Le bureau de change, change les cœurs

A l’âge de 35 ans mon fils, paysan amoureux de sa terre, a trouvé la mort dans un accident, en réparant un colossal engin agricole. Il laissait trois enfants, dont un de quatre mois. Cet enfant n’aura pas connu son père.

Ce choc affectif fit mourir mon épouse, dont tout le monde à Puteaux avait remarqué la générosité et la distinction.

Pour permettre à ces enfants de vivre, malgré un destin cruel, mon épouse créa un bureau de change entre elle-même et madame JöelleCeccaldi, avec un testament en faveur des orphelins.

L’euro a ruiné beaucoup de bureau de ce type Il a fallu le vendre. Il manque une dernière signature. Justement celle de Jöelle Ceccaldi.

Cette personne qui manque de stabilité et qui se laisse vite envahir par la haine, que fabrique sa médiocrité, refuse la dernière signature en raison de la réouverture de mon site politique. Chantage indigne d'un élu.

Les 160 000 francs par mois qu’elle reçoit, soit 24 678 euros ont bouleversé son esprit fragile.
Son cœur ne bat plus que pour elle même .
Se venger sur des enfants innocents, c’est plonger dans l’immonde.

Laissons pleurer les orphelins. Leur sort demeure en apparence une affaire privée. Il révèle la férocité d’une personne, qui n’est plus apte à exercer une fonction publique au service de tous.

On ne peut pas administrer, quand on ne sait plus aimer.

Elle dit qu’elle ne donnera sa signature qu’après les élections. Il y a donc dans cette attitude inhumaine, quelque chose à cacher à l’électeur. Quoi ?


Charles CECCALDI-RAYNAUD.