lundi, janvier 29, 2007

Patrick Devedjian, ce soir à 20H50

Ce soir, mon collègue et ami, Patrick Devedjian, interviendra sur France 3 à 20h50.

Il débattra avec Jean-Christophe Lagarde, Julien Dray, et Marine Le Pen sur le thème « Quelles valeurs pour la France ? »

Pour lui

Madame le Maire sanctionne le personnel municipal pour insubordination politique. Elle a constitué autour d’elle une petite mafia de protecteurs et de profiteurs.
Ce spectacle lamentable, me fait penser à la dignité de Pierre de Brossard employé municipal. Il avait la bonté infinie qui jaillissait de sa formidable force physique qu’il mettait au service des faibles.
Il aidait tout le monde. Il aimait tout le monde. Il respectait la police, à la condition que les policiers respectent l’honnête citoyen qu’il était.
Il avait été gaulliste de la première heure.
Un jour il eut un incident, avec un gringalet de gardien de la paix agressif.
Il se retrouva devant le tribunal correctionnel, alors qu’il avait raison.
Pour lui, j’ai revêtu ma robe froissée d’avocat à la cour de Paris, et je suis venu à ses côtés à la barre du tribunal.
Dans son réquisitoire, d’ailleurs modéré, le procureur de la République avait fait valoir que le gardien de la paix plaignant réussissait dans ses études de second cycle.
Ce propos me fit penser au texte d’Anatole France Crainquebille. Un pauvre marchant ambulant avait traité un policier de mort aux vaches. On le mit en prison. À sa sortie il était désespéré, il avait perdu sa clientèle, il se dit qu’il valait mieux revenir en prison, mais comment y parvenir ? Il aperçu trois policiers. Il leur cria mort aux vaches. Les policiers lui conseillèrent avec le sourire de passer son chemin.
J’en conclus que suivant la susceptibilité du policier un incident avec un particulier peut tourner mal ou se réduire à rien.
Dans ma plaidoirie je fis l’éloge de la police, j’ajoutai cependant que le plaignant n’avait pas le droit de manifester, à l'encontre de l'employé municipal une susceptibilité de deuxième cycle.
Debrossard ne fut pas condamné. J’avais défendu en me jetant dans la bataille, un employé municipal.
Aujourd’hui Pierre de Brossard a quitté Puteaux pour Bordeaux. Il m’écrit très fréquemment. Une seule question revient dans ses lettres. Avez-vous besoin de moi?
Si demain un employé municipal devait être mal traité par une autorité quelque soit son grade, je rechercherai ma vieille robe enfouie dans ma vieille armoire.
Charles Ceccaldi-Raynaud

dimanche, janvier 28, 2007

Question simple
Vous êtes employé contractuel de mairie.
Vous êtes présent dans la tribune les jours de conseil municipal.
Vous etes présent à toutes les manifestations organisées par elle.
Vous vous estimez protégé.
Question : avez-vous été sanctionné voici peu, pour un faux motif destiné à cacher le vrai ?
Si vous ne répondez pas, les recherches vont se dérouler d’elles mêmes

vendredi, janvier 26, 2007

Bons vœux amicaux au personnel communal

Je ne me rendrai pas à la réception en l’honneur du personnel communal. J’ai assisté à cette réception pendant prés de quarante ans avec le même plaisir.
Ce n’est pas pour moi que je ne viens pas. Je n’ai peur de personne. C’est pour vous.
Il suffirait que vous me parliez, pour être aussitôt repéré, identifié et pourchassé. Des centaines d’exemples prouvent la férocité hypocrite, inhérente à beaucoup de nuls enragés par leur propre nullité.
Pas plus tard que la semaine précédente, une jeune fille courageuse a osé témoigner devant le tribunal correctionnel, malgré l’interdiction sous menace, qui lui a été faite par madame le Maire elle-même.


Je vous présente mes vœux par cet écrit modeste et amical. Des vœux pour vous et vos familles. Des vœux de remerciement pour le passé, et d’espoir pour l’avenir.
Le moment arrive, où dans le secret, vous redeviendrez des hommes libres et des femmes libres.

Charles Ceccaldi-Raynaud

jeudi, janvier 25, 2007

Belle soirée théâtrale à Neuilly-sur-Seine

Un public ayant bravé le froid hivernal, et choisi parmi toutes les manifestations proposées ce même soir, de partager avec nous un instant culturel de grande qualité.

Patrick Poivre d'Arvor a prononcé une touchante allocution. Le don de soi, si dignement incarné par l'Abbé Pierre, ce don de soi, qui est le propre de l'humanité, ce don de soi au centre de paroles émouvantes. La force de la foi, celle nécessaire à gravir la montagne de la maladie vers la guérison, est aussi don. Une confiance donnée à la vie, et à la volonté qu'elle met au monde.

L'authenticité de l'homme qui a connu la douleur de l'indicible absence de son enfant, a ému le public.
Bernard Menez, a contribué à la chaleur de l'atmosphère par son sens de l'humour.

Après la pièce, avant de se retrouver au salon du bar pour converser avec les artistes et professionels de la culture présents, les spectateurs ont chacun, en gage de solidarité acheté au bénéfice de l'Institut Curie, une broche Jonquille. Témoignant de leur solidarité avec les personnes souffrantes. La soirée était dédiée à la recherche sur le cancer des enfants.

Chacun a donné de soi. La vie est un don.

msm

lundi, janvier 22, 2007

Le prix de la réception dite des personnalités

Mélanger des lots pour les personnalités et pour le personnel c’est vouloir jeter de l’ombre, là où la population réclame de la lumière.
Qui sont les personnalités ? Il y a des employés, qui participent aux deux réceptions.
Ceux et celles de l’entourage. Les gardes du corps, et la lie du personnel font parti des personnalités.
Madame Nadine Jeanne tente de calculer le prix par personne pour la réception des personnalités. Elle acceptera quelques modifications
Le prix de la réception s’élève à 686 500euros et non à 515 600 euros plus le prix des hôtesses louées et les heures suplèmentaires du personnel communal et des policiers. On peut raisonnablement estimer le prix des deux réceptions pour personnalités à un million d’euros,
en tenant compte d’une dépense qu’on ne voit pas, celle de la salle à manger de madame le Maire.

Quant au nombre de convives, on peut calculer en se promenant de haut en bas dans la mairie, avec des risques d’erreurs.
La première réception a été un raté. Pas plus de 700 personnes. La seconde 1200 personnes, total 1800 personnes.
Le prix par personne n’est plus de 214,80 euros, mais de 555 euros.
On peut être sur que le prix est plus élevé. Probablement au moins de 600 euros.
Le soir de la seconde réception le jeudi 18 janvier, les conseillers municipaux et les adjoints, favorables à madame Ceccaldi-Franchi, se sont peu souciés des personnalités. Ils ont dîné ensemble dans la grande salle à manger du Maire.
Le dîner en bande à part, signifie un profond mépris pour les personnalités et la preuve qu’aucun élu du département ne s’est déplacé pour venir à Puteaux.
Il donne à cette réception à l’abri des regards la connotation d’un repas de propagande.
Madame le Maire sait qu’elle est sur la pente de l’échec.
Battue pour battue, elle se moque de la loi.
Aucun élu du département à la réception, c’est un signe qui ne trompe pas.
C’est la première fois que ça arrive.

L’abbé Pierre l’homme des malheureux.

Un homme de religion a consacré sa vie à défendre les pauvres. Il a engagé la lutte en faveur des mal logés.
Il s’est dressé contre l’Etat, et contre tous les égoïsmes.
Il a donné à la cause du logement du panache et de la force.
Il a participé à la création du haut comité pour le logement des défavorisés.
Il a été de tous les combats et de toutes les luttes pour le logement des pauvres.
Dans un monde où beaucoup ne pensent qu’à leur place, à leurs privilèges, à leurs avantages, il était le symbole du désinteressement, le drapeau des malheureux de la terre.
Il était le représentant actif d’une morale de solidarité opposée à tous les égoïsmes.
Il représentait un humanisme en action.
Son combat a commencé au cours de l’hivers 54. De cette aventure humaine, il a été fait un film.
Ce film a été tourné dans l’hôtel de ville de Puteaux. J’ai voulu que Puteaux participât à cet hommage.
J'ai aussi accompagné l'abbé Pierre à l’UNESCO pour un rassemblement en faveur des pauvres du monde.
J’ai pris la parole devant le secrétaire général de l'UNESCO ,un parterre d'ambassadeurs et une foule enflammée d'espérance.
L'abbé Pierre m’a écouté.
Peut être ai-je ému, cet homme d’émotion et de passion.
La public s’est levé.
Après les discours la salle comble a regardé un film sur la misère aux Etats-Unis. La souffrance était partout, la mort au bout de la lutte.

Quand, le film terminé, la lumière est revenue dans la salle, j’ai vu que mon épouse, aujourd’hui disparue, avait pleuré.

L’abbé Pierre n’est plus, son combat continu.

Charles Ceccaldi-Raynaud

dimanche, janvier 21, 2007

Les belles années de la S.M.P


À l’origine, l’association dénommée S.M.P a d’abord enseigné la gymnastique artistique : barre fixe, cheval d’arçons, barres parallèles .
Créée il y a 130ans, elle est toujours là.
Le titre de champion de France de cette gymnastique artistique qui suppose de la force et de la résistance fut plusieurs fois ramené à Puteaux,.
Au cours de son long parcours, la S.M.P a rencontré un président de grande qualité : Georges Assou. Pendant un demi-siècle, la S.M.P ce fut lui.
Sur sa route Assou rencontra Charles Ceccadi-Raynaud, dont il devint l’ami fidèle.
Au cours de la première assemblée générale George Assou appelle son ami Charles Ceccaldi-Raynaud : monsieur le Maire. Il ne l’était pas encore. Les athlètes de la S.M.P furent les premiers à dire monsieur le Maire à celui qui allait le rester pendant 35 ans.
Au décès d’Assou, des turbulences sont apparues.
La S.M.P faillit disparaître .Feu Guillaneuf et monsieur Martinez décidèrent avec le Maire de sauver l’association.
Il fut décidé de sortir la S.M.P de ses locaux usés de la rue Auguste Blanche.
Un magnifique gymnase a été construit pour la S.M.P, le long de l’allée Georges Assou, justement, par Charles Ceccaldi-Raynaud.
La gymnastique artistique appelle des gymnastes d’exception. Beaucoup de gens se détournent de cette gymnastique difficile. La danse a pris le relais. Sous l’impulsion de madame Olive Amsellem. Elle fut pour la S.M.P, l’étincelle du destin.


La 130 ième assemblée générale s’est tenue samedi 20 janvier au palais des congrès. En juin, madame Olive Amsellem donnera un grand spectacle au théâtre de Puteaux sur un thème qu’elle choisira. Celui qu’elle imagina sur la défense suscita l’admiration.
Les responsables des cours ont rendus compte de leurs activités et de leurs succès.
Les finances sont gérées avec une rigueur dont d’autres devraient s’inspirer.


Les médailles ont été distribuées en abondance pour récompenser les mérites rapides de nombreux élèves.

Le directeur des sports était absent.
Avec George Assou dans l’au-delà et Charles Ceccaldi -Raynaud dans la salle, il régnait sur l’assemblée générale un halo de nostalgie.


Le discours de madame le Maire, quoique préalablement écrit, fut médiocre, et ne portait aucune émotion. Son garde du corps était affalé sur un fauteuil au premier rang. Elle-même,offrait un sourire crispé.


Mais elle donna une réception dans la salle des conférences de la mairie.
C’est sa spécialité. En année qui précède une échéance, c’est un laissé aller qui étonnera sans doute la commission nationale des comptes de campagne.


Monsieur le commissaire n’était pas présent.
Malgré son article flou sur la diffamation paru dans un organe municipal de propagande en année électorale, il pourrait écrire un cours partiel sur la mission de la commission nationale des comptes de campagne.

Madame le Maire apprendrait la règle. Quand on l’ignore, la règle frappe sur les doigts.


Il ne manque à la S.M.P ni de nombreux talents ni de grands dévouements. Des hommes et des femmes de talent et de dévouement il y en avait beaucoup assis au deuxième rang sur le podium. Ils seraient plus à leur place au premier rang.

Il faut à la S.M.P un nouvel Assou pour un nouvel élan.

mercredi, janvier 17, 2007

Le compte de campagne

Les observateurs politiques ont remarqué un changement dans la communication municipale.
Le premier numéro paru en 2007 du magazine de la mairie a perdu vingt pages et des dizaines de photos.
Pourquoi cette épreuve d’amaigrissement ? Pour plaire aux oppositions ?
Sûrement non : La même personne s’occupe du site de la mairie et du site de l’UMP.
L’entourage de madame le Maire a pu lire sur divers sites, qu’il existe une commission nationale des comptes de campagnes avec le pouvoir de faire invalider un élu.
Le changement intervenu montre que la communication de la mairie pendant l’année 2006 a relevé de la propagande et du clientélisme plus que de l’information objective.
Madame le Maire s’est mise en difficulté avec la loi sur les comptes de campagne en vue de l’élection législative de 2007.
Ce constat n’est pas sans signification sur les informations qu’elle détient au sujet de la circonscription de Neuilly Puteaux.
Elle voudrait ne pas être en infraction pour les élections municipales de 2008.
Les réceptions à un million d’euros ne répondent pas aux exigences de la loi.
Les invités sélectionnés qui ont répondu à son invitation onéreuse ont fait preuve de courtoisie.
Ils ne peuvent pas raisonnablement approuver une telle dépense qui constitue un défi indécent dans la conjoncture miséreuse du moment.
Il y avait deux catégories d’invités, ceux qui ne pouvaient pas aller au-delà de la salle hypostyle et des salons d’honneur, et ceux qui avaient accès à la luxueuse salle de réception privée de madame le Maire. Par mis ces privilégiés figuraient l’entourage médiocre, d’où nous viennent tous les maux, sans compter ceux de madame le Maire elle même.
Il appartient à tous les partisans de la loi républicaine d’exercer une vigilance constante sur les dépenses de propagande de madame le Maire durant l’année 2007. Ils doivent reconnaître le clientélisme apparent sous le manteau caché de la fausse générosité.
Exemple l’envoi à chaque électeur d’un calendrier, comportant l’image de diverses réalisations municipales de son père est interdite.
La loi sur les comptes de campagne s’oppose également à toute initiative nouvelle en matière de communication pendant l’année qui précède le scrutin. Ce calendrier qui met en image des réalisations municipales, est une nouveauté de 2007, ce qui aggrave l’infraction.
Toutes le communes organisent des receptions, pas à ce prix démentiel et choquant, voire même génant, pour les invités eux mêmes malgrés leurs mérites.
La voix

Neutralité

Le fonctionnaire d’autorité obéit à un statut. Son statut l’oblige à la neutralité.
Il n’a pas le droit de prendre parti en faisant semblant d’être neutre.
Il n’a pas le droit d’être au service de la mairie.
Il est au service de la mairie quand il vient traîner dans les couloirs, les soirs de conseil municipal, avec et surtout sans réquisition motivée.
Il est au service de la mairie quand il parait en uniforme dans le magazine municipal, qui est un média politique.
Il est au service de la mairie, quand il convoque des citoyens hostiles à madame le Maire, pour leur faire la leçon.
Il est au service de la mairie quand il écrit sur le droit de la diffamation pour faire peur aux opposants.
Il n’est pas avocat. Il n’est pas conseiller juridique Il n’est pas professeur de droit, ni même assistant Quelle autorité intellectuelle ou universitaire possède t’il pour se permettre d’enseigner le droit dans une publication partisane?
Certes il peut fréquenter madame le Maire. Il n’a pas le droit pour autant de sortir du droit.
Quand un fonctionnaire ne s’entend pas avec les représentants d’une partie de l’opinion de droite et de gauche, ceux ne sont pas les politiques qui s’en vont, c’est le fonctionnaire.
Il vaudrait mieux éviter d’atteindre le point de rupture.
Quels que soient ses sentiments personnels, il faut toujours, surtout quand on y est tenu, faire un retour rapide à la neutralité.
Charles Ceccaldi-Raynaud
Docteur en droit

samedi, janvier 13, 2007

Eclats de voix à la réception de Boulogne Billancourt

Monsieur Fourcade, ancien ministre, et maire De Boulogne, est un homme charmant, mais il n’aime pas le désordre.
Or le jour de la présentation solennelle des vœux, madame le Maire de Puteaux était venue entourée de sa protection rapprochée habituelle.
Cet incident chez autrui, alors qu’on est présent à titre d’invité, n’a pas pu améliorer la réputation de Puteaux sous l’autorité de madame le Maire

La bataille des halls H.L.M

Les locataires H.L.M considèrent l’occupation des halls comme le signe de l’insécurité. Malgré toutes les mesures prises, les halls sont toujours occupés et parfois toute la journée.
Les locataires qui traversent ces halls pour rentrer chez eux, sont parfois laissés en paix, parfois interpellés et malmenés.
Toutes les mesures destinées à verrouiller les entrées sont inefficaces.
Les individus qui sont immobilisés devant un hall fermé, tournent la difficulté en se faisant ouvrir par un copain qui habite l’immeuble.
Qui a donné cet H.L.M à ce complice ? Le système qui lui a permis de s’installer, est le même qui a favorisé de véritables dynasties dans certains immeubles.
Comme les élections des locataires l’ont révélé, le logement social est utilisé comme moyen supplémentaire de clientélisme,
la deuxième cause de l’échec de la bataille des halls, c’est une utilisation mal adaptée de la police. Dans la police municipale, il faut distinguer les surveillants municipaux qui assurent avec dévouement et efficacité notamment la sortie des écoles et la garde des bâtiments. Il y a par ailleurs les policiers municipaux, probablement en nombre insuffisant. Ils sont trop nombreux a être requis pour les réceptions ou pour la protection de madame le Maire qui se dit menacée depuis qu’elle a annoncer, le jour de l’aïd, la construction d’une mosquée.
Enfin la police nationale traverse les cités trop souvent en voiture. Ce mode de déplacement ne permet pas de voir ce qui se passe dans les halls.
On préférerait aussi voir le commissaire longer parfois à pied les immeubles H.L.M, plutôt que de le regarder en photo sur le magazine de la ville.
La reconquête des halls, requiert une bataille pacifique.
Des moyens juridiques existent maintenant, qui n’existaient pas avant. Il faut les appliquer avec persévérance.
La sécurité s’est améliorée dans le pays. C’est une victoire des autorités gouvernementales et ministérielles.
Les résultats sont au rendez vous. Cependant le nombre d’agressions sur les personnes a augmenté.
Ce sont souvent des agressions gratuites.
Dans la mesure des effectifs disponibles, les forces de polices doivent se mobiliser pour gagner la bataille des halls, sans se laisser distraire par des missions utiles, mais secondes.
La police doit sanctionner le contrevenant, mais la contravention ne doit pas devenir la priorité.
Le dimanche jour de marché, alors qu’il y a peu de parkings dans l’environnement, des gens modestes garent leur voiture en infraction pour pénétrer dans une boulangerie.
Quand le client ressort sa baguette coûte le prix du pain plus le prix de la contravention.
Certes on ne peut pas laisser les automobilistes stationner dans le désordre le dimanche matin. Un avertissement devrait cependant suffire au moins pour la première fois.
Le commissaire se dit prêt à engager la bataille de libération des halls avec une volonté de résultat. Il trouvera l’office d’H.L.M et les locataires à ses côtés.

jeudi, janvier 11, 2007

Assurance vie

On nous interroge sur ce type de placement. Il bénéficie d’avantages fiscaux.
L’assuré peut disposer de son argent, il n’est pas bloqué.
L’assuré peut désigner la personne qui percevra la somme restante après son décès, un parent ou un tiers.
Le bénéficière peut être changé à tout instant.
Les ordres écrits sont donnés à la banque.
Cependant pour plus de sécurité, il est recommandé de déposer un exemplaire du contrat chez un notaire.

mardi, janvier 02, 2007

Vérité sur le chauffage urbain de la Défense.


A la suite d’une rétrospective de l’année 2006, il est publié l’essentiel d’une motion conclusive, votée en son temps à l’unanimité par le comité du SICUDEF, où la vérité retrouve ses doits à propos de cette délégation.


Un appel d’offre conforme au droit.

La procédure de dévolution conduite par le syndicat a été suivie étape par étape, par deux professeurs agrégés des facultés de droit. L’un d‘eux se trouve classé comme le plus grand spécialiste de la concession.
Ils ont écrit « après avoir obtenu diverses modifications, prévisions ou suppressions, la convention est, avant adoption, conforme au droit »
La concession n’a fait l’objet d’aucun recours, ni de monsieur le Préfet, ni d’aucun des concurrents.
L’observation de la chambre, ne porte pas sur la validité de la procédure de dévolution.
Elle écrit que la situation est maîtrisée après une explosion qui a détruit l’usine.
Certes elle estime que le programme aurait pu être plus précis. A partir du moment où la procédure de délégation est déclarée conforme au droit, le programme est suffisamment précis.
L’éventuelle imprécision par ailleurs non exposée, est sans conséquence. Elle n’est qu’une insignifiance, une effaçure, une remarque posthume.
La chambre n’a pas été créée pour déverser des compliments.
Cependant au nom de la vérité, félicitations à ceux qui ont su tout à la fois respecter le droit dans des circonstances d’une extrême difficulté et rétablir le chauffage dans la plus grande célérité.
Personne n’a eu à souffrir du froid.
La chambre écrit, ce compliment contraire à sa tradition : « la situation est maîtrisée »

Le SICUDEF souhaite une deuxième baisse des prix.

Le concessionnaire fait valoir que la construction de deux usines au lieu d’une ne lui permet qu’une baisse symbolique. Il fait valoir la hausse du prix de l’acier et des matériaux. Il n’accepte la baisse demandée qu’à l’échéance prévue dans le contrat.
Son défenseur, professeur réputé de droit public fait valoir que les observations de la chambre, n’ont ni valeur juridique, ni valeur juridictionnelle.
A la première échéance le SICUDEF demandera par la voie judiciaire la rétroactivité. Le SICUDEF estime que le concessionnaire pourrait avancer la date à laquelle la révision des prix s’imposera, du fait qu’il a chauffé le faubourg de l’Arche hors du périmètre de la concession, sans l’autorisation du SICUDEF, qui lui aurait refusé cette autorisation ainsi qu’il l’a déjà fait pour des extensions demandées sur Nanterre.
Le comité dans son unanimité fait preuve d’une détermination implacable dans l’intérêt des usagers et de la Défense
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Charles Ceccaldi-Raynaud

lundi, janvier 01, 2007

Avec l’année nouvelle, mes vœux anciens exprimés depuis 36 ans ,vous accompagnent toujours.
Ces vœux s’adressent à tous, à Puteaux et au delà.
Ils expriment des vœux fraternels d’une vie de bonheur, libérée des peurs qui pèsent sur chacun de nous.
Le temps ne s’arrête pas, il n’est ni le passé ni l’avenir, mais seulement le présent fugitif, qui me permet de vous transmettre cette pensée unitaire, dans le rêve qu’appelle le changement d’année.
Charles Ceccaldi-Raynaud