vendredi, avril 25, 2008

hommage à Reine Denoulet

Elle a été jeune et belle. Notamment sur une jeep à la libération. Elle était Gaulliste. Elle a connu des souffrances, génératrices d’angoisse. Mais la bonne humeur l’accompagnait partout.
Son sourire exprimait la douceur.
Les malades et les personnes âgées ont bénéficié de son dévouement.
Elle inspirait le club 102 et elle dirigeait le foyer des anciens.
Chacun a pu voir l’amour de d’autrui guider son action bienfaisante.
Je pense qu’elle ne m’a pas donné son suffrage. Cette défection m’attriste, mais peu m’importe. Elle n’a peut être pas disposée de sa pleine liberté. Je continue de l’aimer comme par le passé.
Ses obsèques ont répandu dans l’église pleine de monde une atmosphère de tristesse et de douleur.
Madame le Maire, n’avait pas offert sa présence.
Madame Denoulet se situait sur les hauteurs.
Elle croyait aux certitudes éternelles.
Elle était une étoile.
Cette étoile s’est éteinte, pour nos regards éphémères.
De cette ombre nous vient une lumière.
Charles Ceccaldi-Raynaud

mercredi, avril 23, 2008

Office public de l'habitat priorité aux dirigeants

En prenant les commandes des HLM, les nouveaux dirigeants n’ont rien fait pour les locataires, ils ont tout fait pour eux.
Ils ont fait agrandir leur salle de réunion et amélioré le confort des bureaux voisins pour leurs amis employés. En ce qui concerne le personnel la délibération pour payer la prime au titre du pouvoir d’achat n’a pas été votée pour l’instant. Alors qu’elle igorait l’ordre du jour.
Le temps est destiné à faire croire que la prime est donnée par la mal élue, alors qu’on pouvait la donner tout de suite cette prime étant accordée par la loi.
Les envahisseurs qui représentent 30% des inscrits ont préférés s’occuper d’abord des commodités pour leur installation.
La Voix

Le renouveau ne corrige pas les erreurs:

Retour de la surconcentration, et aggravation du déséquilibre des hauteurs.
Le commissaire enquêteur est une fonctionnaire de la mairie, selon le Parisien, proche d’un parent de madame le Maire.
Le promoteur des deux tours relève du même investisseur.
La tour Generali va communiquer aux locataires de la résidence HLM des platanes un sentiment d’enfermement.
Les fausses mesures pour atténuer l’impression pesante de surconcentration ne sont que des gadgets trompeurs. Le petit jardin enclavé au milieu des grandes hauteurs ne changera rien à la réalité. La réalité est que les locataires HLM ont été sacrifiés par madame la présidente de l’office HLM.
La tour Phare ne manque pas d’allure, elle donnera à la Défense un peu de la dimension qui lui manque.
Cependant elle ne contribuera pas a atténuer le déséquilibre visuel très défavorable à Puteaux entre les deux côtés de l’esplanade centrale.
La tour Phare sera construite sur le territoire de Puteaux, mais côté Courbevoie.
Qu’elle est la place réservée à la concurrence.
Dans ce dossier qui réuni de hautes autorités et de grands promoteurs. La mal élue n’a pas fait le point.
La Voix

Continuer jusqu'à la victoire

Dans son article du 21 avril, le Parisien suggère que le cumul des fonctions conduit à l’échec.
C’est vrai pour les Maires compétents et pour les maires bien élus, par exemple avec 75% des voix au premier tour, comme c’était mon cas. C’est encore plus vrai dans le cas inverse où prés de 70% des inscrits ont rejeté la Maire actuel. Encore faudrait il soustraire plus de mille voix venant de contractuels et des anciens, dont on est allé chercher les procurations à domicile.
Le manque d’union a empêché la victoire. Nous aurions dù gagner, comme à Colombe et à Asnières.
Par ailleurs les nouveaux venus depuis cinq à dix ans ne connaissent pas le passé de Puteaux. Ils voient une ville belle est riche. Ils veulent y vivre. Ils croient qu’il en a toujours été ainsi. Ils ont du mal à imaginer la nébuleuse qu’était Puteaux. On allait de friches en friches. De faubourgs lourds en faubourgs lourds. Mais il y avait une vue panoramique fantastique et merveilleuse sur l’ensemble de Paris, au soleil couchant.

De graves périls peuvent provoquer un saut dans un passé morose, avec de vertigineuses hausses de la fiscalité, et une dégradation complète du paysage
Au cours des 35 ans de métamorphose et d’embellissement, j’ai thésaurisé 228 millions d’euros soit environs un milliard et demi de francs, pour faire face à un renversement probable de tendance. J’aurais pu dépenser cet argent, comme aujourd’hui ,en fêtes permanentes,en falbalas, en fanfreluches, en cirque, en illuminations,en paillettes et en pots.
J’ai été malade en mars 2004. En avril ma fille a pris ma place. J’ai été opéré. On attendait ma mort. C’est la guérison qui est venue. J’ai voulu être un conseiller écouté. J’ai été un imposteur écarté. L’honneur me commandait d’être candidat. Je devais ce témoignage de fidélité à une population qui m’a toujours soutenu.
J’ai fait entrer ma fille au conseil municipal. Elle m’en a chassé. J’ai été mis à pied.
Je ne regrette rien. Je n’emporte rien. Je ne demande rien.
En attendant, toutes les forces qui me restent, même si inévitablement elles seront affectées par les événements, je demeure disponible pour un nouvel élan dans une union efficace de tous les opposants.

Charles Ceccaldi-Raynaud

jeudi, avril 17, 2008

Le commando

Un commando sinistre a débarqué à l’office public de l’habitat de Puteaux.
Les logements sociaux constituent une réponse à la pauvreté. Ils représentent aussi, hélas le moyen le plus fort du clientélisme. Un commando est venu prendre possession des lieux avec brutalité.
A la tête du commando, un personnage brumeux écarté du conseil municipal : Monsieur Lichani.
Un autre dans le même cas : Monsieur Boumendil. Il disposera d’un bureau sur place.
Monsieur Lichani est envoyé pour faire peur ou pour atténuer les peurs personnelles de la cheftaine assoiffée de protection.
Toutefois, ne pas se fier aux apparences.
Le dur est un faux dur.
Dans le commando Madame Lannois comtesse des attributions de logements sociaux, Désormais il faudra comme autrefois faire la révérence préalablement dans son bureau.
Les dynasties familiales qui occupent des escaliers entiers vont s’élargir.
Au sommet de cette pyramide fragile, Madame Rocchia.
L’intéressée recevait deux rémunérations : une de l’Office, une de la ville.
J’ai supprimé celle de l’Office. Elle sera rétablie.
Beaucoup parmi les gens sélectionnés pour bénéficier d’un logement social appartiennent à la classe moyenne, financièrement supérieure. Ils sont concentrés dans les plus belles résidences HLM, celles du vieux château et celle de Pouey.
Une nouvelle conseillère municipale occupe dans cette résidence un logement de 4 pièces pour une seule personne, à l’étage d’où l’on voit l’ensemble de Paris.
Les premières mesures du commando ont consisté à punir plusieurs employés pour délit d’opinion.
Monsieur Lichiani, roulant les mécaniques enrayées a interpellé le chauffeur qui me conduisait pour lui retirer les clefs de la voiture. Qu’importe ! Je monte allègrement, à pied, la dure cote de la rue Pouey. En cas d’accident coronarien, j’appelle le SAMU ou un passant bienveillant qui se souvenant du passé le fera pour moi.
Au cours d’un bref débat, le commando a refusé illégalement la prime du pouvoir d’achat votée par le Parlement à la demande du Président de la République.
Examinant la délibération préparée en ce sens, ils ont déclaré : « on verra plus tard » avec le concours du trésorier principal qui ne devrait pas assister aux débats.
Pour remettre en état le patrimoine social, il faut que l’Office dispose pendant une dizaine d’années d’une subvention annuelle de plus de 10 millions d’Euros.
Le commando a estimé sous l’influence de Madame le Maire que les locataires ne méritaient pas plus de 5 millions. En raison de son ancienneté, une partie du patrimoine va devenir un ghetto à l’abandon. Les réparations locatives, lesquelles ne sont pas du ressort de l’office seront réservées aux amis du commando.
Madame Gonzales s’est mise à la disposition des nouveaux maîtres des lieux. Un comité de défense va se constituer, ainsi que des syndicats. Madame la Présidente de l’Office, Maire de Puteaux, est favorable au cumul des fonctions.
Elle réside dans une villa de luxe parmi les plus belles et les plus chères de la ville, dans le quartier le plus cher de la cité.
L’examen du résultat des élections par bureau, montre que les quartiers HLM ont fait preuve de réticence à l’égard de madame la présidente.
Ils n’auront droit qu’au mépris.
Il leur appartient de former la première armée de la résistance.
Au conseil d’administration, une grande dame, élue par les locataires, ancienne Présidente du commerce de proximité a décidé de faire front. Elle a croisé le fer immédiatement avec fierté et autorité. Celle-là on ne l’achète pas avec des chocolats, elle en vendait.

Charles Ceccaldi-Raynaud

mercredi, avril 16, 2008

Les périls financiers
Les périls financiers à l’horizon exigent une gestion vertueuse des finances de Puteaux et la fin du laxisme.

La Défense rapporte une recette considérable aux communes de Puteaux et de Courbevoie.
On pense à la taxe professionnelle. Il faut ajouter la taxe foncière.
Le Sénat auquel j’ai longtemps appartenu, s’est étonné, comme tout le monde, que les communes et le département, puissent recevoir des sommes considérables, au titre de la taxe professionnelle notamment, sans aucune contrepartie. Cette interprétation est erronée. Ce n’est la taxe professionnelle qui justifie l’exigence d’une participation financière des collectivités territoriales concernées, c’est le transfert des équipements public de l’EPAD dans le patrimoine des collectivités territoriales concernées.
C’était la loi. La loi comportait une faiblesse que j’ai utilisée pendant 35 ans.
Le transfert devait être total. Il ne pouvait y avoir de transfert partiel.

Voici quelques années la loi Gayssot a offert la possibilité de transférer tout élément terminé, même si l’aménagement dans son ensemble n’est pas achevé.
Depuis cette modification législative, l’Etat peut transférer dans le patrimoine des collectivités, tout équipement terminé même si l’ensemble de l’aménagement ne l’est pas.
Pour l’instant aucun transfert n’est intervenu. Cependant sous la pression de l’Etat les collectivités ont versées en 2006 et 2007 des contributions volontaires de 1 million d’euros. La gestion de la Défense coûtera beaucoup plus cher qu’on ne le dit.

Autre péril, le grand Paris,
Le grand Paris, représente une administration plus juste, et mieux coordonnée. Il déplait évidement aux président des départements.
Les départements représentent dans la région parisienne une couche administrative qu’il est possible de supprimer ou d’aménager pour la rendre moins onéreuse.
Le Grand Paris aggravera les péréquations. Il coûtera cher aux villes riches. Il y aura une taxe à taux unique.
Autre péril encore,
Le bouleversement de la fiscalité locale. La taxe professionnelle demeure la cible commune.
Certes une autre taxe la remplacera. Elle ne produira pas les mêmes recettes. Il n’y aura plus de villes riches.
Tous ces périls cumulés, m’ont amenés a thésaurisé.
J’ai laissé en partant 228 millions d’euros, en réserve pour faire face à ces périls imminents ou non.
Cependant, les périls sont si grands, qu’ils exigent une gestion rigoureuse d’urgence.
Une partie de la population n’a pas entendue les avertissements qui lui ont été adressés.
La situation exige un Maire rigoureux et non un Maire dépensier, farouche partisan de la dépense et du clientélisme.

Un audit de la gestion de la ville, sous le contrôle de l’opposition représenterait une première mesure vers une gestion en rapport avec les exigences de la situation.

Charles Ceccaldi-Raynaud .

vendredi, avril 11, 2008

copie du rapport de la Miilos





Pour réhabiliter tout le patrimoine de l’office, il faut dix millions d’euros ans pendant six ans au moins.



La subvention de la ville à l’office a été de huit millions d’euros en 2004, le Maire étant Charles Ceccaldi-Raynaud.
Madame Ceccaldi a ramené le montant à 5 millions l’année suivante.
Pour se justifier elle a d’abord déclaré : le Président de l’office n’a pas demandé plus.
C’est inexact.
La Maire a fait savoir téléphoniquement qu’elle ne donnerait pas plus de cinq millions, et qu’il fallait adapter la demande en conséquence.
Aujourd’hui, elle s’abrite derrière le contrôle de la mission interministérielle d’inspection du logement social, qui lui aurait écrit une correspondance lui demandant de réduire la subvention à cinq millions d’euros.
L’office ignore tout de cette lettre.
Que la ville produise cette prétendue lettre.
Certes, tout organisme qui contrôle : la ville, l’office, le centre communal d’action sociale, s’indigne de la richesse de Puteaux.
En vérité, le rapport de la Miilos du 30 mai 2006, distingue les points forts de la gestion de l’office et leurs points faibles
Dans les points forts figure la phrase : « subvention importante de la ville allouée pour la maintenance et l’amélioration du patrimoine »
La Miilos ne peut tout à la fois demander que la subvention soit réduite, et situer son importance dans les points forts.
Le patrimoine social va connaître une grave dégradation si la subvention nécessaire est réduite de moitié.
Devant un tel péril l’office ne pourrait que conventionner auprès des organismes préteurs tous les logements libres au fur et à mesure des vacances.
La ville de Puteaux s’appauvrie depuis quatre ans, mais elle est toujours une ville très riche.
En 2004 il y avait dans la réserve 228 millions d’euros.
Pour connaître le montant placé, il suffit d’interroger par écrit le trésorier payeur général.
Ma liste n’a pas encore de représentant au conseil municipal, je n’écris que pour rétablir la vérité.
Charles Ceccaldi Raynaud

ci dessus, Copie du rapport de la Miilos