lundi, octobre 01, 2007

Merci a Phillippe Roland de ses propos reconnaissants. Il garde la nostalgie des temps heureux, à l'époque de l'édification du nouveau Puteaux. C'était le temps de la fraternité, auquel a succédé pendant ma période de maladie le temps de l'impasse. Aujourd'hui en pleine santé, je ne vois que paillettes dans l'insignifiant, clientélisme dans l'excés, et l'abus des autocars.