samedi, février 24, 2007

Un texte qui m’honore



Il y a clientélisme et clientélisme. Je n’ai pas hésité comme on vient de le rappeler à exposer au grand jour mes réserves dans ce domaine. Je n’ai rien caché.
J’ai pratiqué un clientélisme modéré et surtout pour tous, selon un oxymore, que j’ai employé.
Ce n’est plus le cas actuellement.


Je n’ai négligé aucun niveau social et j’ai privilégié les plus humbles.
Ce n’est plus le cas actuellement.
J’affirme dans le texte cité, que je n’ai demandé à personne parmi les éventuels bénéficiaires d’un choix nécessaire, de voter pour moi.
Ce n’est plus le cas actuellement.
Comme l’a révélé l’élection des représentants des locataires HLM.


Enfin je parlais d’ampleur, ce qui signifiait qu’il y avait une limite.
Ce n’est plus le cas actuellement.
Il n’y a plus de limite.


Avant l’agression du porte voix de madame le Maire, j’ai hésité à trop en dire sur certains voyages en car, alors que c’est mon devoir. Après l’agression, le contexte devient nouveau.


Je terminais ma conversation avec l’Express en disant : « après moi on verra ».
Justement on voit.
On voit un déchaînement de favoritisme en faveur des plus aisés sans précèdent, qui fait injure à la loi de la démocratie sur les comptes de campagne.
Je n’ai jamais pratiqué ce clientélisme abusif, indécent, antidémocratique.

Je le condamne et la population victime de discrimination le condamne aussi

C.C.R