mardi, octobre 31, 2006

Espoir et détermination

Tels furent les termes employés par Jean-Louis Borloo, hier soir, lors du Journal de 20 heures de TF1.

Jean-Louis Borloo a rappelé les efforts déployés en terme de cohésion sociale. Le chômage a ainsi baissé de plus de 25% en un an dans certaines villes réputées sans espoir.

Un mode d'accompagnement individuel a été instauré pour aider les personnes en recherche d'emploi.
Un tutorat bénévole est assuré par des élèves des Grandes Ecoles. Ce tutorat ne comprend pas simplement l'aide aux devoirs scolaires.
Il inclut aussi une transmission du fonctionnement de nos insitutions, des sorties culturelles...tout ce qui peut permettre à un individu de s'épanouir pleinement et de réaliser ses possibles. Ce programme a été initié par Thierry Sibieude, Professeur à l'ESSEC MBA.

Même si les difficultés sont encore présentes du fait de décenies d'inertie, la France évolue dans le bon sens, a souligné Jean-Louis Borloo.

Il ne s'agit plus de parquer une catégorie de la population dans des immeubles à taille inhumaine. Priorité aux petites constructions. Priorité aussi à l'accession à la propriété par la construction des maisons
à 100 000 euros.

Jean-Louis Borloo souhaite transformer la France comme il a transformé Valenciennes. Avec simplicité mais efficacité.

dimanche, octobre 29, 2006

Les petits chefs

L'ardent désir de domination du petit chef est un phénomène observable dans nombre de collectivités.

Nous en connaissons tous de ces petits chefs jouissant, au vu de leur médiocrité, d'une illusoire supériorité.

Ils confondent, par un dédoublement relevant de la psychiatrie, le pouvoir de l'élu et leur fonction propre.

Nicolas GOGOL a formidablement décrit l'attitude ridicule des ces petits chefs. Frustrés de n'avoir jamais rien apporté de neuf à leur environnement, les petits chefs tentent en vain de savonner la planche à ceux dont ils craignent les compétences.

Ce ressentiment, si bien décrit par Nietzche : "ce qu'ils ne peuvent pas faire, ils le tiennent pour impossible aux autres" se manifeste subrepticement les premiers temps. Puis vient l'évidence.

L'élu qui croyait son environnement acquis ouvre les yeux, réveillé brutalement par le bruit lancinant de l'échec électoral prochain. Ainsi sonne le glas de son inadvertance.

Je ne résiste pas à vous transmettre un extrait d'une des nouvelles de GOGOL tant l'attitude de certains employés de Mairie lui est semblable.

Paraître à défaut d'être.

" quelle était la fonction de ce personnage important et en quoi consistait-elle? La chose demeure jusqu'à présent inconnue. Il faut savoir qu'un certain personnage important était devenu depuis peu un personnage important bien qu'il fût jusque là un personnage sans importance. D'ailleurs, même maintenant sa place ne serait pas considérée comme importante par rapport à d'autres beaucoup plus importantes encore.

Mais on trouvera toujours un cercle de gens pour qui ce qui est sans importance aux yeux des autres est important aux leurs. Il essayait d'ailleurs d'accroître son importance par de nombreux autres moyens comme se débrouiller pour que personne ne puisse venir le voir directement [...]

Il en est ainsi dans notre sainte Russie où tout est contaminé par la manie de l'imitation : tout un chacun se prend pour un chef et le singe. On dit même qu'un quelconque conseiller titulaire, quand on en fit un chef d'une petite chancellerie isolée se débrouilla pour qu'on aménage aussi tôt une pièce à part et il la désigna sous le nom de "salle d'audience" bien qu'on ait à peine pu placer un bureau dans cette "salle d'audience"

vendredi, octobre 27, 2006

Infructueux
.
Beaucoup de marchés sont déclarés infructueux, souvent après avoir été divisés en lots.
S’il y a un texte que madame le Maire n’a jamais lu, c’est bien le code des marchés publics.
Mais heureusement, il y a le système des marchés infructueux ou sans suite, qui permet d’écarter les candidats indésirables.
Pour qui sont ils infructueux ?
Si le coup est raté, il reste l’avenant meurtrier, type médiathèque, enlaidie au prix fort.

Vacances à la Cluza et ailleurs
.
Madame le Maire vous invite à vous pré inscrire
Pourquoi se pré inscrire ? À partir du moment où le guichet est ouvert, un minimum d’équité, voudrait que les inscriptions se forment en respectant l’ordre dans la file d’attente.
La pré inscription signifie discrimination
Grâce à ce système injuste et pervers de la pré inscription, madame le Maire dispense ses amis serviles de la pré inscription. Eux sont déjà inscrits. Ils empêchent la rotation, chacun son tour. Par la suite l’examen des dossiers permettra de rayer les insoumis portés sur la liste noire, comme pour les crèches, le sport, la culture, les voyages, les réceptions, les cadeaux.
La population peut imposer la démocratie dans les inscriptions. Il lui suffira de s’en souvenir le moment venu, qui n’est plus bien loin.

Les agresseurs de policiers aux assises ?
.
Nicolas Sarkozy propose la cour d’assise pour les agresseurs de gendarmes et de policiers.
L’idée en soi relève de l’excellence mais le système n’a d’intérêt, que si les agresseurs sont identifiés et appréhendés.
Malgré le professionnalisme des policiers nationaux de Puteaux, qui les conduira à de tels succès ?

Servir de Pub est un peu se déshabiller en public
.
La députée Maire de Puteaux, non investie lors de la séance d’investiture de Neuilly, au point d’être déchue du podium, vante les services d’une société web pour les collectivités.
L’utilisation payante de ce service sera plus utile pour la grande ignorante, que pour la population.
Elle est en photo aux côtés d’un maire du 92, mais ce n’est pas à côté de ce personnage qu’elle voudrait se voir.

International
27 octobre 2006
Le Temps



"Originaire du canton de Berne, Manuel Aeschlimann est un expert de l'image et des sondages. Il est aujourd'hui conseiller du ministre de l'Intérieur. Rencontre avec un stratège qui affûte ses armes en vue de la campagne présidentielle.

Les échiquiers qui ornent son vaste bureau de la mairie d'Asnières, en banlieue parisienne, annoncent la couleur: le maître des lieux est avant tout un cérébral. Mais Manuel Aeschlimann, conseiller de Nicolas Sarkozy dans les arts délicats du suivi de l'opinion et de la maîtrise de l'image, nourrit aussi une passion plus discrète pour la Suisse, sa terre ancestrale.

«Je suis binational, mon père vient de la région de Berne», explique ce quadragénaire qui, en coulisses, joue un rôle clé dans la campagne présidentielle. «Depuis 2002, j'ai souhaité me rendre plus souvent en Suisse et je suis allé à Montreux, Genève, Gstaad... j'ai dû me contenter de regarder les chalets, parce que les prix sont assez «hard». La propreté, l'état d'esprit suisse, c'est tout ce que j'aime.» Les valeurs de l'Helvétie sont donc parfaitement «sarko-compatibles».

Dans sa commune d'Asnières, Manuel Aeschlimann a élevé la communication au rang de science presque exacte: il envoie des publications taillées sur mesure aux femmes, aux 18-25 ans, aux retraités. Il consulte les gardiens d'immeubles et les associations de locataires. Son discours «chirurgical» vise un électorat individualiste, qui ne vote plus en fonction de grandes idéologies mais d'enjeux précis.
Armes favorites

A l'échelle nationale, cette stratégie du «vote sur enjeu» pousse désormais Nicolas Sarkozy à intervenir sur des sujets comme l'agriculture, l'environnement ou le logement. «L'objectif n'est pas de faire plaisir à tout le monde, mais de parler à tout le monde», précise Manuel Aeschlimann. Cette méthode risque cependant de donner au candidat un air opportuniste et fluctuant. Pour y parer, il faut avoir «des éléments programmatiques plus fermes»: dans le cas de Nicolas Sarkozy, un discours musclé sur l'ordre et la sécurité. Sur ces thèmes, «son image est faite, il n'y a plus rien à y ajouter», estime Manuel Aeschlimann. Il croit même que Nicolas Sarkozy devrait quitter le gouvernement «le plus tôt possible».

Pour éviter les effets négatifs de nouvelles violences dans les banlieues, mais aussi pour rendre audible le reste de son message: «Aujourd'hui, il souffre d'un manque de lisibilité programmatique parce que, quoi qu'il dise, c'est toujours son statut de ministre de l'Intérieur qui domine.» Manuel Aeschlimann pense que les débats décisifs auront lieu dans les ultimes semaines de la campagne présidentielle, et il affûte déjà ses armes favorites en prévision de ce moment.

La première, ce sont les sondages qualitatifs qui mesurent l'état d'esprit de petits groupes d'électeurs. Ils ont permis à Manuel Aeschlimann - et Nicolas Sarkozy - de prédire l'échec de la Constitution européenne au référendum de mai 2005.

L'autre arme, c'est un esprit d'analyse impitoyable, entraîné par une longue pratique des échecs. «Après mon bac, j'aurais pu devenir joueur professionnel, mais j'ai choisi d'être sérieux en étudiant sciences po et droit», raconte le conseiller. Son heure de gloire échiquéenne est une partie nulle arrachée au grand champion Boris Spassky. «Les échecs permettent de rester zen, de ne pas réagir impulsivement aux attaques: dans ce jeu, tous les coups sont légitimes et il faut s'y préparer.»

En bon adepte de la raison pure, Manuel Aeschlimann estime que l'euphorie et l'excès de confiance sont les pires ennemis des candidats, comme aux échecs: «C'est lorsque vous êtes dans une logique de conquête que vous risquez le plus d'être battu.» Nicolas Sarkozy est prévenu: pour gagner, il lui faudra faire preuve, ces six prochains mois, d'une prudence de Sioux. "

Manuel Aeschlimann interviendra le 27 octobre aux Journées de la communication de Bienne. Rens. au 032/ 327 57 90 ou sur http://www.comdays.ch

jeudi, octobre 26, 2006

une tribune parue ce jour dans le Figaro

La bibliothèque des essais : Il faut rompre avec la dette publique
par MICHEL PÉBEREAU.

Publié le 25 octobre 2006 in le Figaro


"Juillet 2012. Des centaines de touristes français bloqués à l'autre bout du monde, carte bancaire rejetée par le centre Visa. Des Parisiens qui prennent d'assaut des distributeurs de billets. Des réunions fébriles de fonctionnaires à Bercy, de gouverneurs de banques centrales à Francfort. On parle d'une réduction de moitié des traitements des fonctionnaires et des retraites de tous les Français. La Joconde est mise en vente...

La cause de tout cela ? Une agence de notation vient de dégrader à nouveau la signature de l'État français transformant ses emprunts en « obligations pourries ». Les marchés financiers lui refusant tout crédit, l'État est menacé d'une vraie crise de liquidité. La dépréciation de ses titres dévaste les bilans des banques. Notre pays a perdu la confiance des investisseurs, des épargnants. C'est Le jour où la France a fait faillite...

Comment en est-on arrivé là ? Le gouvernement socialiste, sorti des urnes en 2007, a-t-il dû faire face à une guerre ? Une dépression économique ? Une pandémie ? Un attentat terroriste dévastateur ? Non. Il a simplement poursuivi la politique des vingt-cinq années précédentes. Il a cherché dans la hausse de la dépense et des déficits publics la résorption du chômage. Il a cédé à la facilité de la dette. Le chômage est toujours là et la croissance s'est encore affaiblie. Mais la dette publique avoisine 180 % de la production nationale.

Le gouvernement de Nicolas Sarkozy, sorti des élections de 2012, doit faire face. La République, aux abois, se mobilise. Les hauts fonctionnaires échafaudent des solutions. Nos partenaires et la BCE conditionnent leur soutien à un changement radical. Une terrible cure d'austérité est inévitable...

Fiction ? Certes. C'est seulement vers 2025 que la poursuite de nos pratiques de gestion publiques aboutirait mécaniquement à une telle dette. Mais une hausse durable des taux d'intérêt, très bas aujourd'hui, pourrait accélérer le processus. L'avantage de l'anticipation des auteurs est de mettre en scène des acteurs connus, ce qui donne du piquant à leur fiction. Ancien chef de service du Trésor, Philippe Jaffré a connu la fièvre des réunions de responsables nationaux et internationaux en temps de crise.

Ancien directeur général du Crédit agricole, il n'ignore rien des réactions violentes des investisseurs et des banques à l'insolvabilité d'un État. Et après sa bataille boursière à la tête d'Elf, il connaît bien la puissance des marchés financiers. Le journaliste Philippe Riès sait qu'à l'heure de la mondialisation, et sous la pression des médias, l'information circule à la vitesse de la foudre et a le même pouvoir dévastateur.

La collaboration de ces deux spécialistes, si complémentaires, confère à leur fiction une cohérence, un réalisme saisissants. Leur chute, terrifiante, vient rappeler que, dans le monde actuel, il faut compter aussi avec la folie des hommes. Leur fiction est une démonstration percutante de la nécessité de « Rompre avec la facilité de la dette publique ».

Le jour où la France a fait faillite, Philippe Jaffré et Philippe Riès, Grasset, 163 pages, 20,90 eur

mercredi, octobre 25, 2006

Vous êtes un menteur,
.
Vous écrivez:
" je n'ai en aucun cas modifié le titre de mon article"
Il s'agit d'un article sur la réunion à Neuilly du comité départemental UMP.
Voici les deux titres de vos textes sur votre
site
Les preuves d'une tentative de désinformation sont attestées
par la comparaison des deux textes publiés le même jour:
texte 1
"la commission nationale d'investitures UMP samedi 21 octobre 2006 en présence de madame le député Maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi Raynaud"
texte 2
"comité départemental UMP samedi 21 octobre 2006 théatre de Neuilly sur Seine"
La présence de madame Ceccaldi est effacée sur ordre de la hiérarchie.
cliquez sur les photos pour les agrandir

A fréquenter une menteuse professionnelle, vous êtes devenu un menteur à sa détestable image.

Vous êtes pardonné;
la voix

mardi, octobre 24, 2006

Comité départemental de l’UMP
Mensonge, intox, trucage
.
On croyait monsieur Lambliotte moralement plus rigoureux.
Il publie une photo du podium, où se trouvent les parlementaires. Il s’agit de faire croire que madame Ceccaldi est investie par l’UMP pour les législatives.

Tout est faux

1) la photo révèle très bien que madame Ceccaldi est la seule parlementaire à ne pas être sur le podium.

2) dans la salle, madame Ceccaldi est absente.

3) Un journal du matin annonce que la circonscription de Neuilly-Puteaux a été réservée à monsieur Sarkozy si il était battu à la présidentielle, et selon des rumeurs à monsieur Hortefeux si monsieur Sarkozy est élu.

Monsieur Sarkozy ne cesse de répéter les difficultés qu’il a rencontrées pour faire démissionner madame Ceccaldi de l’assemblée nationale quand il a cessé d’être ministre. Il a même fallu lui trouver une place au conseil économique et social.

Monsieur Lambliotte qui était présent à Neuilly sait très bien qu’il ment à la demande de madame le Maire. Sur ordre venu de haut, il a modifié le titre de son article dans lequel il indiquait qu’il avait vu sur le podium madame Ceccaldi, laquelle n’était ni sur le podium, ni dans la salle.
La population souhaite t-elle conserver en qualité de maire une menteuse spécialiste de l’intox?
Quant à monsieur lambliotte on connaît les peurs qui le font agir et mentir.

lundi, octobre 23, 2006

Sans l’avenant, la médiathèque serait aussi belle.
Elle aurait coûté plusieurs millions d’euros de moins.

L’idée de réaliser un équipement public en face de la mairie ne date pas d’hier. L’acquisition des terrains sans expropriation s’est étendue sur près de vingt ans.

A cette époque, monsieur Lambliotte n’habitait pas Puteaux, sauf erreur, et madame le Maire n’avait pas de profession.

Après l’acquisition de ce tissu de maisons lézardées, il a fallu définir le programme.

Le premier adjoint de l’époque souhaitait un grand hall d’exposition. Elle n’a pas renoncé à cette idée fixe d’une exposition de la mode.

J’étais le Maire. J’ai décidé. J’ai choisi l’option de la médiathèque associée à des salles de cinéma.

Alors que j’étais immobilisé dans un hôpital, madame Ceccaldi a donné suite à son caprice. Faire modifier les structures de maintien du verre de la façade principale.

Ce changement a t-il embelli l’ouvrage ? Toutes les opinions méritent attention.

En ce qui me concerne, de boulons par vitre, sur la façade principale, introduit le doute.
Le long réseau de tubes métalliques, visibles de l’extérieur, finit de convaincre que ce changement a été une grande erreur, extrêmement onéreuse, jusqu’à l’excès irraisonné.

Ces modifications appelaient un avenant.

Si le nouveau verre n’a pas manifestement embelli la médiathèque, il a coûté un prix exorbitant. Du verre à 7 millions d’euros, et encore, juste pour un seul côté.

Cet avenant traduit un goût irrésistible et malsain de la dépense. Dans tous les domaines de la gestion, la dépense représente actuellement le plus grand plaisir d’un Maire qui n’a jamais manqué de rien.

On peut aussi se demander pourquoi, ceux qui verront la façade principale avec le nouveau verre seraient privilégiés par rapport à ceux qui verront le verre initial derrière et sur les côtés, à supposer qu’il soit moins agréable à regarder.
Comme toujours depuis deux ans, tout est dans l’apparence.
La folie de la dépense coûte plus cher que les folies d’alzheimer
Au-delà de cette dépense considérable, qui a provoqué une hausse inutile de l’impôt, la médiathèque demeure somptueuse et grandiose.

Elle porte la marque de tous les palais que j’ai fait construire pour embellir la ville sans la ruiner. Cette politique a reçu l’approbation de la population.

La piscine aux multiples bassins appelle un supplément de beauté sur la partie arrière, à la condition qu’aucun groupe de privilégiés ne la transforme la nuit en sodome.

La piscine de Puteaux reste une des plus belles piscines de l’Ile de France.

Charles Ceccaldi-Raynaud

A lire, vient de paraître

Histoire personnelle,
destinée professionnelle


Isabelle Méténier



Mettre à nu les liens qui existent entre son histoire la plus intime et sa carrière professionnelle constitue un exercice difficile qui suscite, en outre, des réticences.
Pourtant, ce travail de mise en récit et de clarification de leur trajectoire personnelle a permis à de nombreuses personnes dans l’impasse – cadres désirant changer de métier, salariés démotivés, chômeurs de longue durée – de sortir de la situation d’échec dans laquelle elles se trouvaient et de devenir enfin maîtresses de leur destin.
À travers une multitude de témoignages très éclairants, Isabelle Méténier fait partager sa riche expérience de psychosociologue, à laquelle beaucoup d’entreprises ont déjà fait appel. Elle livre ainsi les clés qui permettent à chacun de mettre en perspective sa vie, de découvrir le sens, souvent inconscient et d’origine familiale, de certaines orientations.
Fort de cette prise de conscience, l’individu réveille des ressources endormies grâce auxquelles il peut désormais faire rimer désirs personnels et projet professionnel.
Histoire personnelle, destinée professionnelle est aussi un guide précieux pour tous ceux qui ont à manager des individus au quotidien. L’auteur nous invite à accorder une plus grande attention à l’ « intelligence émotionnelle ».
Ainsi chacun pourra mieux mettre à profit ses compétences, développer ses talents et trouver sa place dans le monde du travail.

L’auteur __________________________________________________________________________
Isabelle Méténier est psychosociologue, analyste transactionnelle, coach et formatrice. Depuis vingt ans, s’appuyant sur la psycho-généalogie, elle accompagne les personnes dans leur évolution professionnelle, les aidant à retrouver une dynamique cohérente et donner ainsi un nouvel élan à leur carrière.

dimanche, octobre 22, 2006

Sur ordre du Ministre

Le Maire par interim a consacré une page sur le site de la mairie pour publier un article où elle parlait de Nicolas Sarkozy.
Elle a fait publier cet article en ajoutant des photographies de Nicolas Sarkozy. C’était un montage, un acte mensonger contraire à la dignité, ou le coup de folie d’un esprit fatigué.
Un collaborateur et ami de Nicolas Sarkozy a téléphoné le jour même.
En moins d’un instant, les deux photos et l’article ont disparu du site municipal.
Encore un coup fourré honteux,

Quel empêchement a pu conduire madame le Maire à délaisser le conseil municipal du 19 octobre?

Elle était préoccupée par une réunion, à 20 heures, dans un restaurant de Puteaux. Les invités étaient des supporters de son père. Par ailleurs elle sent bien que la conjoncture lui est défavorable.

Dans l’après-midi elle a demandé conseil à son ami le commissaire. Il lui a été recommandé de se tenir à l’écart.

Pourtant vers 20 heures 30, madame le Maire en personne fait le trottoir devant le restaurant avec ses hommes de mains.

Dès l’apparition des supporters de l’ancien Maire, ils se sont tous précipités dans leurs voitures.

Cet incident enlève à madame le Maire toute dignité et toute considération. Elle ne mérite pas de représenter Puteaux.

Son entourage fangeux ne pourra rien pour elle.

Ses collaborateurs ont sali leur âme. Ils hésitent à se salir les mains.

D’abord en état d’érection mentale, madame le Maire est déjà en état d’effondrement moral.

Le Comité départemental de l’UMP à Neuilly

La salle du théâtre est remplie.
Bien évidement les élus sont là. Les parlementaires sont sur le podium. Les anciens parlementaires, comme Charles Ceccaldi-Raynaud, occupent le premier rang des gradins. Les militants votent les investitures proposées pour la députation .

Nicolas Sarkozy fait un bon discours . La salle réagit.
Tous les participants soutiennent le candidat très applaudi. Tout le monde est là. En tout cas tous les parlementaires sont là.

Seule madame le Maire de Puteaux devenue Maire pendant l’hospitalisation de son père puis Députée suppléante à la demande de son père, est absente.
Personne sur le podium ne s’est aperçu de son absence.

Rumeurs ou vérités cachées ?

Sur le trottoir, le long du restaurant, madame le Maire fait le paon à la longue queue.

Elle se situe au milieu d’une équipe composée d’individus aussi insignifiants qu’elle-même, et de deux primates qui veulent faire croire qu’ils sont des durs, de faux durs, et de vrais poltrons.

En s’adressant à nous, quelqu’un nous a annoncé qu’une dizaine de voitures de police tournaient autour de l’immeuble. Il a précisé qu’il s’agissait de voitures de l’Etat.

Pourtant les voitures appartenant à la nation sont au service de la nation, et non au service d’une faction.

Ces menaces ne représentaient qu’une des manœuvres obliques de la spécialiste de l’intox...

Pour ce qui nous concerne nous n’avons vu aucun rodéo de voitures d’Etat.

Le Maire par interim, affectée par une lutte qui la dépasse, et la déception qui s’en suit, a perdu tout sens commun.

Un conseil municipal présidé par personne

Le jeudi 19 octobre le conseil municipal s’est réuni pour examiner l’ordre du jour.
La loi a voulu que le Maire soit à la fois l’exécutif municipal, et le président de l’assemblée délibérante. Ce système confus existe à tous les échelons des assemblées territoriales.

Sauf dans une hypothèse grave, le Maire doit présider le conseil municipal conformément à la loi. C’est à lui de répondre aux questions que pose la population par des intermédiaires élus.

Le conseil fut présidé par le premier adjoint. Selon le site de monsieur Lambiliotte, le viatique de ce premier adjoint se limite au certificat d’étude, comme c’est le cas pour madame le Maire.

Pas de différence dans les titres ou l’absence de titres, pas de différence dans l’inexpérience. Le premier adjoint a eu l’honnêteté de dire qu’il n’était pas en mesure de répondre aux questions. Il fit comme fait le Maire. Quand elle ne comprend pas la réponse qui lui a été écrite en gros caractères par les services, elle donne la parole à un fonctionnaire.

Le 19 octobre les fonctionnaires ont répondu, sans répondre, comme à l’accoutumée, quand le Maire est présent. Une fonctionnaire, qui détient le même grade depuis 30 ans, s'est abritée derrière un mensonge à l'image de sa patronne.

Un conseil municipal comme tous les autres, quand madame le Maire étale son incompétence légendaire. Le premier adjoint n’a pas été plus incompétent que madame le Maire, peut être un peu moins agressif. Tous les autres adjoints, n’ont pu que se taire. L’insuffisance de tous, a provoqué le règne du silence. Un conseil municipal de muets et d’absents. Les bénis oui oui ne savaient même plus dire oui.

A part les profiteurs, chacun a compris que madame le Maire ne possède pas le niveau pour cette fonction. Il restera de son passage, qu’il aura correspondu au temps des nullités, au temps des effaçures, au temps du temps perdu.
Madame n'a jamais été elue par la population. Elle n'est pas un Maire sortant. Elle nest qu’un Maire fictif.

Jamais Puteaux n’a connu une pitrerie et une chienlit, aussi nuisibles pour son avenir.
Madame le Maire devrait avoir l’honnêteté de revenir tout de suite devant l’électeur, comme cela lui a déjà été demandé il y a deux ans. Aujourd’hui comme hier, elle préfère se dérober.
La lâcheté est son refuge. Elle sait que tous les signaux la donnent perdue, derrière les socialistes.

comité départemental de l'UMP

photo 1: P Juvin, N Sarkozy, P Devedjian.

Photo 2 : vue de la tribune où siègeaient de gauche à droite ; Louis-Charles Bary, Jean-Pierre Fourcade, Philippe Pemezec, P Juvin, N Sarkozy, P Devedjian, Jean-Jacques-Guillet, Roger Karoutchi, Jacques Kossowski, Patrick Ollier, Manuel Aeschlimann.


Notre Députée-Maire intérimaire n'y figurait pas. Sans doute avait-elle d'autre priorité.

jeudi, octobre 19, 2006

Que se passe t-il à la piscine?
Selon des rumeurs persistantes des dyfonctionnements fangeux se produiraient la nuit dans les piscines du palais des sports. Beaucoup de personnes en sont informées et dégoûtées.
Selon l'article 40 du code de procédure pénale, ceux qui ont connaissance d'un délit et n'en informent pas l'autorité judiciaire, encourent une sanction pénale.
à suivre...

mercredi 11 octobre 2006
à la synagogue
Charles Ceccaldi-Raynaud a assisté au débat à la synagogue de Puteaux, organisé à l'initiative de Monsieur Doubia .
Etaient présents, Olivier delegarde et Clément Neil Raynal. Le débat était placé sous la présidence d'Elie Korchia, aux côtés du président Merguy.
Le débat a plu. Beaucoup de gens, demandent d'autres conférences de ce type.
Madame le Maire était absente.
Le domaine intellectuel n'est pas le sien.

mercredi, octobre 18, 2006

La grande ardoise du calcul de nos petits


3% + 1,8% = 4 ,8%


La Mairie paraît avoir du mal à faire ce calcul simple. Peut-être relève-t-il non plus de la maternelle, mais du cours préparatoire, qui correspond au niveau des porte-parole et d’une partie de l’entourage.

Quand le Maire équilibre son budget, il doit savoir quelle est la hausse de la valeur des bases fiscales. Il sait que s’il y a une hausse des valeurs fiscales, elle s’ajoutera à la hausse que décidera le Conseil Municipal, sur proposition du Maire.

Dans le cas qui nous occupe, les bases fiscales ayant été majorées par l’Etat de 1,8%, le Maire savait que s’il augmentait le taux de l’impôt de 3%, le contribuable payerait 4,8%.

Or il n’y avait aucune raison de majorer l’impôt. La Chambre Régionale des Comptes d’Ile-de-France écrit qu’il aurait mieux valu ne pas augmenter. Dans ce cas la hausse supportée par le contribuable aurait été de 1,8% au lieu de 4,8%.

Les deux porte-parole de Madame le Maire, l’un correctement médiocre, l’autre ordurière et pratiquement analphabète, n’ont rien compris à ce mécanisme, pas plus que Madame le Maire, elle aussi en état de fatigue mentale précoce.

Il ne fallait pas augmenter l’impôt. L’ancien Maire l’a écrit. La Chambre des Comptes l’a confirmé. Madame le Maire porte seule la responsabilité de faire payer par tous, les festivités et les festins destinés à quelques uns, dans un esprit de clientélisme et d’achat de suffrage.

Il vaudrait mieux apprendre le métier, plutôt que de se venger sur les fonctionnaires récalcitrants, dont c’est l’honneur que de refuser la servilité imposée, et de s’opposer avec tous ceux qui voient, où l’on va.




La Voix.

ACHAT DE SUFFRAGE


Articles L52-4 à L52-16 du code pénal


Les dépenses pouvant être qualifiées
« d’achat de suffrage »
constituent des infractions faisant encourir des peines pouvant aller jusqu’à deux ans de prison (articles L.106 et L.108).

lundi, octobre 16, 2006

ILLUSIONS FRAGILES



Dans son livre, « les illusions perdues » Balzac raconte les erreurs fatales des rêveurs d’ambitions illégitimes.

Puteaux confirme les contre-performances, les fautes stratégiques, les procédés mensongers, qui caractérisent l’agitation des ambitieux des lieux, affamés et repus.


Voici quelques jours, en pleine réunion du Conseil d’Administration du Centre Communal d’Action Sociale, Madame le Maire a donné un exemple de la perte de son self-control.

Elle a d’abord confirmé qu’elle avait interdit la réinscription de Madame DALEAU, au cours de Yoga. Cette personne âgée a pourtant un besoin urgent de ces soins pour atténuer les souffrances que porte son dos douloureux.

Madame le Maire, l’écume de la colère sur les lèvres, a confirmé que ce refus, venait sanctionner les rapports amicaux que cette femme distinguée, entretient avec l’ancien Maire.

Dans le même temps, pour apaiser la tempête soulevée par un tel aveu, elle a expédié une de ses employées les plus serviles, dire à l’oreille de Madame DALEAU qui assistait à la séance en qualité d’administrateur, que la querelle pourrait s’arranger sous certaines conditions.

Plusieurs personnes et beaucoup d’employés subissent les mêmes pressions, au quotidien.

Ces procédés totalitaires transforment Puteaux en îlot Soviétique, où règne le caprice de Madame le Maire, comme si la Mairie était sa propriété privée, reçue en héritage.

Dans un instant d’indignité, elle a raconté en public, devant les élus et les fonctionnaires médusés, l’hospitalisation de son père.

Qu’elle le souhaite ou non, Charles Ceccaldi-Raynaud demeure maître de lui-même, comme Sylla dans le théâtre classique, tandis que, en ce qui la concerne, elle donne des signes d’ébranlement mental, dont on espère qu’ils lui sont inspirés par un reliquat de remords.

jeudi, octobre 12, 2006

LES TRICHEURS



Le journal le monde, sous la signature de Jean-Pierre DUBOIS rappelle dans son numéro du 12 octobre 2006, la grande tricherie organisée par madame le Maire de Puteaux.

Elle a créé une fausse section UDF. Monsieur Bayrou, Président de l’UDF dénonce une porosité détestable. Puteaux a fait mieux. Quatre militants encartés à l’UMP ont fondé une section UDF pour soutenir le maire en transit. La fausse section UDF de Puteaux a été dissoute par la direction.

Parmi les tricheurs, se trouvaient madame AMSELLEM, disponible pour tous les coups fourrés et Monsieur STURBOIS.

Que madame le Maire triche, c’est sa nature. C’est l’effet psychique de ses échecs.

Mais que deux citoyens honnêtes, par ailleurs conseillers municipaux, se soient laissés convaincre de tromper l’opinion, n’est pas admissible.

On ne peut vouloir représenter une tendance et adhérer à une autre, sans être un tricheur, indigne d’exercer une fonction représentative.

mercredi, octobre 11, 2006



Ci dessus une photo envoyée par monsieur Toubia, architecte urbaniste de l'institut de Paris.

Charles Ceccaldi-Raynaud vient d'assister à la conférence éminente, donnée à la synagogue de Puteaux, par Olivier Delagarde (france info) monsieur Clément Weil Raynal écrivain reconnu et monsieur Mergui président du consistoire sous la présidence d'Elie Korchia membre du consistoire de Paris

La dictée de Puteaux,
A la page 27 du Puteaux infos d’octobre 2006 on peut lire sous une photo la phrase suivante : » une rampe handicapée a permis à des jeunes de découvrir les contraintes du fauteuil roulant. »

Il appartient au service communication et au directeur de cabinet de vérifier l’orthographe et le français des documents publiés. Tout le monde peut faire des fautes. Mais tout le monde n’a pas à sa disposition une trentaine de personnes pour les corriger.

Or la lecture de la légende n’évoque pas l’idée d’une personne handicapée, mais d’une rampe handicapée.

La guerre que mène madame le Maire intérimaire diminue sa lucidité déjà faible. La colère fait perdre la raison. Cette maladie s’aggrave.

dimanche, octobre 08, 2006

L’entourage

Depuis toujours, les chefs d’Etat ont eu besoin d’entourage.
Les responsables politiques sont également dans ce cas, même au plus bas niveau. Les responsables doivent parler. Les responsables doivent écrire.

Ecrire suppose une connaissance préalable du sujet. Une solide documentation doit guider la pensée.
Documentation ne signifie pas compilation. Elle doit permettre de découvrir l’essentiel. L’essentiel doit être présenté sous forme de résumé et plus précisément de synthèse.

Cependant, les entourages appellent la plus grande méfiance. Ils voient le pouvoir. Le pouvoir leur donne la tentation, soit de l’exercer eux-mêmes, soit d’influer sur celui qui l'exerce légalement, par des techniques diverses de désinformation et de séduction. L’entourage demeure le plus grand danger pour un politique.

Certes, il faut s’entourer de l’entourage. Mais il faut l’empêcher d’entourer l’autorité dans ses filets entrelassés. L’autorité de commandement ne doit pas se laisser enrouler dans les liens serrés de son entourage comme une proie étouffée par un boa consrictor argenté. Pour se libérer de l’entourage, il faut être plus informé et plus fort que lui.

Chateaubriand était un connaisseur de haut niveau en intrigue et en coups fourrés. Il disait « un politique est un imbécile quand il écoute son entourage ». Il était pourtant protégé par sa culture et son expérience.

Alors qu’en est-il quand l’entourage guide l’autorité affaiblie par son ignorance, à sa guise et en fait un instrument docile ?
Dans ce cas l’autorité passe sous hypnose. Elle n’est plus qu’un zombi endormi entre leurs mains étrangères, et l’entourage éveillé devient un étrange danger, pour la population.

Rappelons que le Maire d'Asnières a senti ce danger et a su éjecter le directeur de cabinet, ambitieux et intrigant. Cette lucidité manque à Puteaux. Aprés le Maire intérimaire, la directrice de cabinet s'est imposée comme Maire de fait. Le kalife a pris la place du Kalife.

samedi, octobre 07, 2006

Lutter contre la frauduleuse gabégie

Philippe Juvin, responsable du programme santé de l’UMP, propose la création d’une carte crédit santé sécurisée, garantie contre la frauduleuse gabégie.

La récente révélation d’une fraude relative à des prescriptions de complaisance conforte le Professeur Juvin, sur la nécessité d’instaurer un procédé inviolable.
Fraudes et abus représentent entre 7 et 14 milliards d’euros annuels. Le déficit de l’assurance maladie, si grand soit-il, n’atteint pas un tel montant!
La falsifiabilité de nos systèmes est donc un problème central.
C’est pourquoi, Philippe Juvin propose la création d’une carte crédit santé. Elle remplacerait notre actuelle carte vitale, devenue inadaptée.

Ladite carte, sécurisée, cumulerait un code d’activation avec des éléments de biométrie, pour une optimale sécurité. En outre, son instauration s’articulerait avec le futur DMP. La consommation médicale des patients comme les prescriptions émises par les médecins seraient numériquement archivées.

La détection de toute anomalie permettra de pallier cette frauduleuse gabégie. Caisses d’assurance maladie et complémentaire santé, en liaison avec les professionnels de ce secteur pourront actionner des procédés de contrôle et d’alerte. L’assainissement de nos finances en est tributaire.


Sur dix affaires judiciaires, huit confiées au cabinet Pichon
Une affaire de grande instance confiée à un avocat au conseil d'Etat

Huit bouquets,
Cérémonie des médailles du travail. Environ 200 médailles : 8 d'or; les autres en vermeil.
Madame le Maire a offert un bouquet de fleurs rouges aux huit personnes qui ont obtenu la médaille d'or.
Les autres qui avaient subi le même discours vide, on été ignorées.
Moment de fatigue mentale, ou manque de crédits épuisés?

Paranoïa délirante

L’article sur la disparition soudaine de la photo de Nicolas Sarkozy, du site de la mairie, a rempli de la peur délirante d’un avenir menaçant, les plumitifs orduriers de l’entourage, rendus hystériques, jusqu’à la déficience mentale.

Ces personnes évitantes portent dans leur désordre psychique une puissance débordante de contagion rapide.

On constate déjà des symptômes de fatigue mentale, accompagnés de troubles obsessionnels compulsifs, et des manifestations agressives de paralysie psychique.

Sur le site de la mairie : trucage

Le montage photographique : photo de Nicolas Sarkozy, et photo de madame Ceccaldi, soudain retirées, ainsi que l’article les accompagnant.


Le jour du Kippour, madame Ceccaldi n’a pas réussi à se faire photographier avec Nicolas Sarkozy.


Elle a fait paraître sur le site de la mairie deux photos l’une à côté de l’autre, celle du Ministre et la sienne. Un simple montage pour cacher la vérité.Quel fonctionnaire est chargé de l'exécution de ces turpitudes?


Le lendemain les photos et l’article ont été retirés du site municipal.


Qu’est ce qui explique cette disparition rapide sur le site municipal d’un événement important ?


Ou bien monsieur Sarkozy ne veut pas paraître aux côtés de madame Ceccaldi pendant la campagne des législatives, ou bien la Commission Nationale des comptes de campagnes a exigé le retrait.


Madame le Maire trompe la population en permanence.
La population peut-elle garder un Maire fâché avec la vérité ?


En revanche le site de Puteaux pour tous n’a pas été enlevé. Aucune demande ne lui a été adressée en ce sens.


Ce trucage est habituel à la Mairie. Sur l’affiche nationale en faveur de l’action contre le Sida, madame Ceccaldi a mis sa photo à la place de celle d’un autre qu’elle a fait enlever


On ne peut rien croire de ce qui vient de la Mairie. Il n’y a de vrai que les petits cadeaux, et les grands festins, dans un but indigne de clientélisme subalterne.

vendredi, octobre 06, 2006

Excès

L’excès c’est ce qui caractérise la gestion actuelle de la ville.
L’excès partout, l’excès en tout.

On peut croire que les festins conduisent à la victoire. Plus on mange, plus on boit, plus on vote.
Cette logique trompeuse va produire l’effet contraire. Chacun doit penser à sa dignité sans se laisser tromper.
Pour ces bombances illicites on se cache derrière les portes des cuisines qui ont été blindées comme un bunker.
La commission de la transparence des comptes de campagne, sera saisie de ces abus permanents.
Les frais de bouches sont passés en deux ans de
1 à 4 millions d’euros

Excès dans les voyages. L’école des jeunes sert de prétexte, ainsi que d’autres opportunités pour se déplacer en tous sens de préférence dans les pays lointains. Un employé aux affaires internationales ne possédant aucun titre dans ce domaine, a été recruté pour tenter de trouver une justification à ces déplacements d’agrément.

En ce qui concerne les villages de vacances de la ville, beaucoup de vacanciers ont trouvé les prix élevés.Et l’autorité des chefs de village a été jugé incompatible avec l’idée de vacances Beaucoup disaient que des séjours privés sont devenus moins chers que les villages de la ville.

Excès dans l’autorité : De très nombreux contractuels ont été mal traités par téléphone, mutés ou renvoyés, pour avoir refusé de rentrer dans son équipe.
En revanche excès de favoritisme : l’ IAT au plus haut niveau, les heures supplémentaires au maximum, attribution de logement dans le domaine privé notamment.

Excès
dans les travaux. Désormais toute la ville le sait mais il faut le répéter partout l’avenant au marché de la médiathèque
s’élève à 7 millions d’euros

Excès dans le faux fleurissement :
Une ville doit être fleurie avec goût avec soin avec compétence. A Puteaux désormais ce ne sont plus les fleurs qui poussent, mais les jarres rouges ou jaunes dégradées. On ne voit que béton sur béton. Les arbustes plantés dans les jarres sont pour la plus part remplacés très fréquemment parce qu’ils périssent très rapidement.

Excès dans le lèche bottes. Toutes les opportunités sont saisies pour inviter à la mairie des personnalités, dont on attend le soutien à la vieille des investitures et des prébendes

Excès dans l’ignorance de l’opinion. L’avis des conseillers municipaux de la majorité ne compte pas. Il n’y a que des bénis oui oui, à part quelques élus d’exception, qui hésitent à franchir le pas mais qui n’en pensent pas moins.
Le rond point des Bergères avec les prolongations accordées au cirque est devenu impraticable et insupportable.
Les piétons sont obligés d’emprunter la chaussée.

Tout le monde sait que la municipalité va dans le mur. Dans quel état de délabrement d’encombrants et de laideur les démolisseurs en places vont-ils laisser la ville ?

Question : sans réponse
.
Le système qui consiste à répondre aux questions par d’autres questions, constitue un procédé imbécile.
Il a été demandé, quel est le statut de madame Marie Aude Balli directeur de cabinet : secret défense.
Il a été demandé qu’elle est sa rémunération : secret défense.
Quel est le montant du loyer qu’elle paye pour habiter un hôtel particulier de luxe privé et non HLM de plus de 200m² avec terrasse sur Paris, et balcon tout autour de l’immeuble : secret défense.
Quelles sont ses attributions, attendu qu’elle ne répond à aucune communication téléphonique émanant de la population : secret défense.
Les comparaisons qui ont pour but de tenir lieu de réponse conduisent à se demander
si tout le monde au plus haut niveau est en bonne santé mentale.
Quand on assume des responsabilités même très mal on ne prend pas le risque de faire répondre par n’importe qui.
Dis moi par qui tu fais répondre je te dirais qui tu es. Que savent de si grave les intouchables, pour être devenus inamovibles ?
Une seule question de plus :
Où un membre très important de la direction fait il construire en ce moment, à proximité de l’appartement que madame Collas vient d’acquérir ?
Continuez. Chacun prend ses responsabilités dans l’escalade que provoquent son inconscience, et sa débilité provocatrice.

jeudi, octobre 05, 2006

Statut?
Quel est le statut administratif de madame la directice de cabinet?
A t-elle un statut de collaborateur de cabinet, régit par le décret de 2005?
Est elle un attaché territorial titulaire, faisant fonction de directeur de cabinet?
Quelle est sa rémunération? quelles sont ses attributions?
Quel loyer pait-elle pour habiter, à deux, dans les 200m² et plus de l'hôtel particulier de luxe rue des pavillons, où la ville a fait installer un effet d'eau sous ses fenêtres et aux pieds de sa terrasse sur Paris?.

mercredi, octobre 04, 2006

L’ordure triomphe
.
Le programme de la majorité, vise depuis 35 ans à faire de Puteaux une ville résidentielle, c'est-à-dire d’abord une ville propre.
Or la pollution revient de loin. Par décision autoritaire de la Maire par intérim, ce que l’on appelle les encombrants, ne seront plus enlevés que trois fois par semaine au lieu de tous les jours.
Qu’elle est l’économie ? Quand on dépense 7 millions d’euros pour changer le verre de la façade de la médiathèque, on peut dépenser quelques euros pour la propreté.
Quand on jette par la fenêtre de la mairie 3,5 millions d’euros pour nourrir en bons chocolats et festins une clientèle que l’on veut fidéliser, on peut donner la priorité à la propreté.
Quand on augmente les impôts de 4,8%, on peut laisser la priorité à la propreté. Le prix du marché a t'il été baissé en conséquence?
Déjà le nettoyage des trottoirs est mal exécuté. Les bons employés ont été renvoyés pour insubordination électorale.
Puteaux n’est plus Puteaux.
Les tas d’ordures font penser à d’autres pays.

mardi, octobre 03, 2006


Pagaille au CCAS
.
Deux réunions pas de quorum. Une troisième réunion pas de salle.
Tout fout le camp.




CEREMONIE DU GRAND PARDON


Le pardon appartient à toutes les religions. Les juifs accordent une importance particulière à l’idée du pardon. Ils consacrent au pardon un jour de jeune et de prière.
Comme tous les ans depuis 40 ans, Charles CECCALDI-RAYNAUD, s’est rendu aux prières prononcées en hébreu dans le théâtre de Neuilly. La première fois, il était accompagné d’Achille Peretti, à l’époque Maire de Neuilly.


Aprés sa visite au théatre de Neuilly, où il a écouté la prière, Charles CECCALDI-RAYNAUD s’est rendu à Puteaux, dans la nouvelle synagogue, celle qu’il a fait construire rue Roques de Fillol. Cette synagogue fait penser à une cathédrale.
Elle restera une des plus belles réalisations réussies par Charles CECCALDI-RAYNAUD pendant 35 ans d’activité intense, au cour desquels les réalisations n’ont cessé de succéder aux réalisations, sans majoration d’impôt.

Le Président de la Communauté, membre du Consistoire de Paris, Monsieur Elie Korchia a rappelé qu’une première synagogue avait été mise à la disposition des juifs, il y a 35 ans, à l’époque du regretté René Attal dirigeant de la Communauté.

Le Président Elie Korchia a bien voulu rappeler le Monument à la Mémoire de William Lévy, qui prêchait en Algérie la réconciliation dans la tourmente. Ses convictions humanistes affirmées avec courage, ont provoqué l’assassinat d’un de ses fils adoré, puis le sien, au volant de sa voiture, à la veille de venir habiter à Puteaux.

Enfin le Président de la Communauté, a évoqué le monument à la mémoire de la Schoah réalisé dans le nouveau cimetière de Puteaux. Un monument départemental doit être construit à Sceaux.

Pour l’instant, le monument de Puteaux reste celui qui parle le plus au cœur et qui exprime, le mieux, la souffrance inhumaine des victimes de la rafle du vel d’hiv, par des policiers Français. Monsieur Korchia remercia de leur présence les élus de Puteaux.

Après le discours du Président de la Communauté, la parole fût donnée à Nicolas Sarkozy Ministre des Cultes. Il était élégant dans son costume bleu. Il fut convaincant. Il garantit à toutes les Communautés juives du pays, qu’elles trouveraient en lui un défenseur déterminé.

Le Ministre et le Préfet rejoignirent chacun leur voiture officielle. Ils furent raccompagnés par Charles CECCALDI-RAYNAUD.

L’an dernier, ou l’année d’avant, la sortie avait été gâchée par un petit élu, qui demandait à Nicolas une décoration officielle. Il lui fut répondu, que rien ne pouvait être fait sans l’avis de Charles CECCALDI-RAYNAUD. Ce dernier donna son accord. Celui qui, dans une liaison douteuse, dans un cimetière devant un monument aux morts, avait parlé des zéros de Verdun, promène sa décoration, après avoir trahi.

Après le départ du Ministre et du Préfet, Charles CECCALDI-RAYNAUD retourna dans les abords de la salle des prières. Il reçu non pas l’accueil chaleureux, traditionnel , qu’attend un élu, mais l’accueil affectueux, celui qu’on réserve à l’ami sincère, dont les preuves sont inscrites dans l’histoire de la Ville.

dimanche, octobre 01, 2006

De l'île à l'église
Pas de public ou presque dans le marché des peintres.
En revanche dans l'île des gens s'interrogeaient sur le lieu exact du rendez vous. Aucune affiche visible pour prévenir le public.Le marché des peintres a dabord été fixé dans l'île, soudain petit caprice le rendez vous est transféré à la vieille église.Le désordre s'étend partout.