dimanche, décembre 02, 2007

Délires pathologiques

Un petit employé de la RATP, se présentait faussement comme représentatif de l’immeuble où il habite. La réalité a vite montré, que personne ne se faisait d’illusion sur son imaginaire névrotique.
A l’approche des échéances, comme il a été inutile, il se demande s’il sera reconduit sur la liste de sa chef.
Pourtant il possède en commun avec elle, un capital de nullité complémentaire et de méchanceté autoritaire.
Pour se faire remarquer de sa chef qui le regarde moins, il a diffusé ,avec son accord necessaire, un pamphlet obscène, bâti sur l’injure ordurière, parsemé de fantaisies grammaticales, comme un défi à l’écriture.

Madame le Maire sent se lever le vent nouveau de l’agonie municipale. Elle réunit contre elle toutes les oppositions et une large fraction de la majorité.
L’investiture elle l’a fait payer par la ville. Mais quand la morosité commence, comme toujours, à s’étendre sur le pays, l’investiture n’est plus un atout. Elle est un handicap. Qu’a fait madame le Maire de concret depuis son arrivée accidentelle aux commandes municipales ?
La médiathèque, je l’ai imaginée à l’endroit où elle se trouve, après cinq ans consacrés à l’acquisition amiable des terrains et des taudis face à l’entrée de la Mairie. L’avenant irrégulier, que Joëlle Franchi Ceccaldi a fait voter, lorsque j’étais hospitalisé, entraîne un surcoût de plus de huit millions d’euros. Le résultat est un enlaidissement. La nouvelle façade principale, laisse apparaître une foret de tirants formés de nombreux tuyaux.
Il en est de même pour le Palais des sports, auquel j’ai imprimé la noblesse d’un Temple antique que j’ai dessiné. Plus deux millions d’euros de surcoût avec l’assainissement.


Son œuvre n’est que la traduction pathologique de son délire de dépenser. Elle veut dépenser. Dépenser encore. Dépenser toujours. Réceptions sur réceptions, cadeaux sur cadeaux, séjours sur séjours, voyages sur voyages, illuminations sur illuminations, pots sur pot, et finalement la paix de noël est représentée par un cirque immobile, qui rappelle le cirque agité de la mairie. L’hôtel de la Clusaz que j’ai acquis en 69 et dirigé par Pierri pendant une génération, constitue un des instruments de son clientélisme.
Elle a profité de l’amour d’un père. À sa demande, pour libérer éventuellement le chemin, le temps qu’elle essaye de se former, il a fallu écarter du conseil municipal mesdames et messieurs Bertomier, Canceloni, Koubi, Hotefeux, Benetti et moi-même, à proximité de mon opération chirurgicale réussie.
Ses troubles psychiques, alimentés par un excès de jalousie furieuse se sont manifestés dés l’enfance. Ces troubles ont connu l’amplitude sans limite qu’apportent le Pouvoir et l’Argent aux esprits fragiles. Elle tient deux discours. A ceux qui m'aiment elle dit qu'elle m'aime. A ceux qui ne m'aiment pas elle dit qu'elle me hait.
Elle est le plus mauvais Maire que Puteaux ait eu à subir jusqu’en 1912. J’ai le devoir de m’associer au rétablissement de la démocratie, et à la relance du renouveau à l'abandon. Tout n’est pas dit. Quelque soit le verdict des urnes,quelque soit l’effet du clientélisme, elle va perdre. Elle perd. Elle a perdu.

Charles Ceccaldi-Raynaud

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Cher Charles, je ne maîtrise pas comme vous l'art de la rhétorique, néanmoins je vous encourage à "moucher" comme vous le faites si joliment ces pseudo poètes auteurs de pamphlets dégradant... Il ne faut pas désespérer, toujours la vertu triomphe...

06 décembre, 2007 12:09  

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