mardi, janvier 08, 2008

La morale d’abord, le programme après.

La campagne électorale pour les élections municipales n’est pas encore ouverte.

Révéler trop tôt les programmes des candidats, c’est permettre à madame Joëlle Ceccaldi, laquelle ne possède pas plus d’imagination que de diplômes, de copier le programme des autres.

Il faut la harceler pour répondre à deux questions :

_En quoi votre programme se diffèrencie- t-il de celui que votre père a fait approuver par 76% des électeurs ?
_Où sont cachés les « gros moyens » dont parlaient les plumitifs avant d’effacer leurs écritures d' un français approximatif ?


Vous pourriez ajouter une troisième question : quelle rémunération perçoit madame Ceccaldi de l’association du chemin vert, et quelle est la rémunération de madame Lannoy?


Cette personne est fonctionnaire. Elle n’a pas le droit de percevoir une rémunération pour un emploi privé. quels sont les comptes de cette association, et ses déclarations d’impôts?


Madame Lannoy déclare t-elle sa rémunération en provenance de l’association, alors qu’elle ne fournit aucune justification des charges de gestion?


On peut se demander comment madame Ceccaldi est devenue co-propriétaire d’un bureau de change.


Monsieur Laambilliotte reconnaît que son épouse et sa fille vivent de leur emploi à la mairie.
Il prétend qu’elles ne sont pour rien dans ses engagements envers madame Ceccaldi.

Si sa famille n’était pas placée sous l’autorité féroce de cette dame, s’engagerait t-il comme il le fait au prix de l’injure et du mensonge ? Il reconnaîtrait et c’est une preuve de clairvoyance que ne possède pas madame le Maire, que le fleuve de boue nauséabond est alimenté par les plumitifs dont il est. Il reconnaît aussi que les plumitifs font le jeux de leurs adversaires en alimentant eux-mêmes le fleuve de boue par leurs attaques insensées.


Les plumitifs se sont aperçus du caractère néfaste de leurs écrits, madame le Maire, dont l’esprit est plus lent, n’a pas encore compris.

Elle sait pourtant que ou bien elle sera battue ou bien elle devra cesser ses fonctions, les plumitifs n’ont rien à attendre de celle qu’ils osaient appeler leur chef politique.


Dès à présent ils pourraient s’intéresser à l’opinion de la population, laquelle, malgré les prébendes ne voudra pas d’un chef qui ment et qui d’après eux "cache de gros moyens. "
La Voix