salle Victor Hugo, 101 rue de l’Université, 75007 Paris.
Interviendront notamment :
Yvon Berland, président de l’université de la Méditerranée, président de l’Observatoire national de la démographie des professions de santé, Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des solidarités, Christian Bréchot, directeur général de l’INSERM, Michel Chevalet, journaliste scientifique, auteur de l’ouvrage Quand tout bascule, Pierre Costes, président du syndicat de médecins généralistes MG France, Paul-Henri Cugnenc, secrétaire national de l’UMP en charge de la Santé, député de l’Hérault, président du syndicat des chirurgiens des hôpitaux de Paris, Jean-François Dhainaut, professeur des universités-praticien hospitalier, président de l’université René Descartes, Francis Fellinger, président de la conférence nationale des présidents de commission médicale d'établissement des centres hospitaliers, Françoise Forette, professeur de médecine interne et de gériatrie à l'université René Descartes, conseiller de Paris, Philippe Froguel, chef du service de génétique de l’université Imperial College (Londres), directeur de recherche au CNRS, directeur du département de génétique à l’institut Pasteur de Lille, Michel Hannoun, médecin, président de la fédération des métiers de la santé de l’UMP, Elisabeth Hubert, médecin, directeur des nouveaux projets, des affaires publiques et du développement de Fournier Pharma, ancien ministre de la Santé publique et de l’assurance maladie, Philippe Juvin, professeur des universités-praticien hospitalier, maire de la Garenne-Colombes, vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine, David Khayat, président de l’Institut national du cancer, professeur de médecine à l’université du Texas à Houston (Etats-Unis), conseiller permanent de la mission interministérielle pour la lutte contre le cancer, Joël Ménard, directeur du laboratoire de Santé publique et informatique médicale de l'université Paris 5, ancien directeur général de la Santé.
samedi, juin 10, 2006
vendredi, juin 09, 2006
Podcast du Professeur Juvin relatif à la prise en charge d'Alzheimer
http://solere.blogs.com/boulogne/2006/06/la_maladie_dalz....
Verbatim : "derrière tout cela transparaît une philosophie, c'est que les personnes âgées, ce n'est pas à l'état de s'en occuper, c'est d'abord à leur famille" Philippe Juvin
mercredi, juin 07, 2006
mardi, juin 06, 2006
- Le mérite d'avoir mis fin à 37 ans de gestion synonyme de non- gestion, sur la base d'un cahier des charges établi par des concessionnaires prédésignés par l'EPAD et l'Etat, sans concurrence, aucune.
- Le mérite d'avoir demandé, même si ce fut en vain, que le tarif excessif du concessionaire initial soit diminué par les autorités qui l'avaient mis en place.
- Le mérite d'avoir rétabli le chauffage dans l'urgence à titre provisoire, après l'explosion, et ensuite à titre définitif par la voie de l'appel à la concurrence, sans qu'aucun recours ne soit introduit par quiconque, ni par aucune autorité de tutelle,ni par aucun concurrent, ni à la demande d'aucune autorité de contrôle.
- Le mérite d'avoir fait face aux conséquences d'une formidable explosion due à deux causes: le mélange du charbon et du gaz imposé par l'Etat et l'insuffisance manifeste de formation des employés sur place, du concessionaire dans la nuit du drame.
- Le mérite d'avoir abaissé d'autorité le prix de la chaleur de 10%, sous forme d'avenant, présenté par le Président, au nouveau cahier des charges.
- Le mérite d'avoir communiqué à tous les candidats à l'appel à la concurrence, la présence de 100 millions de francs dans le compte de réserve au moment de la consultation, malgré une critique postérieure inattendue. La transparence qui avait manqué pendant 37 ans a été rétablie en pleine lumière.
lundi, juin 05, 2006
Madame le Maire s'est attribuée le mérite de la bonne gestion financière, dont la revue Challenges s'est fait l'écho.
De nombreux démentis et d'abord celui de Challenges, ont obligé madame le Maire-en transit, prise en flagrant délit d'erreur, à inventer un second mensonge.
Elle voudrait faire croire qu'à l'époque du budget 2004, qui provoque les éloges de Challenges, elle était premier adjoint, chargé des finances. C'est l'époque où elle confondait les francs et les euros.
En vérité le budget 2004 a été élaboré par son père et non par elle, et à aucun titre.
Elle, elle vient de majorer de près de 5% le suplément d'impôt que le contribuable devra payer en 2006.
Ainsi, elle ne l'augmentera pas dans la période pré-électorale de 2007.
Il ne faut pas se parer des plumes du Paon.
La Voix
dimanche, juin 04, 2006
samedi, juin 03, 2006