lundi, décembre 24, 2007

Soyons justes


Toutes ces erreurs grossières dans la distribution des jouets, venant s’ajouter à une série de décisions contraires au bon sens, ne peuvent être imputées ni à une petite employé ni à une grande, comme croit pouvoir l'écrire un sympathique anonyme.
A la mairie, il n’y a qu’un seul responsable le Maire. Si il ne sait pas surveiller l’application de ses ordres il n’est pas digne de commander.
En ce qui concerne le cheval à bascule, c’est bien madame le Maire en personne qui l’a choisi, c’est bien elle qui s’est trompée de destinataire, et qui a provoqué la grande pagaille.
Le clientélisme atteint à Puteaux une telle ampleur, sans précèdent nulle part ailleurs, que le personnel est déboussolé et ne peut plus suivre les ordres qui précédent les contre ordres, venus d'un esprit agité.

La Voix