dimanche, février 24, 2008

La chambre régionale des comptes
Comme le magazine Challenge
Confirment la mauvaise gestion financière
de la ville
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Une très mauvaise gestionnaire aux caisses encore pleines, voila comment est jugée, la gestion financière de la ville depuis avril 2004 par madame Joëlle Ceccaldi.


La compétence de la chambre pour ce contrôle, ne porte que sur quelque mois de cette gestion désastreuse. Les experts de la chambre critiquent une gestion désordonnée.
Selon la chambre l’augmentation de l’impôt en 2006 par madame Joëlle Ceccaldi n’est pas fondée. Finalement elle ne s’explique que par le formidable coup d’accélérateur donné au clientélisme, aux paillettes, aux cadeaux, aux réceptions aux illuminations au cirque et cætera.
La fête coûte prés de 6 millions d’euros en 2007, contre 3 millions de francs en 2002.
L’avenant de sept millions d’euros, qui a enlaidi la façade de la médiathèque, ne sera examiné que lors du prochain contrôle de la chambre régionale des comptes.


Pour l’instant madame le Maire fait visiter les lieux notamment par les élèves des écoles.
Elle assure en pleine période électorale la promotion d’une réalisation municipale, alors qu’elle n’est en rien impliquée dans sa réalisation, sauf l’avenant ruineux.
L’avenant irrégulier, c’est sa seule contribution personnelle.


L’avis porté par la revue Challenge ne peut être correctement interprété, que si il est placé dans le contexte financier de Puteaux.
La ville n’a pas de dette. Il y a longtemps qu’elle n’en a plus. Comment pourrait elle en avoir, même si la gestion actuelle y conduit irrévocablement.


Pendant longtemps, les taux de l’impôt ont été abaissés, jusqu’à l’arrivée de madame le Maire, qui l’a aussitôt majoré.


Depuis longtemps une politique de prudence et de précaution a remplie la réserve, jusqu’à 228 millions d’euros le jour du départ de Charles Ceccaldi-Raynaud.

La gestion de Charles Ceccaldi-Raynaud prolonge ses effets jusqu'à aujourd'hui. C'est encore à lui que s'applique le résidu de compliments du magazine.


La gestion lamentable de madame Joëlle Ceccaldi se déroule au moment où les périls financiers arrivent avec les aménagements prochains de la taxe professionnelle et la hausse vertigineuse des frais de gestion de la Défense.


Les échéances sont proches. La population saura prendre les responsabilités que lui commande la situation, dont Challenge la Chambre des comptes et tous les opposants l’ont largement informée. Elle renverra les incompétents.


La Voix