samedi, septembre 30, 2006

Jusqu'au 7 octobre : percolateur blues,
théâtre des déchargeurs 75 001

Un jeune homme se raconte. Il cause, cause, cause... De sa vie, des femmes, des difficultés d’être et d’aimer. Il est enfermé dans son monde et quand il en sort, c’est une souffrance supplémentaire. Mais il faut bien vivre et peut-on vivre sans les autres, sans l’autre ? Alors quand elle arrive... Il se résigne.

Cyril, JH, 30 ans, rêveur et passsionné, Cherche raisons de vivre et jeune femme à aimer sur table en pin. Réponses inattendues bienvenues Auteur : Fabrice Melquiot, Artistes : Marie Bastide, Luc Cerutti, Laurianne Escaffre, Yvonnick Muller, Adeline Picault, Audrey Santacroce, Metteur en scène : Damien Chardonnet

LA PRESSE : quelques échos

«Bravo à l’interprétation en convulsions subtiles de LaurianeEscaffre.Un travail à la hauteur de l’écriture de Fabrice Melquiot. »
L’Humanité Sept 06

"Un mémorable et drôlatique numéro d'orgasme (de Lauriane Escaffre).Amusant et bien vu."Le Journal Du Dimanche Sept 06

« C'est un évènement théâtral, qui ne peut que séduire le plus grandnombre,une opportunité de découvrir le présent du théâtre à hauteur dumeilleur dece qu'on peut attendre » France2

Sans famille

Selon l’opposition de gauche, lors du conseil municipal du jeudi 26 septembre 2006,avant que je n’entre en séance, madame le Maire aurait répondu :
« j’ai le sens de la famille »
On peut interpréter cette phrase de diverses façons. S'il s’agit des sentiments, le sens de la famille, c’est la caractéristique de notre famille.

S'il s’agit de notre affrontement politique, la phrase n’a plus de sens. Je n’ai jamais eu de désaccord familial ma vie durant.
Cependant je place Puteaux au niveau de ces sentiments, malgré l’importance qu’ils représentent à mes yeux, surtout depuis qu'ont été arrachés à la vie mon fils et mon épouse.

Mon combat reste un combat politique. Bien évidement, si on n’y prend garde, il n’est guère de nature à intégrer l’esprit de famille.

Je suis sans famille
.

Mon combat politique porte sur une cascade de refus:

A l'instar de la population, Je n’ai pas accepté l’avenant de 7 millions d’euros pour changer les vitres de la médiathèque, voté pendant mon hospitalisation, par les lâches, qui me doivent leurs élections.
A l'instar de la population, je n'ai pas accepté une majoration de l'impôt local en 2006, qu'aucune exigence financière ne justifie

A l'instar de la population
, je n'ai pas accepté que les dépenses de festins, de cadeaux, de voyages, de fanfreluches, de falbalas, passent en deux ans de UN million à 3,5 millions d’euros. Cet excès méprisant a pour but inaccessible de tenter de transformer les citoyens, en clientèle servile sans dignité. La population ne s’y trompe jamais.Elle désaprouve.

A l'instar de la population, je n'ai pas accepté la capitulation sans condition et sans combat de la Mairie devant l’Etat qui a fait verser illégalement par la ville 2 millions d’euros à l’EPAD. Un renouvellement est prévu tous les ans.

Un jour il faudra payer les frais de fonctionnement de la Défense. Ce jour là n’est pas légalement arrivé. Alors pourquoi payer avant ? Alors pourquoi payer plus ?

Le temps des investitures pour les élections et ses prébendes alléchantes ne doit pas conduire un Maire, homme ou femme, à sacrifier les intérêts de la population sur l’autel de ses ambitions fugitives. Ces illusions ne sont parfois qu’un mirage trompeur, ou un miroir aux alouettes.

A l'instar de la population je n'ai pas accepté
, que plusieurs employés soient contraints de renier leur vielle amitié pour moi, sous peine de sanctions pour des raisons extra professionnelles, avec la férocité que l’on sait.
A l'instar de la population, je n'ai pas accepté, qu’on ait essayé de faire croire, que la santé allait me fuir.
J’aurais préféré profiter de ma santé revenue et renforcée, plutôt que d’avoir à me dresser, pour empêcher que le Puteaux nouveau, que j’ai construit ne roule aux abîmes.

Dans cet imbroglio momentané, s’en oublier aucun de ceux qui ont marché à mes côtés, aucun de ceux qui m’aiment encore, aucun de ceux qui ont approuvé mes ambitions d’ hier, aucun de ceux qui partagent ma vision de demain,
Je suis la voix qui dit non.

Charles Ceccaldi-Raynaud

vendredi, septembre 29, 2006

Conseil municipal du 28 septembre 2006

Les lieux encerclés par des forces diverses
Des policiers municipaux partout. En haut, en bas, à l’entrée.
Sur le passage: deux personnes, un fonctionnaire chargé des sports, dont madame le Maire connaît la famille. A ses côtés Garzoli, autrefois président de la section boxe. Aujourd’hui, il ferait triste figure sur un ring.
Il est là
car il demande un échange d’appartement pour son fils.

L’hôtel de ville d’habitude transformé en restaurant, comme encore aujourd’hui, toutes portes verrouillées, devient fort Chabrol, ou un casemate du mur de l’atlantique.
La police nationale, présente dans la tribune, et devant toutes les issues, agit en présence du commissaire de police, ami de madame le Maire, et qui selon un internaute, « travaille avec lui de manière étroite et régulière »
Au-delà de la police, l’équipe de rugby occupe une partie des lieux, et expose ses muscles provocateurs. Le président qui conduit l’équipe est un fournisseur de la ville.
Une réunion du conseil municipal n’est pas une mêlée de rugby. Tout ce déploiement de forces hétéroclites pour rassurer le Maire ne présente t-il aucun inconvénient du point de vue de l’intérêt général ? Le conseil délibère sous la menace. Personne ne reçoit de réponse à ses questions.
Et pendant ce temps là. Pendant ce temps, qui court après les délinquants ? La sécurité de la population compte plus que celle d’une personne. Cette méthode ne répond pas aux exigences de la démocratie. Quand les casseurs de la statue de Lorilleux vont-ils être arrêtés ?
Bref on est en pleine dérive. La réalité n’est plus la réalité. On regarde un feuilleton policier de mauvaise qualité.

jeudi, septembre 28, 2006

Sous le régime de vichy

Charles Ceccaldi-Raynaud a réalisé une synagogue digne de Puteaux, comme il le fera à son retour pour d’autres croyances.

Le Président de la communauté juive de Puteaux, Secrétaire-Rapporteur du consistoire de Paris l’a invité à assister à la prière du nouvel an.

Aussitôt son frère, employé de mairie, a été exilé dans un local éloigné
Aussitôt, sa mère, hôtesse à la mairie a reçu des menaces de madame le Maire.
Nous ne sommes plus sous Vichy. L'esprit du vel d’hiv ne peut pas renaître.

La population n’acceptera pas que la mairie soit gérée selon les méthodes totalitaires encore en vigueur dans d’autre pays.

En France c’est la République. L’incompétence et l’inculture peuvent conduire à toutes les extrémités.

Tous les républicains, toutes croyances et opinions confondues, présentent leurs excuses au président de la communauté juive pour le tort fait à sa famille innocente.

mercredi, septembre 27, 2006

La parité et le monde du travail


Beau succès de la réunion organisée hier soir, par Emilie Quintin, déléguée départementale à la parité.


Le débat s'est tenu à Châtillon, à l'invitation du Maire de la ville Jean-Pierre SCHOSTECK et de Philippe PEMEZEC,Député de la circonscription.


Ont participé à un échange avec le public, venu en nombre, de toutes les villes du département :

Patrick DEVEDJIAN, Philippe PEMEZEC, Philippe JUVIN, Isabelle DEBRE, Jeannette BOUGRAB, Bérangère POLETTI, Marie-Pierre BADRE, Dominique Naveau-Duchêne et biensûr Emilie QUINTIN qui a orchestré les échanges.


Patrick DEVEDJIAN a introduit les débats en rappelant, chiffres à l'appui, que notre Département était le premier par le nombre de femmes composant les exécutifs municipaux, la palme revenant à trois villes de droite et divers droite dont Plessis-Robinson administrée par Philippe PEMEZEC. Il a également souligné les situations parfois cornéliennes relatives à la volonté paritaire. Comment expliquer à des élus qui ont la légitimité du suffrage universel et un bon bilan à leur actif qu'au seul motif qu'ils ne sont pas des femmes, il faudrait qu'ils cèdent leur place de façon que le nombre de femmes investies pour les législatives augmente sensiblement?


Philippe PEMEZEC a, avec beaucoup d'humour, recentré le débat disant qu'il ne s'agissait en rien d'une guerre de pouvoir entre homme et femme, mais à rebours de la recherche d'un équilibre par la complémentarité que devait produire leur union dans l'objectif d'une meilleure gouvernance. En somme il ne s'agit pas tant de mettre une femme parcequ'elle est femme, que de placer un individu qui par son vouloir et son potentiel contribuera à l'harmonie d'une gestion commune.


Jeannette BOUGRAB pour sa part a livré un témoignage personnel rappelant en sa qualité de petite fille de harkis que la première discrimination n'était pas d'avoir des origines algériennes mais bien d'être une femme. Les violences à l'encontre des femmes tuent, quotidiennement. Quelque soit par ailleurs le milieu social de l'individu. Non sans ironie, Jeannette BOUGRAB a rappelé que les femmes avaient d'abord eu un droit de vote circonscrit aux élections locales. Ainsi s'est-elle à haute voix interrogée : faut-il que les femmes bénéficient antérieurement de la parité au plan local pour en bénéficier à l'échelon national? (Jeannette Bougrab a recommandé le film indigènes pour avoir à l'esprit l'histoire de ses aïeux).


Philippe JUVIN, quant à lui a insisté sur deux points fondamentaux. Le premier porte sur notre devoir de refuser toute tergiversation afférente aux principes républicains d'égalité et de dignité. La culture ne peut servir de paravent à l'acception de violations de ces principes fondateurs. L'excision, que certains présentent comme une donnée culturelle est une violation de la dignité, portant atteinte à l'estime individuelle. En substance, il a cité le cas d'une petite fille, disant qu'elle ne souffrait pas moins du fait que cette pratique soit inscrite dans le corpus des traditions de "sa culture".

Le second point qu'il a développé est celui de l'intériorisation des possibilités qui se font dès le plus jeune âge. Qu'est ce qui va peser dans l'inconscient d'une petite fille sur sa vision de la possibilité ou de l'impossibilité qu'elle aurait d'exercer plus tard telle ou telle profession. Ainsi a-t-il nuancé les propos d'un intervenant qui pensait que les jeunes femmes auraient moins accès aux études supérieures. Un chiffre marquant, corroborant la démontration du Professeur JUVIN, 70% des étudiants en seconde année de médecine sont des étudiantes.


Enfin un point très pertinent. Contrairement à certains a priori, l'égalité des genres profite à tous.(voir son intervention à la convention UMP sur les femmes, video sur la vie quotidienne des femmes) Un exemple pour illustrer son propos : Un comportement inscrit et cautionné par l'inconscient collectif comme masculin est la consommation d'alcool en discothèque pour les jeunes hommes. Cela a une incidence non négligeable sur les disparitions imputables aux accidents de la route. L'imaginaire collectif, relatif aux attributions des genres doit donc évoluer, boire de l'alcool n'a rien de viril comme être infirmier n'a rien d'" effeminisant".
Concernant la conciliation avec la vie professionnelle stricto sensu, il a également ajouté que les hommes s'entouraient plus volontiers d'hommes et que c'est probablement à ce niveau qu'il faudrait qu'évoluent les mentalités.
Les employeurs regardent trop souvent la femme comme la mère ou la future mère donc une personne moins disponible.

A cet égard la dirigeante du groupe SAFRAN, Madame DESCHEEMAEKER, également adjointe au Maire de Neuilly, a témoigné que dans son entreprise d'une part les réunions n'étaient pas programmées tard le soir ou tôt le matin, et d'autre part qu'une mesure spécifique avait été prise. Généralement les personnes à haut potentiel sont recensées entre l'âge de 30 et 35 ans en entreprise ce qui était inégalitaire puisque cela correspond à l'âge où les femmes ont leurs enfants, et donc de fait contribue à les évincer du processus d'avancement. Le groupe SAFRAN a donc repoussé cet âge à 45 ans pour les femmes de façon qu'elles puissent bénéficier de conditions optimales.

Un débat qui reste donc ouvert, dont un compte rendu détaillé sera prochainement accessible sur le site de la fédération du 92.

msm

Réception des médaillés du travail :
Atmosphère pesante

Pour cette réception, aucun membre de l’opposition de gauche ou de droite n’a été invité.

Madame le Maire se conduit comme si la mairie était sa propriété, alors qu’elle n’a même pas été élue.

Dans notre pays démocratique, aucun élu, aucun Préfet, aucune autorité, ne se comporte de cette manière, qui exclut l’autre, parce qu’il est l’autre.

Madame le Maire a offert à manger. Elle croit à l’adage :
"un festin=une voix. "

Cet adage contredit la loi sur les comptes de campagne.
Madame le Maire a beau s’abriter derrière son cher commissaire, elle n’est pas au-dessus des lois.
Elle a lu avec difficulté un texte écrit par son entourage, elle était éteinte. Elle s'est enfermée dans son entourage.
Tout était médiocre . Seuls ses policiers avaient revétu leur tenue d'apparat comme si l'on était à l'Elysée

Tous les républicains de Puteaux et d’ailleurs ne peuvent que s’indigner d’un comportement qui marque une inaptitude a être le maire de tous, même quand la mairie par sa faute s’enfonce dans la décadence.

Appelez la directrice de cabinet logée dans un hôtel particulier de luxe. Elle ne répond pas. Elle n’est pas de Puteaux.
Puteaux se limite aux avantages dont elle bénéficie.

mardi, septembre 26, 2006

LE MONDE 26.09.06 13h33 • Mis à jour le 26.09.06 13h33


l'accession à la direction des grandes entreprises reste un privilège masculin. Moins de 10 % des administrateurs et des membres des comités exécutifs des 300 plus grandes capitalisations boursières mondiales sont des femmes, selon une étude du cabinet Ricol Lasteyrie & Associés, rendue publique mardi 26 septembre.


Dans les entreprises françaises du panel, cette représentativité tombe à 4,7 % pour les comités exécutifs et 7 % pour les conseils d'administration. Anne Lauvergeon, à la tête du français Areva, est la seule femme qui dirige un grand groupe européen.

PALME DU SEXISME AU JAPON

Les entreprises américaines ne sont guère plus ouvertes : seules trois des 100 premières sociétés y sont dirigées par des femmes (eBay, avec Margaret Whitman, PepsiCo, avec Indra Nooyi, et Kraft Foods, avec Irene Rosenfeld). La palme du sexisme revient aux entreprises japonaises, où moins de 2 % des administrateurs sont des administratrices.

"Je reçois plus de propositions pour siéger à des conseils qu'avant. Les mentalités évoluent. Mais très lentement. Quand j'ai commencé ma carrière, je ne pensais pas qu'on en serait encore là aujourd'hui", témoigne Patricia Barbizet, directrice générale et membre du conseil d'administration d'Artemis, holding de François Pinault.

"Il y a autant de femmes diplômées d'écoles de commerce que d'hommes en France aujourd'hui. Dans les entreprises, elles mènent souvent des carrières brillantes. Mais, au-delà de 35 ans, avec les maternités, elles sont de moins en moins présentes dans les échelons hiérarchiques. Les hommes continuent d'avoir moins mauvaise conscience qu'elles à privilégier leur vie professionnelle", constate Sonia Bonnet-Bernard, associée du cabinet Ricol.

Aude de Thuin, organisatrice du Women's Forum (à Deauville), du 5 au 7 octobre, souligne quant à elle le mode de désignation des administrateurs : "Le principe de la cooptation continue de prévaloir, les hommes préférant nommer d'autres hommes afin de prendre moins de risques."

Faudra-t-il légiférer et imposer des quotas, comme en politique ? L'idée révulse nombre de grands patrons. L'Institut français des administrateurs, une association professionnelle qui vise à améliorer la gouvernance des entreprises, prône l'objectif de 20 % de femmes administratrices.

Cécile Ducourtieux
Article paru dans l'édition du 27.09.06

lundi, septembre 25, 2006

Un de plus

La mairie recrute un spécialiste de la procédure des marchés publics.
C’est donc que ni la directrice de cabinet, dans son hôtel municipal de luxe, ni le directeur adjoint des services, ni le chef du service des marchés ne connaissent suffisamment le code changeant des marchés.
Quant à madame le Maire, elle n'y connaît rien.
Rien d’étonnant que les bénis oui oui aient voté un avenant de sept millions d’euros pour la médiathèque.
La ville emploie plus de 1600 fonctionnaires et employés.
Il y aura un fonctionnaire de plus. Rien de plus.
Seulement une dépense de plus.

Compte de campagne

La commission nationale des comptes de campagne et du financement de la vie politique doit être saisie de toute infraction.

Vendredi 22 septembre, grande réception à la mairie en robe longue.
Il faut évaluer le prix de cette réception dans l’année qui précède les élections législatives.
On aura remarqué que Madame Ceccaldi signe désormais le Maire, alors qu’avant elle faisait précéder sa signature de la mention Député-Maire.
Les cadeaux, bouquets de fleurs, voyages, fanfreluches festins préparés dans la cuisine calfeutrée auraient dû cesser depuis le premier janvier.
Il y a des spécialistes à Puteaux. Les salons d’honneur peuvent contenir 800 personnes. Il faut calculer un chiffre dans une fourchette de dépenses.
Une employée paradait en robe longue. D'autres invités sont rentrés comme elle, par le garage. Que veut on cacher?

Achat de suffrages

Article 106 et 108 du code électoral
Les dépenses pouvant être qualifiées "d’achat de suffrages "font encourir des peines pouvant aller jusqu’à deux ans de prison.
Ceux qui profitent de ces dépenses peuvent être poursuivis pour complicité

dimanche, septembre 24, 2006

La communauté juive de Puteaux a accueilli

Charles Ceccaldi-Raynaud
A la nouvelle synagogue pour le nouvel an juif

Aujourd’hui, dimanche 24 septembre, environ 600 personnes sont venues prier dans la nouvelle synagogue, pour le jour de l’an, et pour souhaiter à tous santé et succès.

Une prière a été dite en l’honneur de Charles Ceccaldi-Raynaud pour qu’il demeure en pleine santé pendant longtemps, comme maintenant, et pour son bonheur personnel.

Charles Ceccaldi-Raynaud a été reçu par Maître Elie Korchia, Président de la communauté de Puteaux, Secrétaire-Rapporteur du consistoire, qui l’a accompagné.

samedi, septembre 23, 2006

Contrats et résultats

Grande mise en scène hier à la mairie pour la signature d’un contrat local de sécurité.

Les oppositions de droite comme de gauche, ont été écartées. On a voulu mettre le commissaire de police à l'abri d’éventuelles critiques publiques.

Ce procédé est un défi à la démocratie que le maire intérimaire, pratique en permanence.

La délinquance constatée dans la commune au cours des premiers mois de l’année 2006, marque une baisse ? Une baisse invisible de 0,55%

La délinquance à la défense ne rentre pas dans le calcul.
Le chiffre donné n’a donc plus de signification.
Si la délinquance n’a pas diminué, les contraventions montent en flèche principalement le dimanche autour du marché.

Tout récemment, le cirque installé aux bergères, a bloqué la circulation pendant un long moment à la suite d’un arrêt des feux de la circulation.

L’internaute de service habituel parle d’une collaboration « étroite et régulière » de madame le Maire avec le commissaire.
Ces relations au-delà de leur intérêt individuel, conduisent une partie de la police nationale à s’occuper par force des querelles municipales et à prendre parti

Les 8 médiateurs de quartier ne sont titulaires que du BAFA.
Pourquoi pas puisque madame le Maire n’est titulaire de rien?

Le service de l’emploi a été détruit pour des raisons politiques imaginaires.

Dans une conjoncture de forte diminution du chômage dans le pays, 300 jeunes en formation, c’est nul par rapport aux résultats qu’obtenait madame le Poec .


Une fois de plus l’intérêt de la population n’a pas primé sur la vengeance des lâches.
Maintenant que le contrat magique est en place, on devrait pouvoir identifier les casseurs de statue.

vendredi, septembre 22, 2006

Chana Tova Oumetouka


Charles Ceccaldi-Raynaud
souhaite une

Bonne et douce année
à la communauté juive à l'aube de l'année 5767

Coran et Évangile : les proximités oubliées de deux messages célestes,
Par Youssef Seddik (Philosophe et anthropologue).
Publié le 22 septembre 2006, in le figaro


L'islam, ultime moment de la révolution monothéiste proclamée par ce «sacré» Mésopotamien nommé Abraham préoccupe aujourd'hui le monde comme jamais sans doute une religion ne l'a fait. L'islam a reconnu pleinement les deux autres moments du même credo, et repris l'essentiel des principes et des symboles du judaïsme et du christianisme.

Car, s'exclut de l'islam, et sans appel ni pardon, celui ou celle, parmi les musulmans, qui rejette Moïse et la Torah, «bonne guidance et lumière» (Coran V, 44), ou qui ne vénère l'Évangile et Jésus, «Verbe procédant de Dieu» (III, 45 et XIX, 34). Difficile de reconnaître sans troubles un «Autre» aussi semblable !

C'est le christianisme surtout qui n'a pu supporter une telle prétention de l'islam à le conserver tout en le dépassant. Le judaïsme a pris acte qu'aucune des deux autres expressions du monothéisme ne lui conteste la gloire de l'aînesse et de la garde de la «vieille Demeure».

Rien donc dans la parole fondatrice de l'islam ne justifie une inimitié si tenace transmise de pape en pape et d'un monarque à son héritier comme le témoin d'un long relais jusqu'aux «petites têtes blondes» dans les écoles de la République. Rien que ce refus catégorique dans le Coran de la lecture partisane du legs de Jésus érigée en dogme un jour de l'an 325 à Nicée, là où le bon vouloir de l'empereur Constantin a pu imposer dans un concile tumultueux la doctrine de la filiation divine de Jésus et celle de la Trinité.

Pourtant les chefs d'Église depuis ceux qui ont levé les Croisades jusqu'à Benoît XVI n'ont rien trouvé de mieux pour voiler leur embarras devant cette proximité entre l'islam et l'enseignement originel de l'Évangile que d'entretenir et d'approfondir la faille entre ces deux credo. Il est grand temps, il est urgent que les dignitaires et les «décideurs» du christianisme cessent de mettre en avant une construction historique chargée de parti pris, de haine et de rémanence guerrière et s'accrochent à cette parenté entre les deux messages célestes.

Seulement les musulmans eux-mêmes, leurs doctrinaires et les instances de pouvoir qui ont commandé depuis toujours d'une même main le théologique et le politique ont fait que l'islam historique demeure incapable de convaincre de son universalité et de sa réelle capacité à voisiner dans la paix et l'échange avec d'autres visions du monde.

En ce jour, on se prépare à un grand rite de l'islam, le jeûne de Ramadan, il est utile peut-être d'expliquer à cette occasion l'une des raisons majeures de cette incapacité.
L'islam historique a en effet surdéterminé l'attachement au rituel aux dépens d'une élévation spirituelle très présente pourtant dans le Texte fondateur, oubliée toutefois dans une excessive «talmudisation» qui donne au geste cérémonial une prépondérance indue sur l'acte intime et silencieux de la foi.

Rares en effet les fidèles partout dans le monde islamique qui savent (ou admettent quand ils savent) que cette notion des «cinq piliers de l'islam» n'est formulée nulle part dans le Coran.

Prenons ces piliers rapidement un à un. Le premier dans l'ordre de l'énumération comme dans celui de la foi, («attester qu'il n'y a de dieu que Dieu...»), est par excellence de l'ordre de l'intime et du silence ; le dernier celui du pèlerinage à La Mecque ne concerne que les fidèles qui auraient les moyens économiques et physiques de s'en acquitter.

Le deuxième, celui de la prière quotidienne, n'est nulle part codifié en cinq prières rigoureusement situées dans la journée, alors que les ablutions qui précédent toute prière sont méticuleusement détaillées.

Le troisième, le devoir d'aumône, est prescrit sans aucune précision d'un pourcentage ou de la nature des biens sujets au prélèvement.

Reste le jeûne de Ramadan : un premier texte parle seulement d'«un jeûne prescrit pour des jours comptés comme il a été prescrit à d'autres peuples avant vous» (II, 183), puis étrangement donne le choix aux croyants aptes de jeûner ou de nourrir un pauvre : «pour ceux qui y sont aptes, offrir à la place repas à un pauvre» (II, 184). Une dérogation aussi explicite a été ignorée dans la construction tardive du rituel et y avoir recours est considéré à présent comme un grave manquement.

Après l'exposé d'une véritable «philosophie» du jeûne, le Coran poursuit en nommant enfin le mois d'abstinence assigné aux musulmans : «Le mois de Ramadan au cours duquel le Coran a été révélé comme guidance pour les Hommes, Miséricorde et preuves claires de la bonne direction et du discernement. Qui d'entre vous sera témoin de la lunaison, qu'il jeûne le mois» (II, 185).

Une lecture seulement «ritualiste» de ce verset a prévalu, qui rature cette connexion entre le mois du jeûne et une référence à la révélation du Coran. Or c'est cette même connexion qui donne à la prescription du jeûne un tout autre sens et justifie que l'on puisse y déroger en donnant à manger à un pauvre comme il a été dit précédemment.

De cette corrélation entre la révélation et le mois du jeûne nous devons entendre qu'il nous est recommandé d'écouter dans la sérénité et le silence cette parole qui nous arrive droit de la Transcendance. S'abstenir de manger, de boire ou de pratiquer l'acte sexuel devient alors tellement secondaire !

C'est ainsi d'ailleurs qu'à la Vierge Marie il a été recommandé dans ce même Coran de recourir à un jeûne (le même mot sawm, utilisé pour désigner l'abstinence au mois de Ramadan) pour expliquer son enfantement miraculeux, un jeûne qui n'a rien d'alimentaire et dont Marie a parlé ainsi : «J'ai voué au Miséricordieux un jeûne si bien qu'à nul humain je n'adresserai la parole.» (XIX, 26)


Derniers ouvrages : Nous n'avons jamais lu le Coran (2005) et Qui sont les barbares ? (2006) aux Éditions de L'Aube. En collaboration avec le cardinal Olivier de Béranger et le grand rabbin René-Samuel Sirat : Torah, Bible et Coran : Regards croisés (à paraître en décembre 2006) aux Éditions Bayard Presses.

Islam, Paix, République

Que signifie Islam, étymologiquement? Certains, sûrs de leur savoir s'empressent de vous répondre soumission.

Cela est partiellement vrai. Et de cette partialité proviennent nombre de dérives. Si se soumettre c'est être en paix avec plus fort que soi, précise le Professeur Odon Vallet, alors c'est une idée juste. mais il faudrait alors ajouter : "Islam veut dire paix". (sur le même thème, bonne tribune de Youssef Seddik, philosophe, dans le figaro de ce jour, reproduite dans la précédente note)

Islam, comme musulman, Salomon et Jérusalem dérivent d'une même racine S-L-M, vocalisée Shalom en hébreu et salam ou islam en arabe. Surprenant? La racine s-l-m couvre un champ sémantique large incluant : bien-être matériel, sécurité affective et plénitude spirituelle.
Il faut distinguer l'islam de l'islamisme qui n'est pas une religion mais une idéologie.

L'actualité suscite plusieurs réflexions. La première est celle de la préservation de nos valeurs fondatrices que sont le respect républicain et la liberté d'opinion. La seconde porte plus spécifiquement sur l'idéologie en tant que perversion destructrice de nos valeurs, la dernière que je développerai dans cette note concerne la jugulation du ressentiment quant à la réussite matérielle et l'élévation spirituelle.

Tolérer, est-ce tout accepter ? Assurément, non. La tolérance, corrélat du respect républicain n'est pas synonyme de relativisme. Elle en est aux antipodes. La République est fondée sur des valeurs sacrées. La tolérance est circonscrite par le respect de ces valeurs. La tolérance ce n'est pas cautionner l'uniformisme, c'est respecter les divergences d'opinions tant qu'elles n'entravent pas l'édifice de notre République. Le relativisme des valeurs présente un vrai danger, ainsi ne puis-je résister au plaisir de citer Tocqueville, :

"vous dîtes qu'on abandonne les mauvaises idées politiques, et moi je vous dis qu'on abandonne même les bonnes./.../
Et ce mal, savez-vous comment il s'appelle? C'est l'indifférence, c'est le sommeil. /.../


Vous dîtes que la paix existe, et je vous dirais encore que la guerre n'a fait que changer de théâtre ; de politique, elle est devenue philosophique et religieuse."

La liberté d'opinion est nécessaire au-vivre ensemble des hommes, c'est dans la pluralité que se révèle leur humanité. La liberté de penser est indissociable de la confrontation critique des points de vue. D'elle seule résulte en effet l'objectivité. Mais attention la liberté de penser suppose l'effort de s'arracher aux préjugés par l'acceptation de cette confrontation. La réflexion, par sa polysémie réfère à l'éclairage qui nous permet d'avancer.

La raison, nous permet d'avancer. La rationalisation, à rebours, est un simulacre de raison. Rationaliser c'est camouffler derrière une apparence de raison des passions négatives, comme le ressentiment, qui guident le raisonnement. Celui qui rationalise n'est donc pas libre, dans la mesure où il est incapable de se déprendre des affections extérieures. Ou pire encore, il veut sciemment tromper les autres par son simulacre de raisonnement.

Or l'idéologie n'est rien d'autre qu'une rationalisation. L'idéologie, c'est la logique d'une idée, comprise comme mouvement de déduction. Déduction en ce qu'il s'agit d'un mouvement interne sans confrontation avec l'extérieur. Or comme le rappelle Anne Amiel, la transformation de l'idéologie en arme totalitaire consiste précisément à porter tout l'accent sur le calcul et la déduction. On comprend comment l'idéologie contribue à faire s'évanouir la capacité à distinguer le vrai du faux.

On voit ainsi émerger le terme de nazislamisme, au sens où l'idéologie islamiste n'est pas sans rappeler le processus à l'oeuvre dans le nazisme, et dans toute forme de totalitarisme.

Une distinction est fondamentale entre d'une part l'Islam comme religion qui est tout à fait compatible avec nos valeurs républicaines et l'idéologie que certains voudraient faire passer pour Sainte écriture. Ils avaient perdu l'esprit pour la lettre écrit EE Schmitt dans l'évangile selon Pilate : cette citation illustre parfaitement la dérive à l'oeuvre dans ce processus. Cette idéologie n'est pas le propre de l'islamisme, on la retrouve dans le ressentiment de l'extrême gauche qui en déniant à l'individu sa liberté d'entreprendre et de jouïr de sa réussite met à l'oeuvre ce que Nietzsche appelait la domination des faibles par la diffusion d'un sentiment de culpabilisation.

Le danger imminent réside donc dans la contamination par cette forme de culpabilisation qui commence par l'égalisation des valeurs. On confond, sans grande prudence, tolérance et relativisme. On confond sphère publique et sphère politique. Au royaume du "juste prix" où tout se vaudrait on en néglige la confrontation des idées sur la scène politique.

Le désengagement politique est pourtant la porte ouverte à toute sorte de dérive, dont la plus menaçante est ce triomphe de l'idéologie sur la raison, porte ouverte au totalitarisme.

Benjamin Constant avait vu juste : "le danger de la liberté moderne, c'est qu'absorbés dans la puissance de notre indépendance privée, (..)nous ne renoncions trop facilement à notre droit de partage dans le pouvoir politique"

msm

jeudi, septembre 21, 2006

Débat attractif à Courbevoie

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2/
A l'initiative de Jacques Kossowski,
Député-Maire de Courbevoie, France Gamerre, Présidente de Génération Ecologie, adjointe au Maire de Marseille, est venue échanger avec plus de 200 personnes sur le thème : "comment concilier l'économie et le respect de l'environnement "?.

Yves Révillon, Maire de Bois-Colombes, Vice-Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine, et également délégué UMP de la 3e circonscription, sensible au développement durable, était des nôtres.

Après avoir pris soin de distinguer deux courants chez les écologistes, à savoir les partisans de la décroissance parmi lesquels se situent les altermondialistes, du courant basé sur la modération et l'équilibre, (dont Génération écologie) France Gamerre, Docteur en économie, a suscité un vif intérêt par la pertinence de son argumentation, loin de tout dogmatisme.

A noter la présence significative de membres de génération écologie venus de Bretagne et de Franche Comté pour la soirée.

France Gamerre se porte candidate à la Présidentielle de 2007, comme elle l'a confirmé.

Un débat intéressant, qui a eu le mérite de montrer qu'écologie n'était pas synonyme d'utopie.


(Photo 1 : Jacques Kossowski et Yves Révillon)
(Photo 2 : tribune de gauche à droite : France Gamerre, Benoît Deneulin, Michel Chambers, Jacques Kossowski et Yves Révillon)

mercredi, septembre 20, 2006

Le lèche bottes arrive aussitôt

Quand on ne connaît rien à la police, pas plus qu’à quoique ce soit, on se fait dicter le texte par la personne qui se sent mise en cause.
Il serait donc plus facile d’identifier les criminels présumés de Saint Denis, que les casseurs de statue de Puteaux?

Il faut noter, que l'auteur du texte dit ce que nous ne cessons de dire:
"madame travaille en étroite collaboration et d’une manière régulière avec le commissaire"
. Cette allusion rassure qui ?
En quoi cette « collaboration étroite et fréquente » renforce t’elle la vraie police, à laquelle tout le monde rend hommage ?
Il n’y a pas à présumer, il faut s’en remettre aux faits.

Patrick Devedjian


Mercredi 20 septembre : Patrick Devedjian sera invité du « Grand Journal » de Canal+, à 19h10.

Sécurité
Monsieur le Prefet de Seine Saint Denis met en cause les deux institutions chargées d'assurer la sécurité: la police et la justice.
Il se plaint de l'inefficacité de certains commissaires.
A propos de la destruction de la statue du temple d'amour à Lorilleux, l'enquête de la police nationale de Puteaux n'a débouché sur rien, pour l'instant.
Cette absence de résultat nourrit la légitime inquiétude de la population.

Commission nationale des comptes de campagne

Cette commission assure le contrôle des dépenses d'un candidat, pour sa propagande, directement ou indirectement. dans l'année qui précède une élection
Or la mairie a fait calfeutrer la cuisine proche du hall administratif.
Les travaux effectués n'empèchent pas la lumière de filtrer, et le bruit de la cuisine de se répandre dans le couloir.
Ces travaux n'ont pour but véritable que d'occulter ce qui se passe dans la salle à manger.
Désormais la commission nationale sera saisie pour lui permettre de dire si une dépense électorale est oui ou non déguisée en dépense municipale.

Reprise de l'emploi dans le 92

On constate en juillet une baisse des demandeurs d'emplois de 2,2% (soit 1 300 personnes en moins). Ce recul profite surtout aux cadres (-21,2% sur un an) et aux jeunes (-16,1%) Il est à noter que dans les Hauts-de-Seine, la part des jeunes à la recherche d'un emploi (8,4%) est deux fois plus faible que sur l'ensemble du territoire français (16,1%).

mardi, septembre 19, 2006

Le Maire d'Asnières limoge son Dircab, A Puteaux, la Dircab dicte sa loi

Cliquer sur le titre, pour accéder au site du Député-Maire d'Asnières

Quand le Maire est occupé par des missions pointues comme la commission du suivi de l'opinion de l'UMP pour notre ami Manuel Aeschlimann, Député-Maire d' Asnières, ou qu'il n'a pas les capacités pour administrer sa propre commune,comme à Puteaux, tous les pouvoirs se trouvent dans les mains du directeur de cabinet. Il s'impose aux élus et à l'administration.
C'est ce que le Maire d'Asnières a toléré, jusqu'au jour où le directeur de cabinet a paru passer les bornes en voulant commander lui-même ouvertement.
Le Maire d'Asnières a eu le courage de virer le directeur.
A Puteaux le mécanisme est un peu different.
La directrice commande par personne interposée.
Il est vrai qu'elles sont d'égale incompétence.
Quant aux bénis oui-oui, ils n'ont qu'à se taire.
La directrice de cabinet continue d'occuper le plus bel hôtel particulier de Puteaux. Cette affectation inhabituelle signifie qu'elle est considérée comme située au sommet de la hiérarchie.
La population peut-elle accepter d'être en fait administrée par quelqu'un qu'elle ne connait pas.
Le courage du Maire d'Asnières n'a pas d'équivalent à la Mairie de Puteaux.

lundi, septembre 18, 2006

Tribune : Jospin à la peine

Par Alain Lambert, Sénateur de l'Orne, Ancien ministre délégué au budget et à la réforme budgétaire


L'exercice est certes difficile mais l'invité a perdu pied souvent. Incompréhensible sur son refus de dire s'il est ou non candidat, il y a gros à parier qu'à force d'hésiter le train partira sans lui. Hésitant également sur la qualification du programme de son parti. Socialiste ou pas ?

Comme la dernière fois, on n'en saura rien. Myope, il ne voit pas de différence entre la social-démocratie incarnée par DSK et la gauche gauche de Laurent Fabius. Flou, mais plutôt pour la renationalisation d'EDF, voire de GDF. Imprudent, il qualifie Suez d'entreprise belge.

Désespérant sur les finances publiques, il semble se fixer comme cap les 3% de déficit ; l'équilibre et encore moins l'excédent budgétaires ne sont dans sa culture. Et le désendettement pas d'actualité. Constant sur le nombre de fonctionnaires dont il n'envisage pas de réduire le nombre. Désarmant de naïveté sur les augmentations du SMIC qu'il promet au privé sans trop savoir pour le public. Irresponsable sur la question des retraites et notamment sur le cas des régimes spéciaux dont on comprend qu'il ne les trouve pas injustes. Fuyant sur les menaces des syndicats qu'il ne veut pas juger « craignant de ne pas s'en sortir !» (sic).

Carrément à la dérive sur le mariage homosexuel en renvoyant au Parlement une question qu'il prétendait hautement philosophique quand il était Premier Ministre. Brouillon sur la carte scolaire en se situant sur une ligne « on ne change rien ». Il ne fût à la hauteur que sur la position du pape à propos de l'islam. Il trouva les mots pour appeler chacun à la raison commune. Celle-ci, à l'évidence, l'amènera à renoncer à être candidat.

impôts 2006
3%
+ 1,8%
=4,8%
+ la hausse de la taxe des ordures ménagères
aucune raison ne justifie cette forte majoration
2004 majoration : 0
2005 majoration : 2
médiathèque + 7 millions d'euros
modification de la façade principale
3,5 millions
autres travaux suplémentaires
3,5 millions

samedi, septembre 16, 2006

Grande Réunion le 26 septembre à Châtillon

Jean -Pierre Schosteck, Maire de Châtillon,
Philippe Pemezec, Député-Maire du PlessisRobinson
sont heureux de vous convier à une réunion-débat

animée par Emilie Quintin, Déléguée Départementale à la parité,

Sur le thème :
« La parité et le monde du Travail : Quelle réflexion pour la France d’après 2007 ? »

à Châtillon à l’espace Maison Blanche
le 26 septembre 2006 à 20h30

Cette table ronde se composera de plusieurs personnalités politiques et représentants du Monde du Travail, en particuliers de :

- Jeannette Bougrab, Secrétaire Nationale en charge des nouvelles adhésions, membre du Haut Conseil à l'Intégration

- Patrick Devedjian, Conseiller politique, ancien Ministre, Député des Hauts-de-Seine

- Isabelle Debré, Conseiller exécutif, Sénateur des Hauts-de-Seine,

- Roger Karoutchi, Secrétaire National Chargé des Fédérations, de l’Animation et de la Formation à l’UMP,Sénateur des Hauts de Seine, Président du Groupe UMP au Conseil régional d’Ile de France

- Nadine Morano, Déléguée Générale au Monde professionnel, Députée de la Meurthe-et-Moselle

- Bérangère Poletti, Déléguée Générale aux Femmes, Députée des Ardennes, Conseillère régionale de Champagne-Ardenne
RSVP federation ump92 01 47 45 33 15

vendredi, septembre 15, 2006

l'égalité républicaine et l'éducation nationale


[ cliquer sur le titre pour accéder à des articles sur ce thème]

Charles Ceccaldi-Raynaud se réjouit des mesures mises en oeuvre par le Conseil Général visant à compléter les programmes de l'éducation nationale notamment par le dépistage de la précocité intellectuelle et à l'adaptation des enseignements pour ces enfants. Il s'était préoccupé de cette question en août 2004, par une question publiée au journal officiel.

En effet, l'équité républicaine, l'égalité des chances, ne peut être effective que lorsqu'on permet à chaque individu de s'épanouir en lui proposant une solution adaptée à sa situation.

De la même manière que les élèves en difficulté doivent bénéficier d'un soutien individualisé pour progresser, de la même manière que les élèves en situation de handicap doivent bénéficier du droit de fréquenter l'école de leur quartier, avec si besoin est, l'aide d'un auxiliaire de vie, de la même manière l'équité commande un traitement spécifique des enfants intellectuellement précoces.

C'est une question d'égalité des chances, loin de tout égalitarisme dont nous n'avons que trop soupé ces dernières années.

Ci-dessous la question écrite que Charles Ceccaldi-Raynaud avait adressée à ce sujet, en août 2004, à François FILLON, alors Ministre de l'éducation, qui avait retenu ce principe d'égalité des chances dans son projet de loi. Il faut maintenant le rendre effectif.

"Monsieur Charles Ceccaldi-Raynaud, Sénateur des Hauts de Seine, attire l'attention de Monsieur le Ministre de l'Education, de l'enseignement supérieur et de la recherche, sur l'absence de réponse spécifique apportée à l'évaluation et au suivi des enfants intellectuellement précoces.

L'actuel refus du système éducatif relatif à la pratique de tests psychotechniques, lors des premières années de scolarisation, porte atteinte à l'épanouissement de plusieurs centaine de milliers d'enfants intellectuellement précoces (200 000 selon le rapport Deleubier, 400 000 pour l'AFEP).

L'inadaptation de la prise en charge éducative de ces enfants intellectuellement précoces est à l'origine de manifestations psychosomatiques, voire d'une tendance dépressive pour certains d'entre eux. Le développement de tests aurait pour avantage de mettre en évidence les capacités des intéressés, mais également de contribuer au dépistage de certains troubles chez d'autres enfants telle la dysphasie et ainsi à réguler le soutien à leur apporter. Un suivi adapté au rythme de l'enfant profiterait à chacun.

Les chiffres relatifs à l'échec scolaire des enfants intellectuellement précoces, qui n'ont pas été repérés comme tels, au début de leur scolarité sont alarmants. En effet, si 7% des enfants intellectuellement précoces obtiennent leur bac à 16 ans, il est notable que seuls 40% de ces enfants réussissent à l'école et seulement 44% des enfants intellectuellement précoces accèdent au bac, ce qui, comparativement à la moyenne nationale de bacheliers est très faible.

Une détection précoce des enfants intellectuellement avancés est l'unique moyen de lutter contre leur échec au sein d'un système éducatif qui leur est inadapté. Comme le souligne Bernard Leune, Président de JAL Fundation, notre République, chantre de l'égalité des chances consiste, en théorie, à donner à chancun de nos enfants l'enseignement qui lui convient.

Monsieur Ceccaldi-Raynaud demande donc à Monsieur le Ministre quelles mesures il entend mettre en oeuvre afin que chaque écolier bénéficie d'un enseignement adapté à ses aptitudes."

Le pari de Borloo

Jean-Louis Borloo, un ticket pour Paris?

"Les tractations sont discrètes, mais leur objet ne fait pas de doute : Jean-Louis Borloo, ministre de la cohésion sociale, prépare, en plein accord avec Nicolas Sarkozy, son parachutage dans la 8e circonscription de Paris, qui recouvre le 12e arrondissement, pour les législatives de juin 2007. Une décision pourrait être prise début octobre après une ultime réunion de la commission d'investiture de l'UMP consacrée aux "cas réservés".

M. Borloo n'a jamais caché son souhait de rompre ses attaches avec Valenciennes, dont il fut maire de 1988 à 2002. Député jusqu'à cette date de la 20e circonscription du Nord, le vice-président du Parti radical a toujours eu des vues sur la capitale. "Il ne le dira pas, dit un de ses supporteurs dans l'équipe Sarkozy, mais il ne rêve qu'à ça."

Une réunion devait avoir lieu, mardi 12 septembre, entre M. Borloo et Alain Marleix, qui dirige la commission d'investiture de l'UMP. Dans l'entourage du ministre, on évoque encore son arrivée à Paris comme "une hypothèse". Un conseiller note toutefois que son parachutage comblerait un vide : "Il n'y pas de grand leader de la droite et du centre dans l'Est parisien."

Deux obstacles subsistent. Le premier consiste à "dégager" Jean de Gaulle, l'actuel député de la circonscription. Des offres "dans la haute fonction publique" pourraient lui être faites. Le petit-fils du Général déclare : "Je suis candidat à ma propre succession. Ce genre de rumeur, je les entends à chaque élection. Il faut croire que la circonscription est bonne."

Le second consiste à "ménager" Françoise de Panafieu. Pour l'heure, la députée et maire du 17e met en avant sa légitimité, rappelant qu'elle a été élue par les militants parisiens pour conduire la liste UMP aux municipales. Et d'ici à la fin septembre, elle devrait prendre la présidence du groupe UMP au Conseil de Paris. Son entourage fait bonne figure. "Françoise a toujours souhaité que des talents viennent la rejoindre", dit un conseiller, en citant l'investiture donnée au ministre des sports, Jean-François Lamour, dans le 15e.

Mais au-delà de sa future circonscription, M. Borloo vise la mairie du 12e, remportée en 2001, à la faveur d'une guerre ouverte à droite, par la socialiste Michèle Blumenthal. Or cet arrondissement, parmi les plus peuplés de la capitale, est une clé de la victoire à Paris. Le vainqueur apporte 10 conseillers à l'Hôtel de Ville. De quoi faire basculer une majorité. De quoi négocier le moment venu. Commentaire d'un conseiller de M. Borloo : "Il faut se mettre en perspective."

Philippe Ridet
Article paru dans l'édition du 13.09.06

jeudi, septembre 14, 2006

notre pays menacé

Al-Qaïda menace la France après le ralliement du GSPC algérien au réseau

20Minutes.fr avec AFP 14.09.06 12h50


Le numéro deux d'Al-Qaïda, Ayman Al-Zawahiri, a menacé la France dans son dernier message vidéo, en soulignant que le GSPC, une organisation algérienne alliée d'Al-Qaïda, sera l'"épine" dans la gorge des Français.

Dans une transcription de ce message à laquelle l'AFP a eu accès, et dont la teneur a été révélée jeudi par le quotidien Le Figaro, Ayman Al-Zawahiri annonce officiellement le ralliement du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) à Al-Qaïda.

"Notre cheikh combattant (...) Oussama ben Laden m'a chargé d'annoncer aux musulmans (...) le ralliement du GSPC à Al-Qaïda", a dit Al-Zawahiri dans un enregistrement vidéo évoquant notamment les attentats du 11 septembre 2001 et dont des extraits avaient été diffusés lundi.
"Nous prions Dieu pour que cela soit une épine dans la gorge des croisés américains et français et de leurs alliés", poursuit-il.

Les messages de membres de l'état-major d'Al-Qaïda évoquant directement la France sont très rares : en avril 2004, Oussama ben Laden avait critiqué Paris pour l'interdiction du voile dans les écoles publiques.

Deux mois plus tôt, son numéro deux avait aussi estimé que cette interdiction était la preuve de "la rancune des Croisés occidentaux contre les musulmans".

Le GSPC, groupe créé par des dissidents du GIA (Groupe islamique armé) algérien à la fin des années 1990 avait pour sa part désigné la France comme "ennemi public numéro un" en septembre 2005.
"La France est notre ennemi numéro Un, l'ennemi de notre religion, l'ennemi de notre communauté", poursuit-il.

"Qu'il (le ralliement du GSPC) soit source de dépit, de tristesse et de chagrin pour les apostats (du régime algérien), fils traîtres de la France, et nous prions Dieu pour que nos frères du GSPC réussissent à affliger les principaux membres de la coalition croisée, et plus particulièrement leur vieux leader, l'Amérique vicieuse", a aussi déclaré le bras droit d'Oussama ben Laden.

Aucune réaction officielle, notamment du ministère de l'Intérieur, n'était disponible jeudi en milieu de matinée.
Le GSPC rejette la politique de réconciliation nationale du président algérien Abdelaziz Bouteflika, qui a permis, depuis sa mise en oeuvre le 28 février, la reddition de 250 à 300 islamistes armés et la libération d'au moins 2.200 personnes détenues pour "terrorisme".

Selon le ministère de l'Intérieur, les menaces proférées contre la France par le numéro deux d'Al Qaïda "confirment le niveau élevé de la menace pesant contre notre pays".

Interrogé par l'AFP, le ministère a estimé que "la diffusion de ce message confirme notre appréciation sur le niveau de la menace terroriste pesant sur la France et sur d'autres pays".

"Al Qaïda reconnaît le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC, ndlr) algérien comme étant l'une de ses composantes : cette adhésion avait été annoncée le 11 septembre 2003 par un communiqué et il y avait eu depuis d'autres menaces contre la France", ajoute la même source.

conférence le 22 septembre

PME : comment réussir votre projet innovant ?

La chambre de commerce et d'industrie de Paris Hauts-de-Seine vous propose une conférence gratuite vendredi 22 septembre de 8 h 30 à 10 h 30.

Proposée aux PME des Hauts-de-Seine et du Val-de-Marne par la CCIP 92 avec le soutien de la Vallée scientifique de la Bièvre, cette conférence examine les étapes, les risques et les conditions de réussite d'un projet innovant, à savoir :

* Comment transformer une idée innovante en projet gagnant ?* Quels sont les facteurs clés de succès ?* Quelles sont les sources de financement ?* Comment réussir le lancement de votre produit innovant ?

Cette conférence est totalement gratuite. Rendez-vous le vendredi 22 septembre à la CCIP Hauts-de-Seine, 7, rue du Marché à Antony.

http://entreprise.hauts-de-seine.net

mercredi, septembre 13, 2006

Un homme de terrain


Labourer le terrain des préoccupations des français...

Nicolas Sarkozy, à la rencontre des agriculteurs, a mis en avant la revalorisation du travail et du mérite.
Parcequ'il n'y a pas deux France comme le disait un ancien Ministre, la France d'en Bas et celle d'en Haut, mais bien une unité convergente dans la volonté de construire l'avenir, ensemble, autour de valeurs essentielles.

mardi, septembre 12, 2006

de l'excellence de nos écoles de commerce françaises


Ecoles de commerce françaises, les premières en Europe.


Autant les universités françaises étaient bien pâles dans les classements internationaux, notamment par le dogmatisme de certains de leurs acteurs refusant tout mode de financement en provenance d'entreprises, et de ce fait condamnant leurs étudiants à des recherches peu probantes, faute de moyens nécessaires; Autant nos écoles de commerce se classent comme les meilleures au plan européen. L'excellente nouvelle est que 7 de nos écoles de commerce sont classées parmi les 10 meilleures à l'échelle européenne.

Sur la méthologie de l'enquête une nuance importante. Sont comparés les programmes au niveau Master, les MBA ne sont donc pas pris en compte dans cette enquête.

L'ESSEC s'étant reconfigué en MBA, a choisi de présenter l'un de ses nombreux masteres spécialisés dans cette course. Ce mastere arrive en 6e position au palmarès européen. Mais il faut savoir que si le mastere est accrédité par la conférence des grandes écoles, il ne représente pas en soi le programme grande école de l'ESSEC.

L'EDHEC arrive également, pour son programme grande école, dans les 10 premiers, tout comme Grenoble et biensûr HEC considérée pour son cursus grande école.

Cette nuance méthodologique est essentielle, car les personnes font des confusions ne retenant que le nom de l'Ecole classée et non pas du programme de l'école classé.

Rappelons qu'en terme de programme égal, à savoir niveau grande école, l'ESSEC et HEC sont premiers ex aequo, et leur reconnaissance dépasse d'ailleurs nos frontières européennes, notamment par les partenariats noués avec les meilleurs établissements asiatiques.

lundi, septembre 11, 2006

La Défense : L'Essec affronte les universités de 47 pays

L'ESSEC représente la France face aux 47 meilleures universités mondiales.

le Parisien, édition numérique de ce jour


"HUIT CENTS étudiants en provenance de quarante-huit pays, un millier de juges et une seule équipe victorieuse. Les concurrents venus de toute la planète se retrouvent aujourd'hui et jusqu'à mercredi au Cnit, à La Défense pour vanter leurs idées de création d'entreprise solidaire. La compétition mondiale organisée par l'ONG américaine Sife oppose les meilleures universités, sorties gagnantes de leurs sélections nationales.


Les couleurs de la France seront portées par dix étudiants de l'Essec, la grande école de commerce basée à Cergy (Val-d'Oise). Leur petit bataillon avait remporté le concours qui s'est déroulé au Sénat, au mois de juin, et auquel participaient une vingtaine d'établissements supérieurs. Les représentants de l'Hexagone exposeront trois projets d'entreprenariat social.

Le premier, Choc'ethic consiste à ouvrir une chaîne de chocolateries solidaires.

Le deuxième, dénommé French Bakery porte sur la création en Inde de boulangeries françaises jumelées à des centres d'apprentissage employant des intouchables (la caste la plus misérable).

La dernière belle idée (baptisée Abaete Artesanato) que défendront les étudiants repose sur l'importation de Belém (Brésil) de jouets fabriqués par des petits producteurs avec uniquement des matériaux naturels. Les projets doivent être humanistes, certes. Mais aussi rentables.

Car les candidats sont placés dans l'économie de marché. Cette « coupe du monde » à laquelle participe la France depuis trois ans est mise sur pied par une organisation américaine baptisée Sife (pour Students in Free Entreprise).

Au Cnit, les hostilités seront ouvertes face aux différents jurys, constitués de dirigeants de sociétés (petites ou grandes) issus d'une trentaine de pays.

Les équipes en lice ont sept minutes pour installer leur matériel informatique, vingt-quatre minutes pour plaider (en anglais of course) leur cause, cinq pour répondre aux questions et une minute (!) pour quitter ensuite la salle. Tout est en effet chronométré.

L'an dernier, c'est l'équipe du Zimbabwe qui a été jugée la meilleure et a remporté la Sife World Cup, qui se déroulait à Toronto (Canada). Ah, au fait, il n'y a rien à gagner, hormis des contacts qui se révéleront bien utiles dans le monde impitoyable des affaires."

dimanche, septembre 10, 2006




Dimanche 10 septembre
vide grenier place des marées
Charles Ceccaldi-Raynaud ...
...En pleine activité


Il est resté quatre heures à la fête des sports. Il a été accueilli avec joie. Il a imaginé de donner un air de fête à cette journée des inscriptions à une association ou à un sport de son choix.

Il a réussi.

Le lendemain il est arrivé un des premiers pour la séance de cinéma en plein air sur l’esplanade de l’hôtel de ville, qu’il a construite.

Une fois le film terminé avec son déploiement d’action il a traversé à nouveau l’esplanade pour dire bonne nuit, à tous, après le bonheur de l’émotion.

Dimanche, il s’est rendu au marché chante coq, comme la veille ou il avait visité celui des bergères.
L’après midi il était, dés 14 heures, au vide grenier pour faire le tour de la place des marées au milieu de la foule.

Quand il a imaginé ce rassemblement, de marchands amateurs, il savait que cette fête populaire rencontrerait le succès espéré.

En fin d’après midi, alors que d’autres, crispés par la préoccupation de leur avenir, sont rentrés chez eux, il a refait le tour de la place.

Certains prononçaient un mot, médiathèque.

Charles Ceccaldi-Raynaud remercie tout ceux qui sont venus à lui amicalement, qui gardent le souvenir de son action pour Puteaux, pendant 35 ans, et qui souhaitent son retour.

Les festivités populaires qu’il a crées sont devenues des institutions.



Charles Ceccaldi-Raynaud
devant le Monoprix du centre ville
lieu de
rencontre des forces vives

samedi, septembre 09, 2006

Ils changent notre vie

Changer la vie. L'outrecuidance et le dédain de certains sont une absurdité en-soi.

Vouloir le changement, c'est d'abord comprendre que chacun à son niveau en est l'artisan. La première égalité est donc l'égalité de respect. Chaque citoyen a droit au respect. Quelque soit sa fonction dans la société, il est l'égal des autres par le respect et la dignité qui se dégagent de sa personne.

Pour cette rentrée, évidemment, nous pensons au respect dû aux enseignants. Nicolas SARKOZY a rappelé dans son discours la perte de ce respect. Il était un temps où les élèves se levaient pour saluer leur maître ou professeur à son entrée dans la classe. Temps révolu? Non. Il dépend à chacun de nous d'inculquer ces valeurs de respect républicain à nos enfants.

Nous avons aussi une pensée particulière pour les artisans. La rentrée c'est aussi le temps des "réparations", porter ses souliers chez le cordonnier, ses vêtements à la blanchisserie...que serait notre quotidien sans l'apport de ces artisans? Par leur volonté ils changent la vie.

Chacun à son niveau est détenteur de ce pouvoir : Changer la vie.
Le changement ce n'est pas un bloc qui émane des hautes strates à l'exclusive des autres. Le changement, c'est une agrégation de volontés individuelles.

Le respect, c'est la valeur fondatrice de la République. Comprendre l'égalité comme la condition essentielle de la cohésion sociale, c'est reconnaître à chaque travailleur, le même respect, quelque soit sa fontion.

Pour conclure, un extrait de cette chanson si noble de Jean-Jacques GOLDMAN : il changeait la vie.

"C'était un cordonnier,
sans rien d'particulier
Dans un village dont le nom m'a échappé
Qui faisait des souliers si jolis, si légers
Que nos vies semblaient un peu moins lourdes à porter
Il y mettait du temps, du talent et du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
A sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie

C'était un professeur, un simple professeur
Qui pensait que savoir était un grand trésor
Que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir
Que l'école et le droit qu'a chacun de s'instruire
Il y mettait du temps, du talent et du cœur
Ainsi passait sa vie au milieu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes théories
A sa tâche chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie"

Jean Jaurès

"Le courage, c'est de chercher la vérité et de la dire, c'est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques"
Jean Jaurès (Juillet 1903)

vendredi, septembre 08, 2006

table ronde santé université d'été jeunes ump

Participaient à cette table ronde Valérie Pécresse, Paul-Henri Cugnenc, Philippe Juvin, Philippe Vitel, Richard Mallié. (cliquer sur les noms pour accéder à leur page personnelle)

1/Valérie Pécresse a évoqué le lien entre obésité et précarité matérielle citant à l'appui un gérant d'hyper marché disant qu'il savait à quelle date était versé le RMI. En effet elle corrsepond à un pic d'achat de sucreries et de denrées de première nécessité : pâtes et riz. Ne pouvant acheter légumes et fruits frais, ou encore viande et poisson ces familles modestes compensent par la joie que ces friandises pourraient susciter chez leur progéniture.

Valérie Pécresse a aussi relevé le décalage entre le bien fondé des cours de diététique dispensés aux élèves d'école primaire et la réalité des faits : leur inaccessibilité tarifaire. On enseigne à nos enfants que la consommation de légumes et fruits frais contribue à prévenir l'obésité et le cancer. Cet enseignement est louable. Mais cela ne résoud pas l'effet prohibitif de leur prix.

Sordide, cette anedote appelle la reponsabilité de nos élus. Un responsable politique c'est une personne qui a en vue la résolution des problèmes de ceux qui ne peuvent par eux-mêmes y remédier.

Paul-Henri Cugnenc a pour sa part insisté sur la nécessité de ne pas cloisonner les problèmes. Ce n'est pas d'un côté la santé, de l'autre les décisions politiques. Mais les décisions politiques au service de la santé, de citoyens non infantilisés. P H Cugnenc a ainsi cité l'exemple de l'alcool, interdire toute consommation d'alcool serait infantiliser les citoyens, la modération est nécessaire, l'interdiction non. De tout en petite quantité disaient les anciens. Interdire la consommation de bonbons serait absurde, informer sur les conséquences de leur consommation excessive est impératif.

Le Professeur Juvin, a approuvé pour sa part que soit inscrite la mention des nuisances entrainables par la consommation de ces sucreries sur leur emballage, de la même manière que les cigarettes comportent sur leur paquet un avertissement. (voir à cet égard la note de Romain Mouton, Jeune PoP'des Alpes Maritimes.)

Les autres thèmes évoqués :

2/ P Vitel a insisté sur la nécessité de la pratique du sport, lui-même ancien joueur de Rugby.

3/ P Juvin a quant à lui insisté sur la nécessité d'introduire des cours de physionomie et d'éducation à la santé dans les cursus scolaires fustigeant l'ignorance des citoyens sur le fonctionnement de leur propre corps. Il a ainsi préconisé des cours fondamentaux d'anatomie et d'éducation à la santé.

4/Richard Mallié a développé son idée d'un chèque destiné aux étudiants pour la souscription d'une complémentaire santé. (proposition de loi n° 3220) consultable en cliquant sur le lien ci-après:http://www.assemblee-nationale.fr/12/propositions/pion3220.asp

mardi, septembre 05, 2006

Mise au point

Importante nuance

nous republions cet article en date du 11 juillet dernier. Monsieur Ceccaldi-Raynaud n'a jamais tenu de propos homophobe envers quiconque.
Par ailleurs nous trouvons que certains commentaires pourtant modérés sur le blog de Monsieur Grébert, qualifiant Monsieur Jean-Luc ROMERO dont nul ne peut nier la noblesse du combat politique d' "homo de service de l'UMP" vraiment vils et indignes.

Prescrire la prise de photo d'enfants sans l'autorisation des parents, c'est tenter de préserver ces enfants, non pas tant d'un photographe qui peut simplement vouloir au plan artistique immortaliser l'innocence et la fraîcheur d'un sourire, que d'une diffusion sur internet, les exposant aux regards d'inconnus, dont les visées sont précisément inconnues.

Cette interdiction ne traduit aucun sentiment homophobe, Monsieur Ceccaldi, ne l'est pas. Il exprime cependant ses regrets à ceux qui ont pu lui prêter des sentiments qu'il n'a pas.Fervent défenseur des libertés individuelles, dans la lignée du Gaullisme, de l'humanisme et du Parti Radical premier défenseur de Dreyfus, il a simplement voulu assurer la liberté d'enfants, en évitant que soient prises des photos susceptibles d'être mise à la vue de tous, sur internet.

Il a d'ailleurs projeté de faire une proposition de loi afférente lorsqu'il fut Sénateur. Cette proposition de loi aurait prévu un accord écrit des parents pour toute prise et diffusion de photo de leur enfant. Son état de santé à l'époque, avant son total rétablissement, l'a empêché de conduire à bonne fin son projet visant simplement à protéger l'image des enfants par l'accord spécifié et obligatoire de leurs parents.

La liberté d'expression est facilitée par ce formidable média qu'est l'internet. Mais la liberté des personnes ne jouissant pas de leur capacité décisionnelle, à savoir les enfants, doit être préservée des regards de ceux dont les visées sont inconnues. Demander l'accord écrit des parents semble donc un préalable juste. Ils doivent savoir à quoi est destinée l'image de leur enfant. Le cas échéant ils doivent pouvoir s'y opposer.

GENOCIDE ARMENIEN : PRESSIONS SUR LE PARLEMENT EUROPEEN

COMMUNIQUE DE PRESSE

La Commission des Affaires Etrangères du Parlement européen examinera et adoptera ce lundi 4 septembre un projet de rapport sur la Turquie préparé par le député néerlandais Camiel Eurlings (PPE).

Plus de 343 amendements ont été déposés dès ce mois de juillet sur ce rapport à la tonalité globale relativement critique.

La question du génocide arménien est abordée par la version provisoire du rapport à travers un paragraphe ambigu, « prenant acte de la proposition de la Turquie d'établir un comité bilatéral d'experts afin de dépasser l'expérience tragique du passé ainsi que de la position de l'Arménie en ce qui concerne cette proposition » et « encourageant à la fois le gouvernement turc et le gouvernement arménien à poursuivre le processus de réconciliation pour aboutir à une proposition mutuellement acceptable ».

Cette formulation calquée sur les positions négationnistes de la Turquie et très en retrait des textes adoptés les années précédentes a conduit des Eurodéputés de toutes tendances à déposer de nombreux amendements sur cette question.
En ce qui concerne le blocus de l’Arménie par la Turquie, la version provisoire du rapport demande « instamment à la Turquie de prendre les mesures nécessaires, sans condition préalable, afin d'établir des relations diplomatiques et de bon voisinage avec l'Arménie et d'ouvrir la frontière rapidement, conformément aux résolutions adoptées par le Parlement entre 1987 et 2005 ».

Le grand nombre d’amendements déposés a conduit le rapporteur et les différents groupes politiques à proposer des compromis sur divers points et notamment – pour la première fois – sur les questions arméniennes. Néanmoins en raison des pressions exercées au sein du Parlement européen, ce compromis ignore la majorité des amendements déposés pour ne reprendre que les positions marginales les plus proches de celles du gouvernement turc : ouverture des archives, débats au sein de la société civile turque, comités d’experts…

« Ce texte n’est en rien un compromis, il est tout simplement une tentative d’affaiblir les positions du parlement européen, a déclaré Hilda Tchoboian, la présidente de la Fédération Euro-Arménienne.

La Fédération Euro-Arménienne appelle en conséquence les membres de la Commission des Affaires Etrangères à voter pour les amendements qu’ils ont légitimement déposés et qui demandent clairement à la Turquie de reconnaître le génocide des Arméniens en tant que condition d’adhésion.

Elle appelle également les Eurodéputés à voter en faveur des amendements demandant à la Commission d’inscrire la reconnaissance du génocide et la levée du blocus dans la feuille de route d’Ankara, telle que définie par le Partenariat pour l’Adhésion.

« Sur ces questions, les députés européens savent qu’ils ne peuvent pas transiger car c’est une question qui met en jeu les valeurs de l’Union autant qu’une question de sécurité régionale.
Toute attitude de complaisance – loin de conduire la Turquie à faire des progrès – sera interprétée par Ankara comme un aveu de faiblesse et l’encouragera à durcir sa politique ultranationaliste » a conclu la présidente de la Fédération Euro-Arménienne.

FEDERATION EURO-ARMENIENNE pour la Justice et Démocratie Avenue de la Renaissance 10 B-1000 Bruxelles Tel. : +32 (0) 2 732 70 26 Tel. / Fax. : +32 (0) 2 732 70 27 E-mail : contact@eafjd.org

Fonction publique :grèves à l'horizon

NOUVELOBS.COM

Six syndicats réclament des négociations salariales "d'ici fin septembre".


"Gérard Aschieri (Sipa) L a rentrée est synonyme de tensions sociales et 2006 ne fait pas exception. Six fédérations de fonctionnaires ont d'ores et déjà menacé lundi 4 septembre de faire grève en octobre si le ministre de la Fonction publique, Christian Jacob, n'ouvre pas des négociations salariales "d'ici fin septembre", a-t-on appris lundi de sources syndicales concordantes."

Nous envoyons une lettre commune au ministre Jacob lui intimant de nous fixer avant la fin septembre une date pour ouvrir les négociations salariales, faute de quoi on se réunira pour envisager les actions qui conviennent", a déclaré Charles Bonissol, président de la fédération CFE-CGC des fonctionnaires.

"A partir de sa réponse, on décidera si on fait grève en octobre", a précisé Gérard Aschieri, secrétaire général de la FSU au terme d'une intersyndicale réunissant six fédérations de fonctionnaires sur les sept (CGT, CFDT, FO, FSU, Unsa, CFE-CGC) au siège de FO."

lundi, septembre 04, 2006

Rentrée scolaire : les aides offertes par le Département

A l'heure de la rentrée scolaire, au moment où le débat porte sur le réel pouvoir d'achat des ménages français, il peut être utile de rappeler tout ce que le Conseil général des Hauts-de-Seine propose aux familles :

CANTINES : une aide à la demi-pension au collège est accordée aux familles sous condition de ressources (de 20 à 85% du prix de la cantine)

TRANSPORTS : pour les collégiens et lycéens boursiers, le Conseil général offre une prise en charge partielle de la carte Imagine R

MANUELS SCOLAIRES : le Conseil général attribue aux collèges une subvention pour l'achat en double des manuels scolaires les plus utilisés afin d'alléger les cartables des collégiens les plus jeunes.

ACTIVITES PERISCOLAIRES : Le P@ss 92 est un dispositif qui permet aux parents d'élèves de 5ème et de 4ème de bénéficier d'une aide pour l'inscription à des activités sportives ou culturelles.
Pour tout renseignement complémentaire : ici

Importance des préliminaires

Revalorisation des humanités. Un esprit sain dans un corps sain.

A quoi sert la philosophie, se plaisait à citer Vladimir Jankélévitch, à rien ajoutait-il, mais on vit mieux avec. "La philosophie est toute entière préliminaire. A moins que ce ne soient les préliminaires qui soient déjà philosophie"(V.Jankélévitch)

A ceux qui opposent de manière stérile réflexion et action, rappelons l'originel sens du terme théorie. En grec, le terme Theorein, signifie une vue d'ensemble. Une vue globale permettant la prise de décision. Ainsi certaines nuances, permises par la transmission des humanités sont-elles indispensables à la préservation de la démocratie. Nous reproduisons un extrait du discours de Nicolas Sarkozy, lors de la cloture des universités des jeunes populaires à Marseille, où il souligne l'importance des humanités dans le cursus scolaire mais également l'importance du sport qui constitue une éthique en-soi.

"Les maîtres qui ont enseigné à ma génération nous ont fait un cadeau dont alors nous n’imaginions pas le prix en nous faisant réciter les fables de La Fontaine et quelques vers de Verlaine ou de Victor Hugo. C’est le drame d’une partie de la jeunesse actuelle de n’avoir pour s’exprimer que la violence ou le repli sur soi parce qu’on ne lui a pas donné la culture.


Vous ne perdrez jamais votre temps avec les grandes œuvres de l’esprit. Elles auront toujours quelque chose à vous inspirer. Vous ne perdrez jamais votre temps avec les peintres, les poètes et les musiciens parce que les peintres, les poètes et les musiciens vous feront voir la beauté des choses. Ils vous apprendront à exprimer l’indicible.Vous ne perdrez jamais votre temps avec les savants et les philosophes. Ils vous apprendront à chercher votre vérité.

Mais je veux construire une école qui n’opposera pas le corps et l’esprit et qui ne confondra pas le sport avec l’éducation physique. Je veux construire une école où le sport sera considéré comme une discipline fondamentale parce que le sport est une morale de l’effort et une éthique. Parce que le sport c’est le dépassement de soi et le respect des autres. "