La rafle criminelle
Du vel d’hiv
Les tristes anniversaires marquent cette période de l’année, pourtant embellie par un temps, qu’on voudrait de chaude douceur.
La réhabilitation de Dreyfus, dont c’est le centenaire, avait révélé à l’époque, la force puissante de l’antisémitisme. La condamnation répétée de Dreyfus avait aussi montré l’influence néfaste des entourages, attachés à leurs privilèges abusifs, sur les petites personnalités, et parfois sur les grandes.
La cérémonie à la mémoire des victimes innocentes de la rafle massive des juifs, entassés dans le vélodrome d’hiver, en attendant de monter dans les trains funèbres, à destination des fours crématoire d’Auschwitz, en Pologne, se déroule à Puteaux.
.
Puteaux pourquoi ? Puteaux parce que le Maire précédent, élu par le peuple, et non par un ramassis de bénis oui oui ignorants et ingrats, a fait élever un monument somptueux, qui exprime avec une force exceptionnelle, l’émotion intense et durable que le souvenir malheureux de cet événement de grande douleur a suscité dans le pays, horrifié par la participation à la rafle de la police Française.
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Le monument solennel, symbole attristant de la marche criminelle, de pères de mères, d’enfants, vers des lointains sanglants, accroît le frémissement du visiteur incrédule.
La localisation du monument dans un cimetière grandiose, rénové par l’ancien Maire, renforce le lien de solidarité entre la construction majestueuse et les tombes immobiles, rangées le long des allées bordées de cèdres du Liban, entrecoupées d’espaces émaillés de fleurs. Le péristyle grandiose de style gréco romain qui ouvre l’accès, annonce, les temples immobiles de la mort. Ils reflètent l’image de la marche épuisante des juifs vers la même éternité, présente dans tout le cimetière.
Au cours de ces trois dernières années une voix improvisée et musicale, faisait vibrer les cœurs et couler les larmes..
.
Cette année l’intérimaire a lu d’une voix monotone et rapide, le texte banal écrit par son service de communication.
Elle n’a pas prononcé une seule fois le nom de son père qui a fait bâtir ce monument vibrant d’émotion et admiré par tous ;
Les deux orateurs juifs représentant le Consistoire de Paris, ont rendu hommage à Charles-Ceccaldi-Raynaud et l’ont assuré de leur amicale reconnaissance. Ils connaissent la situation de Puteaux. Ils ont voulu respecter les lois de la dignité.
Les plates banalités prononcées par l’intérimaire ne doivent pas masquer la montée de l’antisémitisme actuellement.
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Le fléau revient porté par un vent d’est, et provoqué par la volonté des voisins d’Israël de transformer le pays, que Dieu a choisi, en immense cimetière.
La situation commande la vigilance permanente. Aucune des grandes turpitudes raciales et tribales, qui ont frappé le peuple juif, ne doit être passée sous un silence coupable.
La municipalité de Puteaux a omis de célébrer le centenaire de la réhabilitation de Dreyfus,innocent expédié à l’île du Diable, enfermé toutes les nuits dans des sabots lourds verrouillés jusqu’au sang.
A travers ces cérémonies, le passé reste dans le présent. Comme l’a dit Ernest Renan, « les vrais hommes de progrès, sont ceux qui ont pour point de départ un profond respect du passé »
La Voix
Du vel d’hiv
Les tristes anniversaires marquent cette période de l’année, pourtant embellie par un temps, qu’on voudrait de chaude douceur.
La réhabilitation de Dreyfus, dont c’est le centenaire, avait révélé à l’époque, la force puissante de l’antisémitisme. La condamnation répétée de Dreyfus avait aussi montré l’influence néfaste des entourages, attachés à leurs privilèges abusifs, sur les petites personnalités, et parfois sur les grandes.
La cérémonie à la mémoire des victimes innocentes de la rafle massive des juifs, entassés dans le vélodrome d’hiver, en attendant de monter dans les trains funèbres, à destination des fours crématoire d’Auschwitz, en Pologne, se déroule à Puteaux.
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Puteaux pourquoi ? Puteaux parce que le Maire précédent, élu par le peuple, et non par un ramassis de bénis oui oui ignorants et ingrats, a fait élever un monument somptueux, qui exprime avec une force exceptionnelle, l’émotion intense et durable que le souvenir malheureux de cet événement de grande douleur a suscité dans le pays, horrifié par la participation à la rafle de la police Française.
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Le monument solennel, symbole attristant de la marche criminelle, de pères de mères, d’enfants, vers des lointains sanglants, accroît le frémissement du visiteur incrédule.
La localisation du monument dans un cimetière grandiose, rénové par l’ancien Maire, renforce le lien de solidarité entre la construction majestueuse et les tombes immobiles, rangées le long des allées bordées de cèdres du Liban, entrecoupées d’espaces émaillés de fleurs. Le péristyle grandiose de style gréco romain qui ouvre l’accès, annonce, les temples immobiles de la mort. Ils reflètent l’image de la marche épuisante des juifs vers la même éternité, présente dans tout le cimetière.
Au cours de ces trois dernières années une voix improvisée et musicale, faisait vibrer les cœurs et couler les larmes..
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Cette année l’intérimaire a lu d’une voix monotone et rapide, le texte banal écrit par son service de communication.
Elle n’a pas prononcé une seule fois le nom de son père qui a fait bâtir ce monument vibrant d’émotion et admiré par tous ;
Les deux orateurs juifs représentant le Consistoire de Paris, ont rendu hommage à Charles-Ceccaldi-Raynaud et l’ont assuré de leur amicale reconnaissance. Ils connaissent la situation de Puteaux. Ils ont voulu respecter les lois de la dignité.
Les plates banalités prononcées par l’intérimaire ne doivent pas masquer la montée de l’antisémitisme actuellement.
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Le fléau revient porté par un vent d’est, et provoqué par la volonté des voisins d’Israël de transformer le pays, que Dieu a choisi, en immense cimetière.
La situation commande la vigilance permanente. Aucune des grandes turpitudes raciales et tribales, qui ont frappé le peuple juif, ne doit être passée sous un silence coupable.
La municipalité de Puteaux a omis de célébrer le centenaire de la réhabilitation de Dreyfus,innocent expédié à l’île du Diable, enfermé toutes les nuits dans des sabots lourds verrouillés jusqu’au sang.
A travers ces cérémonies, le passé reste dans le présent. Comme l’a dit Ernest Renan, « les vrais hommes de progrès, sont ceux qui ont pour point de départ un profond respect du passé »
La Voix
cliquez sur monument somptueux dans le texte pour voir le monument
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