samedi, septembre 29, 2007

Réponse à Jean Marc
Merci de vous réjouir du rétablissement de ma santé. Je ne trouve pas les mêmes sentiments chez tous les membres de ma famille.
Le mandat de conseiller général se terminera non pas en 2008, mais en 2010.
Bien évidement, si je suis encore en vie, je ne me représenterai pas.
Je soutiendrai une candidature, mais personne de l’entourage désastreux du Maire actuel.
Les investitures n’ont plus aucune importance de nos jours. Une personnalité, porteuse de titres universitaires importants vient d’être désignée pour devenir le Maire de Neuilly en 2008. Il le sera pour la députation dans la circonscription de Neuilly Puteaux à la prochaine échéance.
Aux putéoliens de savoir s’unir pour mettre un terme à l’impasse en cours.


Charles Ceccaldi-Raynaud

dimanche, septembre 23, 2007

anonyme a dit: " arx Tarpeia Capitoli proxima"
réponse: le latin vous donne apparement raison. Quand on occupe le Capitole, c'est la roche qui est proche et non l'inverse

anonyme, a dit :" le grand Israël n'existera jamais, et la capitale est Tel Aviv.
réponse:
Le grand Israël, avec le Golan, la moitié de la Cijordanie et Jerusalem est, existe déja. La géographie évolue avec la politique. La Knesset et le gouvernement siègent à Jérusalem.

samedi, septembre 22, 2007

Vive le Kippour





Avec un homme de grande qualité, mon ami feu Attal, voici 38 ans, j’ai mis un bâtiment communal à la disposition des fidèles pour tous les jours et principalement pour le jour du Kippour.
Après quelques années, j’ai fait construire une synagogue belle et grande. Par rapport à la laïcité, je suis en avance d’une loi.
Depuis 38 ans, je fête Kippour à Neuilly et à Puteaux.
Aujourd’hui c’est le grand pardon. Je suis invité à Neuilly pas à Puteaux. A la demande de ma fille, monsieur Boumendil a stoppé l’invitation.
C’est triste pour moi. C’est odieux pour eux.
En ce jour de pardon et de fraternité mêlé de souffrance, je souhaite le bonheur pour tous les juifs du monde et la paix pour le grand Israël, capitale Jérusalem.



Charles Ceccaldi-Raynaud

samedi, septembre 15, 2007

Questions ?

Averti des le lendemain de la promenade en car, par une fonctionnaire membre de l’UMP, qui a participé au voyage au mémorial de Caen, la section UMP de Puteaux produit une facture avec mention d’un chèque.

Pourquoi la section UMP s’adresse t’elle pour ses déplacements en car à la société Chambon Gros liée à la ville par un marché public ?

Pourquoi la facture de Chambon Gros du 30/10/2006 porte t’elle la mention manuscrite d’un chèque du 26/10/2006, pour un voyage effectué le 28/10/2006 ?

Pourquoi la fonctionnaire municipale titulaire chargée du planing des déplacements en car au garage municipal a-t-elle fait l’objet d’une mutation hors du garage immédiatement après ce voyage ?

La section UMP peut elle produire des factures de la société Chambon Cros avec mention de chèque pour ses visites de l’Assemblée Nationale et de la place Beauvau ?

vendredi, septembre 14, 2007

Au revoir pas adieu



Nous apprenons que monsieur Brisset et madame Jeanne ne seront pas en tête de la liste socialiste aux municipales de 2008.
Monsieur Brisset a été conseiller municipal de Puteaux pendant très longtemps. Nous nous sommes affrontés à chaque conseil municipal pendant des années.
Ses interventions étaient écoutées par tous avec plaisir. Jamais un mot plus haut que l’autre. Toujours de la courtoisie. Toujours du bon sens.
Certes il défendait des idées ou des projets conformes à son idéal, auquel il a été fidèle pendant toute sa vie.
Professeur l’histoire, il a imaginé l’avenir à la lumière du passé.
Je lui souhaite une bonne retraite ou de conduire une opposition de retraité écouté, que la politique ne quitte jamais.
Madame Jeanne, très cultivée, a combattu pendant le mandat qui s’achève. Elle n’a jamais mis dans ses propos de l’excès encore moins de la colère, alors qu’elle rencontrait parfois la haine en face.
Elle fut peut être un peu conciliante, voire tempérée. Elle a parfois manqué de combativité. Elle était le professeur qui dit sa vérité.
Depuis quatre ans le conseil municipal ne comporte plus de débat. Il ne présente plus d’intérêt. Il dure. Il lasse. Les réponses portent la marque de l’agressivité, de celui qui ne sait pas.

Le départ ou le retrait en second rôle de ces personnalités appartenant à Puteaux de longue date et aimant la ville que j’ai modifiée constituent une absence regrettable, mais laissent un souvenir heureux dans le dévouement commun aux plus humbles.
Ils militaient gratuitement, ce n’est pas le cas de tout le monde.
Bienvenue à monsieur Stéphane Vazia dans l’arène politique combative de Puteaux. Chacun dans son camp. Lui dans le sien, moi dans le mien.
Charles Ceccaldi-Raynaud

jeudi, septembre 13, 2007

Quand on dépend du Maire, on n’est pas objectif.

Monsieur Lambilliote serait plutôt du genre sympathique. Il s’émeut facilement. Il a l’esprit de famille à la différence de madame le Maire. J'y reviendrai.
Le caractère ne relève pas de la vie privée, quand on exerce une fonction publique.
L’épouse et la fille de monsieur Lambliotte travaillent à la Mairie. Cette situation lui impose un devoir de réserve. L’éloge qu’il fait en permanence de madame le Maire demeure suspect et ne peut avoir aucun crédit.
Monsieur Lambliotte sait tout ce qui se passe à la mairie.
Peut il répondre à une question ?
Qui a payé le car pour le voyage de l’UMP local au mémorial de Caen ?
L’UMP ou la Ville ?
D’autres questions viendront.
On descend vite de son piédestal .Il y a peu de distance du Capitole à la roche Tarpéienne.

Charles Ceccaldi-Raynaud

mardi, septembre 11, 2007

A qui va-t-il donner le tournis?

Seul dans l’urne


Un internaute me demande si je suis prêt à un front commun démocratique, comprenant les sympathisants UMP, vert, Modem, et divers droite, et divers gauche. Pourquoi pas d’autres ? C’est une idée sérieuse qui mérite examen. Le sujet doit faire l’objet d’une délibération entre ceux qui s’aiment et ceux qui ne s’aiment pas. Il faut apprendre à s’aimer quand même.

Après 37 ans de rénovation urbaine et de progrès social, la ville s’approche du précipice.
On revient en arrière. Il faut aimer le passé, mais pour le dépasser.
Le clientélisme prend une dimension jamais connue.
De nouveaux profiteurs sont prévus dans la liste des sortants.
Les électeurs ne doivent pas laisser croire, laisser dire qu’ils se sont laissés acheter.
Il n’y a pas de déshonneur à répondre aux invitations.
Il faut se mêler à la foule dans les réceptions et ailleurs.
Dans l’urne on est seul.
Charles Ceccaldi-Raynaud

lundi, septembre 10, 2007

Monsieur Grebert,
Veut il faire gagner la droite?




Monsieur Grébert se dévoile. Sa passion ce n’est pas le blog, c’est la politique politicienne, qu’il appelle citoyenne.
Monsieur Grébert peut être au mieux un appoint.

Il parle de battre les Ceccaldi. L’expression n’est pas exacte. Les Ceccaldi ça s’arrête le jour où mon état de santé m’a conduit à abandonner provisoirement mes responsabilités. Le temps de savoir si j’allais me remettre.

Quand j’ai voulu revenir, sans réclamer la fonction de Maire que j’ai exercée pendant 37 ans, mais en tant que sage écouté, le Maire nommé m’a opposé le barrage de la dépense à tout va, et du clientélisme porté aux extrêmes.

La population ne veut pas avoir à choisir entre deux tendances dépassées. Une qui n’a pas su s’opposer, l’autre qui n’a pas su administrer.

La population de Puteaux se situe ailleurs. Elle ne veut pas l’aventure. Dans ses profondeurs, depuis toujours, elle a souhaité le beau, le nouveau, le renouveau.

Charles Ceccaldi-Raynaud

samedi, septembre 08, 2007

La peur


Pendant quelques mois, mon état de santé, m’a imposé le silence, à la suite d’une dangereuse opération chirurgicale.
Pas de « divine surprise » Je suis de retour. Je suis en pleine forme.
Un ignorant se réjouit de ma « providentielle » mise en examen, qu’exigent les droits de la défense. Il s’agit d’une information contre x qui dure depuis 7 ans, sans qu’il ait été possible de m’adresser le moindre grief sérieux.
Je m’oppose, quelques soit les risques pour moi, à l’irrégularité qui permettrait à la concession de chauffage de la Défense, de chauffer Nanterre.
Pas parce que c’est Nanterre. Parce que c’est la loi.
Je me suis expliqué. Je m’expliquerai encore, pour ceux qui ignorent le droit, comme ils ignorent l’écriture.
J’ai dénoncé les erreurs inspirées par un entourage défaillant.
J’ai critiqué le Maire, pas ma fille.
Personne ne peut m’écarter du chemin. Je n’ai pas choisi. Je choisirai.
Aucune providence ne peut m’éliminer du jeu, si toute fois il s’agit d’un jeu.
Mes résultats se voient à chaque pas dans la ville. J’ai laissé dans la caisse, le jour de mon départ pour raison de santé, plus de 23 millions d’euros.
Je reviens au moment où la section socialiste de Puteaux, à l’image du Ps au niveau national, est en état de décomposition avancée.
Je leur fais peur.
Leur opposition s’est embourbée dans la médiocrité.
Ils ont été incapables de promouvoir une idée nouvelle.
L’insulte est leur seul étendard.

Ce n’est pas à eux, en tout cas pas à eux seuls, isolés et enragés, que peut revenir la haute mission d’un grand rassemblement avec les meilleurs en place, pour assurer ensemble et réconciliés la grande ambition de la ville idéale, dont j’ai au moins montré la voie ensoleillée.
Charles Ceccaldi-Raynaud

vendredi, septembre 07, 2007

Une grande association citoyenne

Les Mairies cèdent vite à la tentation de dominer. Certaines pratiquent un clientélisme d’une exagération qui élimine la solidarité.
L’amitié est réservée à un cercle étroit de serviteurs zélés et intéressés, sans préoccupation de leur passé personnel.
Pour ce qui concerne Puteaux la grande mutation de la ville sur 38 ans d’action infatigable, a rendu chaque habitant fier de sa ville.
Chacun se reconnaît dans cette fierté, au-delà de ses aspirations de sa situation de sa religion de ses convictions de ses adhésions.
Il faut introduire le citoyen dans la gestion de toutes les villes et d’abord à Puteaux puisque nous sommes Putéoliens.

Cet important mouvement doit embrasser toutes les opinions sans distinction. Aucun sentiment d’exclusion ne peut y recevoir droit de cité. Toutes les victimes doivent être défendues d’où qu’elles viennent.
Ce n’est pas aux esprits partisans et aux semeurs de haine de remplir au premier rang cette mission de solidarité. Eux non plus ne doivent pas être écartés. Il s’agit d’association et non d’insurrection. L’impératif humanitaire dépasse l’objectif politicien.
L’union des citoyens libres, leur rassemblement autour des idées des lumières, la volonté commune de participer au bien commun, voila la force d’aujourd’hui, voici l’espoir de demain.
Charles Ceccaldi-Raynaud

André Desertine
Haut magistrat au grand de cœur

J’ai connu André Desertine au palais de justice voici plus de vingt ans, au temps où je plaidais.
J’ai tout de suite remarqué sa grande culture. J’ai admiré l’étendue de ses connaissances en tout et notament en droit.
Il avait travaillé à la chancellerie dans le même bureau que Simone Weill, quand elle fut ministre. Elle le décora de la médaille de la légion d’honneur. J’étais à ses côtés. Il me saisit la main.

C’est lui qui m’a convaincu de faire construire le palais de la réadaptation, lequel présente l’originalité de réunir toutes formes d’actions en faveur des handicapés. Je crois devoir rappeler ce souvenir.


Je le voyais tous les ans en Corse dans un village de vacance qu’il avait fait construire pour les fonctionnaires du ministère de la justice.
Tous les ans, je prononçais devant les handicapés de son association un discours qu’il voulait bien apprécier.
Il fut frappé d'un grand malheur, lorsqu’il perdit sa femme.

Une femme d’exception aux côtés d'un homme d'exception.
Il vivait pour tout ceux qui souffrent.
Faire reculer la souffrance était l’idéal de Desertine, mon ami, mon compagnon.

Charles Ceccaldi-Raynaud

HOMMAGE A LEON RABOT

Son nom se trouve associé à l'Histoire de Puteaux.
Comme le dit Ernest RENAN dans ses souvenirs de jeunesse :
"Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un respect profond du passé ».

Léon RABOT a été un artisan courageux de l'Organisation à Puteaux de la lutte contre l'Occupant et contre Vichy. Il s'est battu les armes à la main.

Après la Libération il a organisé les Sports à Puteaux. Il ne vivait que pour la promotion du sport. Il est le créateur du Comité des Sports, à l'époque où la gestion du sport était confiée provisoirement aux associations.

En souvenir de ses triomphes courageux, j'ai fait bâtir une statue de son visage ardent à l'entrée de l’île, à proximité du hall des Sports. C'est avec lui en effet que j'ai réalisé le hall des sports qui fut le premier grand espace sportif couvert dans l’île.

La statue vient d'être déplacée. Elle a été exilée au pied d’un mur vieilli un peu comme au piquet j'espère provisoirement.
Un kiosque en fer torsadé a été implanté à sa place. Ce mobilier décoratif, aurait été mieux implanté et plus en harmonie à la roseraie.

Un ouvrage statuaire symbole de l’effort eut été peut être plus souhaitable.
Quoiqu’il en soit je donne mon approbation à tous les embellissements même les plus modestes. A l’occasion du déplacement de cette statue, un hommage respectueux à Léon Rabot a paru s’imposer. J’ai reçu des appels en ce sens

Après sa mort, j'ai jeté avec son fils ses cendres sur le terrain de football qui symbolisait sa vie. Selon Alfred de MUSSET : "Les larmes du passé fécondent l'avenir". Respecter le passé ce n'est pas non plus revenir en arrière, comme certains le voudraient à contresens de l’histoire.
Léon RABOT reste une fleur éternelle et immobile d’un moment intense de l’histoire de la ville.
Il demeure pour les jeunes qui ne l’ont pas connu un hymne à la jeunesse,pour les jeunes et pour tous, un soldat de l’idéal sportif et patriotique.

Charles CECCALDI-RAYNAUD.