mercredi, février 28, 2007

Jusqu’à mon dernier souffle.



Mes adversaires conduits par ma fille, sans respect pour son père, auquel elle doit tout, font courir le bruit que je vais quitter Puteaux pour la province.


Après avoir souhaité ma mort, elle souhaite mon départ. Ma santé de fer inquiète. J’ai décidé de louer ma maison de corse dont je ne suis que l’usufruitier. Je paye l’impôt et les frais et ma fille se délasse avec ses enfants, et des amis de ses enfants, dont certains recrutés depuis en mairie.


Pour mes vacances, je cherche à louer avec le produit du loyer un appartement sur la côte. Peut être à acheter, si j’en ai les moyens. Pour moi adieu la Corse, où j'ai fait construire Caprone, inauguré en présence de ma mère. J’y reviendrai, occuper le caveau familial à côté de mon épouse et de mon fils décédés, qui m’attendent.


Mais je ne quitte pas Puteaux. Je n’abandonne pas la lutte pour la ville. Je dois la libérer de l’incompétence et de la dictature . Je ne quitte pas le champ de bataille.
Je combattrai, pour Puteaux jusqu’à mon dernier souffle.

La chanson d'amour n'est pas terminée.


Charles Ceccaldi-Raynaud

4 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Bel article dans le parisien de ce jour, sur cet article de votre blog.

Courage Monsieur, vous y parviendrez et votre persévérance inspire le respect de tous, d'autant que vous ouvert votre liste à des personnes nouvelles, qui sont heureuses de s'investir.

J'étais au reto du boucher le soir où vous organisiez le débat sur l'éducation. Beau débat, dans le respect de la parole de chacun.

cordialement
Hadrien

01 mars, 2007 21:48  
Anonymous Anonyme said...

On compte sur vous, sur votre équipe, pour créer l'enthousiasme que la ville a perdu.

Votre blog serait plus attractif encore avec des photos de la ville.

à quel email peut on vous joindre personnellement si besoin?

Michèle

04 mars, 2007 00:03  
Anonymous Anonyme said...

En tous les cas vous écrivez très bien, vous créez de l'émotion tout en argumentant, être avocat est une excellente formation.

Est-ce vous qui avez transmis à Sarkozy, la passion de Jaurès et Blum?

Thérèse

04 mars, 2007 13:12  
Anonymous Anonyme said...

Surtout ne partez pas le bateau est sur le point de couler, il serait dommage de laisser tomber, nous sommes là et nous vous aiderons jusqu'au bout.

Une amie sincère

05 mars, 2007 09:54  

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