dimanche, décembre 30, 2007

mars 2008 nouvelle génération

"En peu de temps se remplacent les générations qui, tels les coureurs de la fête athénienne, se passent le flambeau de la vie." Lucrèce, de rerum natura.


De quoi parle-ton quand on parle de nouvelles générations? Quelle était l'ambition de Nicolas Sarkozy, concrétisée par l'initiative de François Guéant, en instituant les Jeunes Actifs? Faire émerger une nouvelle génération en politique, entendons par-là laisser aux 25/45 ans toute leur place sur l'échiquier politique.


Cela ne signifie nullement nier l'expérience des hommes politiques qui ont su impulser un changement et transformer une ville. Cela signifie que ces jeunes actifs, soutiennent en toute logique une personne d'expérience qui leur laissera exprimer leur potentialité. C'est pourquoi des jeunes actifs de tous bords, ont décidé de rejoindre la liste formée par Charles Ceccaldi-Raynaud.


Certaines personnes disent qu'à son âge il n'incarne pas la nouvelle génération.
Mais le prétent-il? Nullement, il prétent mettre au service de tous son expérience pour passer le flambeau à une nouvelle génération.


En toute logique, ce n'est pas la soixantaine approchant que l'on incarne le renouveau. A l'UMP ou ailleurs.


Et quand on approche la soixantaine on n'incarne pas la nouvelle génération. Que des candidats de la quarantaine fassent valoir leur tranche d'âge comme garant de nouvelle génération serait compréhensible.


Que la soixantaine approchant on s'empresse d'étiqueter "has been" les candidats plus âgés fait sourire. Comme le disait avec beaucoup d'humour un Député du département, "rassurez-vous, la jeunesse est la maladie dont on guérit le plus vite"


L'accueil glacial de la piste de neige

Puteaux en neige a, cette année, contrairement à toute logique, essuyé un accueil glacial.
Faut-il en conclure que cette année plutôt qu'une autre tous les putéoliens ont pu partir en vacances? Hélas non.


Simplement pouvons-nous constater que le filtre constitué par la nécessaire détention d'un "pass" a gelé toute spontanéité.


Comment justifier cette mesure absurde?
Ficher les utilisateurs de ladite manifestation?
Empécher l'accès aux non-putéoliens?


Où est passée la magie que l'on associe d'emblée aux fêtes? Où sont passés les moments de franche rigolade familiale ou amicale?


Sur les photos publiées sur le blog monputeaux.com, tout juste aperçoit-on une dizaine de personnes sur la patinoire. Quelques centaines de milliers d'euros fondus comme neige.
Quelle était donc l'utilité réelle du "Puteaux Pass"? A cette question le bon sens trépasse.

jeudi, décembre 27, 2007

Puteaux en neige se meurt

La première expérience de Puteaux en neige a frôlé la catastrophe. La dalle a failli s’effondrer dans le parking de l’hôtel de ville. La municipalité a mis quatre ans pour réparer les dégâts.

L’île de Puteaux a été préservée des promoteurs. Seuls des équipements publics ont été autorisés. Ailleurs les îles ont été bétonnées. De splendides villas et des magnifiques immeubles occupent le terrain.
Toutes ces constructions à très haut prix dépassent les plus hauts labels officiels tels HQEr c
Ces îles ont fait ailleurs l’objet de ZAC municipales avec promoteurs du cac quarante,

Rien de cela à Puteaux. L’ancien Maire, a fait de l’île une magnifique promenade champêtre. A l’écart des voitures.
La logique d’une localisation de Puteaux en neige dans l’île aurait du s’imposer des le début.

En instituant une autorisation de passage appelée Puteaux pass, à se procurer dans les locaux municipaux, la mairie a elle-même fait effondrer, encore un effondrement, l’engouement dont avait initialement bénéficié Puteaux en neige.

Quel est le but de cette autorisation de passage en forme de titre de séjour avec photographie et contrôle préalable ?
Ce document administratif réservé à Puteaux prend la dimension d’une interdiction de séjour, pour les adversaires identifiés de la municipalité. Pour eux ce temps rappelle le temps de la prohibition aux Etats-Unis. Ce temps a fini par s’effacer sous la pression de la population. Il a duré quatre ans.
Quant aux bénéficiaires dûment autorisés, ils sont encartés à la manière d’une base de données de clientèle.
On peut imaginer que la liste pourra servir pour l’extension de la distribution des cadeaux, contraire aux interdictions du compte de campagne.
Ce clientélisme forcené et discriminatoire contredit les libertés fondamentales.
La Voix

lundi, décembre 24, 2007

Noêl symbole de paix, océan d'espérance.
Message d'universalité.
Fête de l'avenir.


Joyeux Noël
à tous
.
bonne année à chacun
.
Une pensée affectueuse et active pour les plus
démunis.
.
Un sentiment de courage et d'espoir pour les malades.
.
.
Charles Ceccaldi-Raynaud

Soyons justes


Toutes ces erreurs grossières dans la distribution des jouets, venant s’ajouter à une série de décisions contraires au bon sens, ne peuvent être imputées ni à une petite employé ni à une grande, comme croit pouvoir l'écrire un sympathique anonyme.
A la mairie, il n’y a qu’un seul responsable le Maire. Si il ne sait pas surveiller l’application de ses ordres il n’est pas digne de commander.
En ce qui concerne le cheval à bascule, c’est bien madame le Maire en personne qui l’a choisi, c’est bien elle qui s’est trompée de destinataire, et qui a provoqué la grande pagaille.
Le clientélisme atteint à Puteaux une telle ampleur, sans précèdent nulle part ailleurs, que le personnel est déboussolé et ne peut plus suivre les ordres qui précédent les contre ordres, venus d'un esprit agité.

La Voix

samedi, décembre 22, 2007

EN PLEIN CENTRE VILLE
UN IMMEUBLE INSALUBRE COMME TANT D'AUTRES
DEPUIS QUATRE ANS TOUT SE DEGRADE

vendredi, décembre 21, 2007


Nanterre ville pauvre et ville illuminée
Moins cher
Plus beau
Pas de cirque

conseil municipal baclé,

aprés vérification et application de la division euclidienne, le résultat est de 1 minute 38 secondes par question.
Avec 1 minutes 38 secondes par question, le conseil municipal n'est plus qu'une honteuse fiction.

La Voix

La difference

A la suite de la panne d'électricité, le président de l'office est venu à verdun dans la nuit. La Mairesse est restée au chaud dans son bureau ou chez elle.
Merci au plumitif, dont l'intervention indigeste, aura permis de vérifier, que la Mairesse est du genre fragile.

La Voix

jeudi, décembre 20, 2007

LES CADEAUX DE NOEL OFFERTS AUX ENFANTS DES MATERNELLES
PAR LA VILLE NE REPONDAIENT PAS AUX NORMES
GRANDE PAGAILLE DANS LES ECOLES



A l’occasion de Noël, des cadeaux sont attribués aux enfants des maternelles par la Mairie, c’est-à-dire par les impôts.

Cette année, les cadeaux choisis par Madame le Maire, dont le mauvais goût est bien connu, n’étaient pas adaptés à l’âge des enfants. A titre d’exemple, un cheval à bascule a été offert aux parents d’un enfant de quatre ans au lieu de deux ans.

Quand les parents se sont aperçus de ces dysfonctionnements désagréables, ils ont demandé des explications.

Madame le Maire a décidé de récupérer les jouets inadaptés pour en acheter d’autres, notamment des voitures télécommandées. Une nouvelle dépense, quelle joie pour elle! Cet incident confirme que Madame le Maire ne s’y connaît pas plus en enfants qu’en personnes âgées. Elle fait payer la Ville, mais elle n’a d’amour pour personne.

Comme toujours, ce qui l’intéresse, c’est l’apparence. Les paillettes, c’est sa spécialité. Le clientélisme, c’est son crédo.

Le compte de campagne est concerné par ces péripéties à double cadeaux, locaux municipaux, fonctionnaires de la Ville. L’invalidation se prépare.

Quand on ne sait pas administrer la relation avec l’école, on n’affiche pas la prétention de diriger la ville.




La Voix

Panne d’électricité
Hier soir dans le quartier Verdun
Le président de l’office sur les lieux.



Dans tout le quartier Verdun et une partie de Suresne, une longue panne d’électricité a privé les habitants de lumière et de chauffage.
Le Président de l’office d’HLM s’est rendu dans la cité HLM de Verdun dans la nuit. Le conseiller Général a visité tout le quartier. Il a parlé avec la population et avec les autorités.
Les services d’EDF, les pompiers, la police, les secouristes, ont déployés tout leurs efforts pour porter secours aux malades et rétablir au plus vite la normalité de la situation.
Le Conseiller Général est partout chez lui dans le canton.
La Voix

Démocratie à la mode
De madame le maire
Conseil municipal du 13 décembre 2007.
Une minute trente huit secondes par question.




Le conseil a duré deux heures trente. L’appel des présents et les questions posées par l’opposition ont pris plus de vingt minutes. Il reste 130 minutes.
L’ordre du jour comporte 79 questions. Je ne compte pas le temps utilisé par les adjoints pour lire comme des répétiteurs le texte d’introduction rédigé par l’administration.
Aux mieux 130 minutes pour 79 questions, soit une minute 38 secondes par question.
Où est le temps du débat?
La Mairesse a aménagé le déroulement du conseil municipal de telle façon, que le temps n’existe plus, ni pour l’exposé du problème traité, ni pour le débat.
La population accepte t’elle cette absence de démocratie ? Tolérera t’elle que continue cette dictature ? Veut elle que les réceptions se poursuivent en période électorale en dépit de la loi sur les comptes de campagne?
Quelqu’un qui est capable de telles manœuvres, est capable de tout.
L’union s’impose comme un devoir civique.
La Voix

NON AUX ZAC
Non à la ZAC devant la Mairie.

La ville n’a pas de trottoirs même dans les rues principales. C’était le cas du Boulevard Richard Wallace et de la rue Jean Jaurès.
Les trottoirs ont été acquis sur les voitures.
Le long de la médiathèque le trottoir mérite d’être élargi. Le tournant rue Montaigne ne répond pas aux normes de la circulation urbaine.
La logique c’est d’aller jusqu’à la rue Anatole France.
Mais il serait dommage de détruire l’ancienne caserne de gendarmerie.
Cependant, il a été démoli des immeubles plus important au nom de la beauté de la ville.
C’est le carrefour qui est dangereux. Il est à l’angle de la rue Anatole France et de la rue de la République. C’est là qu’il faut détourner la circulation, et non créer une ZAC de plus.Sur tout ces sujets il faut une vaste consultation de la population.

Deux Zac aux Bergères, une ZAC au théâtre, une ZAC cœur Défense dans le quartier Caron, une ZAC le long de la médiathèque, une ZAC quartier Pressenssé EDF.Que signifie cette frénésie de ZAC à promoteurs ?

Après les symptômes de la jalousie, de la dépense, du luxe, de l’autorité, voici le symptôme de la ZAC.


La Voix

mercredi, décembre 19, 2007

Un soutien nuisible,


un plumitif de madame le Maire cite une phrase de Jacques Chirac
:" à l'avenir tout hommes politiques qui n'aura pas de site internet sera ringard"
Le plumitif s'est il rendu compte que cette apréciation s'applique à madame le Maire?

Les locataires propriétaires
Un locataire qui remplit, les conditions H.L.M quand il obtient un logement social, peut placer ses économies comme il veut.
On a connu un adjoint aujourd’hui décédé qui habitait en HLM alors qu’il possédait déjà au moment de l’attribution un logement rue Eichenberger, suffisant pour lui-même et sa famille .
D’autres élus sont dans le même cas.
Madame le Maire elle même a habité un logement social appartenant à une société d'HLM avant de pouvoir s'offrir une des plus belles villas de Puteaux.
La Voix

NON AUX ZAC
ZAC ZONE D’AMENAGEMENT CONCERTE
VALPAR – IMMO PRESSENSE

La Ville capitule devant le promoteur et décide sans débat.
La population ignore tout.
Encore une ZAC encore un promoteur



Dans le processus d’élaboration d’un Plan Local d’Urbanisme (PLU) entrepris en 2002, en application de la loi, le Maire de l’époque a évoqué avec E.D.F, les prémisses d’un plan d’aménagement et de développement durable, en vue d’un grand débat avec la population.

L’édification d’un nouveau quartier, le long du fleuve et face à Paris, à la limite de Suresnes, est une idée dont l’ancien Maire voulait fixer les objectifs avec la population.

Les terrains situés dans un espace appelé « Pressensé » sont classés en zone industrielle. Une modification partielle du P.O.S suffit à rendre ces terrains constructibles, mais il faut les acquérir avant.

Depuis quatre ans le P.L.U. demeure en panne. Cependant après des discussions avec E.D.F, Madame le Maire a engagé des négociations avec Bouygues, puis avec un autre promoteur, nommé « VALPAR-IMMO » en vue de la création d’une ZAC et de l’élaboration d’une convention d’aménagement définitive.

L’aménageur va pouvoir construire des logements privés à prix élevé, et des villas à un prix supérieur.

Par un semblant de contrepartie l’aménageur cèdera les terrains nécessaires à la réalisation d’un équipement scolaire de 2 500m² pour 1 500 000,00 €uros payés par la Commune.

Il ne participera que pour 1 676 939 €uros à la construction des équipements publics et pour 1 056 250,00 €uros à la réalisation d’un square public, surtout utile pour valoriser ses constructions.

Ces cessions en paiement sont interdites par la loi.

La Ville renonce au versement pour dépassement du plafond légal de densité. Elle renonce aussi paiement de la taxe locale d’équipements.

Le projet de convention assure la sécurité du promoteur.

La Commune renonce au pouvoir de résiliation. Elle pourra effectuer un rachat mais après versement d’une indemnité, qui n’est pas fixée, et qui dépendra de la volonté de l’aménageur.

Les bureaux voulus par E.D.F sont déjà construits. La démolition de la halle industrielle, qui faisait figure de symbole de l’ère industrielle a été détruite, au lieu d’être réhabilitée. c'est une atteinte grave à l'environement et un défit à l'Histoire.

. L’enquête publique a suscité l’intérêt habituel pour cette mascarade. Le registre d’enquête fait état de deux commentaires.
Les opposants de toutes opinions doivent refuser ce coup de force voté par le conseil municipal en 79 questions fugitives, moyenne par question, 1minute et 65 secondes.
Ils doivent tous exiger l’appel à la concurrence.
Ils doivent tous appeler la population à la vigilance, face aux élucubrations des névrosés.
La Voix

L’hallali
Un résident des Rosiers m’a donné son accord écrit et définitif pour figurer sur une liste de candidats aux municipales que je pourrais conduire ou soutenir.
Ce monsieur découvre soudain, par lettre du 14 décembre, que sa présence sur cette liste va le conduire à s’opposer à madame Joëlle Ceccaldi qui l’a fait bénéficier de ses bienveillances.
Plusieurs personne sont tiraillées par la mairie entre promesses fallacieuses et menaces permanentes.
Certains oublient que la Mairesse est sur un siège éjectable.
Ses méthodes dégoûtent.
Tous ceux à qui elle a fait du mal, doivent être les premiers à sonner l’hallali.
La Voix

NON AUX ZAC
UNE SIMPLE COMMUNICATION TARDIVE

POUR LE PROJET DE DEVELOPPEMENT DURABLE
AUCUNE CONCERTATION PREVUE POUR L’INSTANT
LA ZAC DEVIENT UNE ZONE D’AMENAGEMENT « CONCERNEE »




Le projet arrive tardivement. Résultat la seule élaboration du cadre qui doit permettre de commencer la mise en œuvre du programme durera dix ans, alors que la Ville fait appel à un prestataire.

Madame le Maire n’est pas capable d’élaborer un simple agenda.

Le développement durable représente une priorité essentielle. Pourquoi avoir perdu quatre ans ? Ce retard est coupable.

La concertation avec la population a été aussi limitée, que pour les changements de P.O.S. et pour les enquêtes publiques.

La population doit en savoir le moins possible. Les prétendues enquêtes relèvent de la mascarade.
Ce système de gestion dans l’ombre doit cesser.
Ce que la Mairie appelle une nouvelle zone d’aménagement « concernée » au lieu de concertée constitue le lapsus révélateur de la volonté maladive de cacher.





La Voix.

mardi, décembre 18, 2007

NOUVELLE SOTTISE DANS L’AMENAGEMENT DU SQUARE OFFENBACH

ENCORE UN AVENANT !








Le marché s’élève à 1 439 938,02 €uros. L’aménagement sera terminé le 8 février 2008, à la veille des élections municipales.

Lors de la rédaction du marché un poste a été oublié dans le bordereau de prix en ce qui concerne la pose de pavés autobloquants posés sur sable.

Un manque d’attention lié à des névroses psychiques provoque la nécessité d’un avenant, qui augmentera le prix de 20,76%. Un rien. Excusez du peu !

L’incompétence de Madame le Maire, la conduit a qualifié de plus value ce surcoût de la maîtrise d’œuvre dû à son inattention coupable et dangereuse.

NON AUX ZAC
VIENDRAIT S’AJOUTER à TOUTES LES AUTRES
LA FUTURE ZAC CŒUR DEFENSE

DANS LE QUARTIER DIT CARON






Le quartier dit « Caron » est situé entre la rue de la République et le Collège « Maréchal Leclerc ».

Madame le Maire veut le livrer aux promoteurs.

L’ancien Maire l’a fait entouré d’une promenade de la rue de la République à la rue de la République.

A l’intérieur de cette promenade circulaire, se trouve le quartier Caron, dans lequel madame le Maire veut créer une ZAC de plus.

La population n’est évidemment pas consultée. Il faut empêcher de vendre ce magnifique espace à un promoteur.

Il appartient à la Ville de l’acquérir

La Voix

Non aux ZAC
ZAC DU THEATRE
UNE DE PLUS





L’ancien Maire a fait acquérir, à l’amiable, l’ensemble des terrains, qui doivent former la trouée verte.

Madame le Maire envisage aussitôt de livrer l’espace, à partir de la rue Mare et Roty aux promoteurs. Dans le cadre d’une zone d’aménagement concerté.

Un grand Parking souterrain oui.

Ce qui mérite d’être réalisé au-dessus dépend de la population.

Mais Madame le Maire veut décider seule à la place de la population, à la faveur d’une ZAC supplémentaire


La Voix

lundi, décembre 17, 2007

Le club des ignorants

Un des plumitifs se risque. Pourquoi le président de l’office a-t-il mis 92 logements à la disposition du préfet ?
Pour chaque résidence nouvelle, le préfet à droit, selon la loi, à 30% des logements construits. Chaque année en vertu d’un accord départemental, l’office HLM de Puteaux doit mettre à la disposition du préfet 31 logements par an pour les plus démunis. Pour tout le monde en trois ans, ça fait 93 logements.
Que le plumitif l’ignore soit. Que la Mairesse ne le sache pas ,révèle les profondes lacunes de sa formation incomplète.
La Voix

La subvention annuelle de la ville à l’office réduite de moitié
Ce n’est pas le président qui est sanctionné ; ce sont les locataires



Avec la force de ma lettre de 2006 et la puissance du simple bon sens,
j'affirme, que la Mairesse a ramené la subvention annuelle de la ville à l’office de 8 à 4 millions d’euros.
A quel imbécile pourrait on faire croire, que le bénéficiaire d’une subvention de la ville aussi nécessaire sur le plan social, puisse souhaiter qu’elle soit réduite de moitié?
La Mairesse est prise au piège. Elle ne peut en sortir.
Elle a prévu un crédit de 5,7 millions d’euros en 2007, pour les fêtes ,les cérémonies et les réceptions fastueuses.
Pour les pauvres locataires HLM, 4 millions c’est, selon elle, plus que suffisant.
Cette honte pèserait sur sa conscience, si elle en avait une.
Unissez vous, pour élire un Maire, quel qu’il soit, qui verse les 10 millions d’euros par an, dont les locataires de l’office ont , aujourd’hui ,un besoin urgent

La Voix

Réponse à un sympathique anonyme,

Pourquoi n’ai-je pas assisté au conseil municipal du 13 décembre ?
Je n’étais d’accord sur rien.
En conséquence, j’ai écrit une lettre, au nom de madame Berro et de moi même, pour annoncer que nous votions contre toutes les questions inscrites à l’ordre du jour. Avec une scandaleuse mauvaise foi il n’a pas été donné lecture de cette lettre.
A la faveur d’une avalanche de questions la Mairesse s’était préparée à mettre l’opposition dans l’impossibilité de s’opposer, compte tenu du peu de temps, qui lui est imparti avant d’être interrompue.
La Mairesse a transformé le conseil municipal en chambre d’enregistrement. Parfois elle comprend mal intellectuellement l’objection qui lui est faite ? Il n’y a pas de place pour le dialogue.
Au nom de la population qui m’a élue à 75% j’irai, quand il le faudra, rappeler les trahisons, et confirmer la rupture.
En attendant le temps de l’ouverture de la campagne, j’exprimerais l’indignation générale de la population, candidat ou non, sur mon blog dans les rues et partout.
Vous dites qu’il y avait une possibilité entre madame Jeanne et moi de faire une véritable opposition à la Mairesse. C’est mon vœu.
En ce qui concerne un des moments comiques du conseil, je n’aurais pas eu le temps d’expliquer à madame Jeanne, surprise par la rafale des questions, qu’un piège lui était tendu.
Elle n’a pas eu le temps de voir qu’elle a voté une trahison qui sera exploitée.
Maintenant elle sait pour qu’elle raison subalterne l’intéressé à accompli ce revirement soudain, dont il est coutumier. Il a l’habitude de passer d’un camp à un autre et vice versa.
Dans le cas évoqué, il n’a pas obtenu, pour une de ses relations ,le logement HLM qu’il avait demandé et qu’il allait avoir.
Au même moment son frère et sa sœur faisaient la même demande l’un pour un ami l’autre pour son fils.
On peut mesurer la dose d’idéologie qui guide la vie de ce monsieur, toujours en proie à une palinodie nouvelle, destinée à le sortir de l’obscurité pour un court moment.
Ce nouveau retournement doit produire l’effet contraire de celui qu’en attend sans honte la mairie.
Il faut rassembler toutes les forces vives de la population pour bouter l’intruse hors de la mairie.
Le rassemblement par temps de crise n’exige ni reniement ni ralliement.
Jaurès a déclaré « qu’il faut avec une perpétuelle impossibilité de se confondre, une nécessité perpétuelle de s’unir »
La victoire collective est à ce prix, le temps des nécessités historique.
Charles Ceccaldi-Raynaud

dimanche, décembre 16, 2007

MODIFICATION DE L’ENTREE OUEST DE LA DEFENSE
L’INTERVENTION DE L’EPAD PEUT PERMETTRE UN TUNNEL
AU NIVEAU DU ROND POINT

Le commissaire enquêteur dénonce l’ignorance dans laquelle
la Ville maintient la population


Il écrit « il m’apparaît que la Ville de Puteaux devrait annoncer à ses administrés le contenu réel du projet et les échéances afin que ceux-ci puissent prendre des dispositions concernant leur logement actuel et se préparer à un éventuel départ ».

Il faut rendre à César ce qui est à César. Madame Nadine Jeanne avait demandé en 2001 un tunnel sous le rond point et, semble-t-il, un prolongement sous l’avenue Charles de Gaulle.

A l’époque, l’EPAD, exsangue, avait renié sa signature en refusant de réaliser ce que l’on appelait la ZAC Nord et que l’on appelle aujourd’hui le Quartier Nord.

Cet aménagement est déficitaire sauf surconcentration.

Or, cet aménagement qui concerne le Cours Valmy, proche des habitations du Chemin Vert et de Berthelot prévoit deux fronts bâtis linéaires générateurs d’une surconcentration dangereuse.

La Ville s’est contentée à ce sujet d’une enquête publique sans concertation véritable avec la population.

Bien entendu, comme d’habitude, personne n’a porté d’observation sur le registre faute d’information. La population est mise encore une fois devant le fait accompli.

Mais le rapport du Commissaire Enquêteur qui porte sur la ZAC Sud est sévère pour la Ville.
Il dit que la population ignore le contenu réel du projet. Elle doit se préparer à un éventuel départ.

Non ! : La Population doit rester. La Population doit décider..

Le symptôme d’autoritarisme de Madame Le Maire ne doit plus s’appliquer. A la population, toutes tendances confondues, d’y mettre fin.

La Voix







L’ESPLANADE DE L’HOTEL DE VILLE
Ebranlée par la première manifestation de Puteaux en neige

Une bêtise qui va coûter cher et qui aurait pu provoquer les plus grands malheurs


La première manifestation de Puteaux en neige a été organisée sur l’esplanade de l’Hôtel de Ville, par Joëlle Ceccaldi en sa qualité, à l’époque, de Premier Maire Adjoint.

En raison de son incompétence, elle n’a pris aucune mesure pour connaître la résistance de la dalle.

Lorsque le Maire de l’époque a voulu réaliser une fontaine sèche, telle qu’elle existe à Albi, les organismes de sécurité ont fait arrêter les travaux. Il y avait un risque imminent d’effondrement de la dalle.

La manifestation de Puteaux en neige a mis en danger la vie des enfants.

Informée du risque qu’elle avait pris par ignorance, elle a transféré Puteaux en Neige dans l’île sur la terre ferme.

Aujourd’hui, Madame Ceccaldi veut reprendre le projet de fontaine sèche au bas de l’esplanade. Il a fallu résilier le marché de maîtrise d’œuvre le 25 mai 2007, de même que le marché de travaux.
Elle a soumis un protocole transactionnel avec l’entreprise à la délibération du Conseil Municipal du 13 mars 2007. Il est écrit dans le dossier que la résiliation du marché de travaux vaut 90 000 euros.
Mais comme d’habitude, elle a capitulé. La transaction soumise au Conseil prévoit une indemnité de 612 943,51 euros.

Ces indemnités, plus celle dûe à l’architecte dont le montant reste caché, s’ajouteront au prix de la fontaine soit 827 943,51 euros. Dont au total 827 943,51 plus 612 943,51 soit 1 44O 887, 02 euros.

Il y aura deux jets d’eau face à face sur l’esplanade : celui que l’ancien maire a fait construire face à l’entrée de la mairie et cette fontaine sèche dont on peut se demander si elle n’est pas frappée de malheur.

En tout cas, il a fallu quatre ans pour consolider la dalle. S’il n’y a pas eu de morts, ce n’est pas grâce à Madame Ceccaldi dont l’incompétence devient dangereuse.Il faut se méfier de ses initiatives irrégulières.


La Voix




UN SECOURS SUR COMMANDE



L’ordre du jour du Centre d’Action sociale prévoit un secours de 360 euros pour le chauffeur de Madame Le Maire.

Comment ?

Avec la fortune que Madame Ceccaldi reçoit tous les mois pour ses rémunérations, ne pouvait-elle pas lui verser un pourboire de sa poche ?

vendredi, décembre 14, 2007

UNE NOUVELLE PALINODIE DE SYDNEY GHENASSIA

SYDNEY GHENASSIA SYNONYME DE SCOUMOUNE

L’intéressé a débuté sa carrière comme conseiller municipal dans la municipalité Dardel. Il était alors SFIO.

Après l’élection de Charles Ceccaldi début 69, il a suivi le maire dans son changement d'organisation. Au renouvellement, il a demandé un poste d’adjoint. Puis il a été candidat contre le maire au conseil général. Il s’est maintenu au second tour. Il a été battu avec un score minable de moins de 7,5 % environ.

Au renouvellement du conseil municipal, il fait retour dans l’équipe du maire Charles Ceccaldi Raynaud mais lors de l’élection pour le conseil général, il est de nouveau candidat aux deux tours et de nouveau battu avec le même score moins de 7 %. Il a un problème avec la location d’une villa appartenant à la ville, rue Benoît Malon. Il démissionne du parti socialiste. Il adhère à un parti social démocrate qui disparaîtra rapidement.

Lors des dernières municipales, le voilà tête de liste socialiste. Dès la première séance du conseil municipal, il se présente au poste de maire, mais plus de la moitié des nouveaux élus socialistes, cinq en tout, ne votent pas pour lui. Il refuse de marier la fille d’un de ses collègues élu sur sa liste. C’est le maire R.P.R. qui le fera.

Aujourd’hui que veut-il ?

Il demande un logement pour une famille avec laquelle il a des relations. Il s’agit de Monsieur Araujo Da Cruz.
Dans le même moment son frère demande un logement pour un parent mais se retire devant son frère.
Sa sœur demande un logement pour sa fille mais elle ne se retire pas. Elle estime qu’elle est prioritaire sur son frère.

Lors de la réunion de la commission du logement du 6 décembre dominée par Joëlle Ceccaldi, la candidature de ce Monsieur est rejetée. Aussitôt, Monsieur Ghenassia se rallie au maire sortant, qui relogera Monsieur Araujo Da Cruz si elle est élue.

Sydney Ghenassia ressemble beaucoup à Madame Ceccaldi.

Son parcours relève de la palinodie. Son amour de lui-même est immense.
Ce ralliement négocié témoigne du désarroi de Madame Le Maire.
Quelle belle acquisition.

Chaque fois qu’il a été candidat, soit à titre individuel, soit comme tête de liste, Monsieur Ghenassia a été battu à plates coutures, candidat quatre fois, quatre fois battu. Il porte la scoumoune, c'est-à-dire la malchance.
C’est un facteur supplémentaire pour la défaite programmée de Madame ceccaldi.

Ce n’est pas de l’ouverture, c’est de l’aventure, de la fermeture, de la désinvolture.


Charles Ceccaldi Raynaud

jeudi, décembre 13, 2007

REDUCTION DES SUBVENTIONS DE LA VILLE A L’OFFICE :


LA VERITE AU MILIEU DES MENSONGES CLINIQUES DE MADAME LE MAIRE



Début 2004, alors que Madame Franchi-Ceccaldi n’est que Première Adjointe, par la volonté de son père, la subvention de la ville à l’Office s’élève à 8.057.497 euros.

En vue des besoins budgétaires de 2006, l’Office, par lettre du 19 décembre 2005 de son Président, demande 7.300.000 euros à la ville.

Les observations des organismes de contrôle sont antérieures à la lettre précitée qui tient donc compte de ces remarques en demandant une subvention moins importante.

Cette subvention était nécessaire pour la mise en conformité des installations électriques anciennes, pour la révision des ascenseurs souvent en panne, les travaux intérieurs dans les logements remis en location, la réfection des parties communes, la sécurisation des accès et les réhabilitations des façades.

Madame Le Maire s’est abritée derrière les observations de la Mission d’Inspection et de la Chambre des Comptes, pour imposer une nouvelle lettre ramenant le besoin à 4.300.000 euros. C’était ça ou rien.

La mission et la chambre avaient fait observer que la subvention était forte mais qu’elle était nécessaire en raison de l’ancienneté du patrimoine.

En 2007, la subvention accordée ne dépassera pas 4 millions d’euros sans aucun échange de lettre alors que Madame Le Maire sait très bien que le besoin réel s’élève à plus de 10 millions d’euros par an
A la présentation erronée des faits par Madame Le Maire, l’Office oppose deux écrits.

Pour la première fois, ce ne sont plus les quatre médiocres plumitifs sélectionnés en Mairie qui ripostent, Madame Le Maire elle-même signe la lettre une fois celle-ci écrite selon ses instructions rageuses. Ni amour ni respect pour celui qui l’a mise en place.

Madame Le Maire voudrait faire croire que le bénéficiaire de la subvention pourrait avoir la fantaisie de souhaiter qu’elle soit réduite de moitié.

Elle se permet de traiter son père et ses adversaires de menteurs habituels.

Mais comment ?

Toute sa vie, même conjugale, n’a été que mensonge.
Toute sa gestion repose sur un immense mensonge clientéliste.
Chez elle le mensonge prend la dimension d’un signe clinique.

Charles Ceccaldi-Raynaud

dimanche, décembre 09, 2007

Recette exceptionnelle




La ville dispose à Boieldieu d’un local de 352 m².
Elle a décidé de le vendre à un habitant de Boieldieu, 492 000 euros pour installer un centre de kinésithérapie et d’hydrothérapie.
Pourquoi la ville veut elle vendre au lieu de louer, comme c’est le cas pour le 8 à 8 ?
Le rapport écrit que cette cession amiable constitue une "recette exceptionnelle "pour le budget de l’exercice en cours.
Pour l’exercice 2007 le budget primitif global a prévu 248 millions d’euros de recette,hors délibération nouvelle et hors budget suplémentaire.
En quoi la recette précitée peut elle être exeptionelle ? Une ville ne doit pas brader son patrimoine.





La Voix

samedi, décembre 08, 2007

La population a le droit de savoir.
Pourquoi cette pluie de procès ?


Elle a le droit de comparer l’évaluation initiale du coût de la piscine et le décompte définitif avec l’assainissement et l’aménagement des abords
Elle a le droit de comparer l’évaluation initiale de la médiathèque et le décompte définitif, avec l’avenant irrégulier passé dans le dos de l’ancien Maire. Cet avenant a pour résultat d’accentuer le contraste entre l’hôtel de ville et ce bâtiment, et de faire apparaître des forets de tirants, qui enlaidissent la façade.
La population a le droit de savoir quels sont les motifs de la montagne de procès engagés par la ville. Pourquoi choisir des avocats à honoraires élevés pour finalement perdre les procès ?
Aucune des questions à l’ordre du jour n’expliquent le motif des contentieux.
Pour la seule réunion du 13 décembre l’ordre du jour compte 16 questions concernant le versement d’honoraires à des avocats et à des huissiers. Procès à tout va. Une autre manifestation névrotique, la maladie du procès.

La Voix

Dépenses de fetes et cérémonies
Compte administratif 2006 page 33
7.226.151,60 euros




Plus de 7 millions d’euros pour les fêtes et cérémonies. C’est un cas unique dans le pays. Encore ce chiffre ne représente t'il pas toutes les dépenses pour la ville en fête perpétuelle. Il faudrait ajouter les cadeaux, enfouis dans le cagibi attenant au grand bureau. Chaque visiteur sort avec les deux bras chargés, mais pas avec ce qu’il est venu demander.
Il faut ajouter les repas quotidiens dans sa grande salle à manger et toutes les réceptions en régie. Ce sont des réceptions préparées par la cuisine municipale. Les achats ne figurent pas dans la catégorie des réceptions, mais sont mélangés aux acquisitions de victuailles pour le restaurant du personnel, les repas des cantines scolaires et des crèches.
Les illuminations de Noël représentent une dépense supérieure à celle de l’an dernier, ce qui est interdit par la loi en période électorale. Sont elles belles ? Oui mais inappropriées à la période de Noël, de plus certains quartiers sont ignorés. Le coût est de 1.907.776 euros. Supposons que la mairie dépense un million de plus. Seront-elles encore plus belles ? C’est une question d’argent, mais pas seulement. Le cirque n’est qu’un manque de goût venu de vieilles névroses de la boursouflure du moi, et de la folie de dépense.
Charles Ceccaldi-Raynaud

dimanche, décembre 02, 2007

Délires pathologiques

Un petit employé de la RATP, se présentait faussement comme représentatif de l’immeuble où il habite. La réalité a vite montré, que personne ne se faisait d’illusion sur son imaginaire névrotique.
A l’approche des échéances, comme il a été inutile, il se demande s’il sera reconduit sur la liste de sa chef.
Pourtant il possède en commun avec elle, un capital de nullité complémentaire et de méchanceté autoritaire.
Pour se faire remarquer de sa chef qui le regarde moins, il a diffusé ,avec son accord necessaire, un pamphlet obscène, bâti sur l’injure ordurière, parsemé de fantaisies grammaticales, comme un défi à l’écriture.

Madame le Maire sent se lever le vent nouveau de l’agonie municipale. Elle réunit contre elle toutes les oppositions et une large fraction de la majorité.
L’investiture elle l’a fait payer par la ville. Mais quand la morosité commence, comme toujours, à s’étendre sur le pays, l’investiture n’est plus un atout. Elle est un handicap. Qu’a fait madame le Maire de concret depuis son arrivée accidentelle aux commandes municipales ?
La médiathèque, je l’ai imaginée à l’endroit où elle se trouve, après cinq ans consacrés à l’acquisition amiable des terrains et des taudis face à l’entrée de la Mairie. L’avenant irrégulier, que Joëlle Franchi Ceccaldi a fait voter, lorsque j’étais hospitalisé, entraîne un surcoût de plus de huit millions d’euros. Le résultat est un enlaidissement. La nouvelle façade principale, laisse apparaître une foret de tirants formés de nombreux tuyaux.
Il en est de même pour le Palais des sports, auquel j’ai imprimé la noblesse d’un Temple antique que j’ai dessiné. Plus deux millions d’euros de surcoût avec l’assainissement.


Son œuvre n’est que la traduction pathologique de son délire de dépenser. Elle veut dépenser. Dépenser encore. Dépenser toujours. Réceptions sur réceptions, cadeaux sur cadeaux, séjours sur séjours, voyages sur voyages, illuminations sur illuminations, pots sur pot, et finalement la paix de noël est représentée par un cirque immobile, qui rappelle le cirque agité de la mairie. L’hôtel de la Clusaz que j’ai acquis en 69 et dirigé par Pierri pendant une génération, constitue un des instruments de son clientélisme.
Elle a profité de l’amour d’un père. À sa demande, pour libérer éventuellement le chemin, le temps qu’elle essaye de se former, il a fallu écarter du conseil municipal mesdames et messieurs Bertomier, Canceloni, Koubi, Hotefeux, Benetti et moi-même, à proximité de mon opération chirurgicale réussie.
Ses troubles psychiques, alimentés par un excès de jalousie furieuse se sont manifestés dés l’enfance. Ces troubles ont connu l’amplitude sans limite qu’apportent le Pouvoir et l’Argent aux esprits fragiles. Elle tient deux discours. A ceux qui m'aiment elle dit qu'elle m'aime. A ceux qui ne m'aiment pas elle dit qu'elle me hait.
Elle est le plus mauvais Maire que Puteaux ait eu à subir jusqu’en 1912. J’ai le devoir de m’associer au rétablissement de la démocratie, et à la relance du renouveau à l'abandon. Tout n’est pas dit. Quelque soit le verdict des urnes,quelque soit l’effet du clientélisme, elle va perdre. Elle perd. Elle a perdu.

Charles Ceccaldi-Raynaud

samedi, décembre 01, 2007

Serge Michel n’est plus.
Il était Michel. Tout le monde l’appelait familièrement. Il aimait tout le monde et d’abord les déshérités. Il chantait une chanson qu’il avait composée et que son fils a chanté devant le cercueil : la la la.
Il avait été administrateur de l’office HLM.
Il avait tout fait pour loger les plus mal logés.
A sa famille Martine Mallardes, Jean Alain Michèle et Claire Doubliez, Evelyne et Olivier Longueval ainsi qu’à ses petits enfants,Charles Ceccaldi-Raynaud, présent aux obsèques, adresse ses condoléances attristées et affectueuses.
Il habitait Lorilleux. La grande cité retenait sa vigilance. Il était le Maire de Lorilleux.
Il avait l’esprit de famille. Il aimait avec force ses enfants et ses petits enfants, qui le considéraient comme le patriarche.
Il a bénéficiait de l’amour des siens jusqu’à son dernier souffle.
Charles Ceccaldi-Raynaud